Bonjour veuillez juste corriger mon devoir de français si c'est juste voici les questions
:
1) En suoi peut-on dire que ce poème est l'évocation d'un voyage?
2)Relevez les repères temporels . Combien de temps dure ce voyage?
3)Quel est l'état d'esprit du poète . Comment est-ce révélé dans le poème?
4) Vers quel but Hugo marche-t-il? A quel moment du poème le decouvre-t-on?
5)Qui parle? A qui? Quelles hypotheses peut-on faire concernant leur relation ? Comment interpréter la répétition des marques de la 1ère et la 2eme personne du singulier?
6)Comment l'auteur exprime-t-il sa tristesse? Que peut symboliser le bouquet déposé sur la tombe?

Texte : "Demain dès l'aube " de V.Hugo

Demain dès l'aube

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,

Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.

J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.

Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.



Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,

Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,

Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.



Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,

Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,

Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe

Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.



Mes réponses sont dans la pièce jointe . 19  points à celui qui a tout vérifier

Please enter comments
Please enter your name.
Please enter the correct email address.
You must agree before submitting.

Lista de comentários


More Questions From This User See All
Verifiez mes reponses svp (voir pièce jointe)Texte: Melancholia (extrait) Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? que veut-il ? » Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme, Une âme à la machine et la retire à l'homme ! Que ce travail, haï des mères, soit maudit ! Maudit comme le vice où l'on s'abâtardit, Maudit comme l'opprobre et comme le blasphème ! O Dieu ! qu'il soit maudit au nom du travail même, Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux, Qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux !Questions:1)Quel sentiment doit faire naître dès le 1er vers2)Observez les vers qui decrivent les enfants : quelle image retenez-vous d'eux3)Quelle métaphore decrit la machine? Quelle est effet produit?4)Etudiez les oppositions qui structures la 1ere partie et concluez sur les intentions du poete5"Travail" et "Progres" sont les antecedents de nombreux pronoms relatifs.Relevez les verbes des propositions relatives introduites par "qui" . Quelle figure de style font-ils apparaitre?Quel est l'effet produit6)"Apollon" "Voltaire "Dieu" expliquez ces references .Quels sont les 3 plans sur lesquels se situe le poete pour condamner le travail des enfants?Recapitulez les arguments d'Hugo
Responda
19 points donnés à celui qui m'aideraVérifiez mes reponses ou modifiez-les1) La Muse represente quoi dans la mythologie ? Sur quel ton elle parle? Que cherche-t-elle à faire ?2)Quel est l'intêret du récit des aventures du pélican ? Pourquoi passer par une histoire?3)Analysez les indices de la mélancolie du pélican et il faut montrer que la tristesse laisse place au desespoir tragique.4)Que donne-t-il à ses petits comme nourriture ? Pourquoi la Muse parle-telle de divin sacrifice ?5) je sais pas besoin de répondreVoici le texte :Crois-tu donc que je sois comme le vent d’automne, Qui se nourrit de pleurs jusque sur un tombeau, Et pour qui la douleur n’est qu’une goutte d’eau ? Ô poète ! un baiser, c’est moi qui te le donne. L’herbe que je voulais arracher de ce lieu, C’est ton oisiveté ; ta douleur est à Dieu. Quel que soit le souci que ta jeunesse endure, Laisse-la s’élargir, cette sainte blessure Que les noirs séraphins t’ont faite au fond du cœur ; Rien ne nous rend si grands qu’une grande douleur. Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ô poète ! Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le pélican, lassé d’un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s’abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec des cris de joie En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux. Lui, gagnant à pas lents une roche élevée, De son aile pendante abritant sa couvée, Pêcheur mélancolique, il regarde les cieux. Le sang coule à longs flots de sa poitrine ouverte ; En vain il a des mers fouillé la profondeur : L’Océan était vide et la plage déserte ; Pour toute nourriture il apporte son cœur. Sombre et silencieux, étendu sur la pierre, Partageant à ses fils ses entrailles de père, Dans son amour sublime il berce sa douleur, Et, regardant couler sa sanglante mamelle, Sur son festin de mort il s’affaisse et chancelle, Ivre de volupté, de tendresse et d’horreur. Mais parfois, au milieu du divin sacrifice, Fatigué de mourir dans un trop long supplice, Il craint que ses enfants ne le laissent vivant ; Alors il se soulève, ouvre son aile au vent, Et, se frappant le cœur avec un cri sauvage, Il pousse dans la nuit un si funèbre adieu, Que les oiseaux des mers désertent le rivage, Et que le voyageur attardé sur la plage, Sentant passer la mort, se recommande à Dieu. Poète, c’est ainsi que font les grands poètes. Ils laissent s’égayer ceux qui vivent un temps ; Mais les festins humains qu’ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d’espérances trompées, De tristesse et d’oubli, d’amour et de malheur, Ce n’est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées : Elles tracent dans l’air un cercle éblouissant, Mais il y pend toujours quelque goutte de sang.Il manque la 3 à faire le reste à corriger ou pas
Responda

Helpful Social

Copyright © 2025 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.