Bonjours help Me SVP je n'arrive pas du tout vous composerez un poème en vers libres qui incite les lecteurs à se mobiliser pour une cause : défendre son pays contre l'occupant venir en aide aux plus pauvres lutter contre une forme de discrimination ,ect . Votre poème ne devra pas forcément rimer , mais vous porterez une attention particulière aux sonorités aux rythmes des phrases aux champs lexicaux utilisés au choix des figures de style .Varier les types et formes de phrases 30 vers sont attendues
Je sais que c'est un lourd travaille d'où le nombre de points
Merci
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kalkullex
Si le soleil brille ainsi pour beaucoup, Il ne brille pourtant pas tout le monde. Lève-toi, vois la misère à la ronde, Que fais-tu alors pour rendre le ciel plus doux ?
Vois donc les nouvelles Cosette à la rue, Vois donc venir ici les nouveaux Gavroche, Déambulant au soir, tel des anges perdus, Allant, venant,comme ils ont toujours vécu.
L'oeil morne sous les nues, offrant un écriteau, D'autres tendent, mains tremblantes, la sébile, Une tirelire qu'ils portent en fardeau. Seul objet de leur présence qu'ils empilent.
Et ceux qui viennent d'ailleurs tout affamés, Ceux qui n'ont plus que leur sourire de miséreux, Crois-tu les laisser passer les yeux effarés, À l'abri de ce clos, refuge des malheureux ?
D'Asie, d'Europe, d'Afrique, d'Amérique La précarité est leur vrai quotidien. Toi qui manges toutes les journées à ta faim, Toi qui fréquentes l'école publique,
Songes-tu quelquefois à leur grand dénuement ? Toi qui as la joie du gîte et du couvert, Toi qui as la tranquillité de l'univers Oserais-tu leur accorder des aliments ?
Alors, sors pour ainsi dire de ton cocon, Aide donc ceux-là qui filent un mauvais coton. Les nécessiteux te seront reconnaissants. Et toi, fier de ton action au soleil naissant.
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Il ne brille pourtant pas tout le monde.
Lève-toi, vois la misère à la ronde,
Que fais-tu alors pour rendre le ciel plus doux ?
Vois donc les nouvelles Cosette à la rue,
Vois donc venir ici les nouveaux Gavroche,
Déambulant au soir, tel des anges perdus,
Allant, venant,comme ils ont toujours vécu.
L'oeil morne sous les nues, offrant un écriteau,
D'autres tendent, mains tremblantes, la sébile,
Une tirelire qu'ils portent en fardeau.
Seul objet de leur présence qu'ils empilent.
Et ceux qui viennent d'ailleurs tout affamés,
Ceux qui n'ont plus que leur sourire de miséreux,
Crois-tu les laisser passer les yeux effarés,
À l'abri de ce clos, refuge des malheureux ?
D'Asie, d'Europe, d'Afrique, d'Amérique
La précarité est leur vrai quotidien.
Toi qui manges toutes les journées à ta faim,
Toi qui fréquentes l'école publique,
Songes-tu quelquefois à leur grand dénuement ?
Toi qui as la joie du gîte et du couvert,
Toi qui as la tranquillité de l'univers
Oserais-tu leur accorder des aliments ?
Alors, sors pour ainsi dire de ton cocon,
Aide donc ceux-là qui filent un mauvais coton.
Les nécessiteux te seront reconnaissants.
Et toi, fier de ton action au soleil naissant.
De cette façon, tu resteras debout !