Bonjours pourriez-vous m'aider ? S'il vous plait! Certains croient que la jeunesse et la plus heureuse periode de la vie de l'homme. Quel est votrepoint de vue ? Justifiez votre opinion par deux exemples, suivant le plan : - introduction ; - développement ; - conclusion.
La sortie de l'enfance sans devenir adulte est l'âge des possibles. En effet, par sa simple dimension physique et intellectuelle, la jeunesse est quelque part l'âge où nos capacités physiques et intellectuelles 'brutes' sont à leur paroxysme. Ainsi parle-t-on de la "jeunesse d'esprit" chez une personne dont l'esprit a su garder de l'acuité et de l'intelligence. Le jeune sort de l'enfance et prend ou du moins commence à prendre conscience du monde qui l'entoure. Et se trouve au moment de sa vie où il est le plus à même de "le conquérir". C'est jeune que nos désirs et nos projets sont les moins entravés par notre condition physique ou intellectuelle.
C'est aussi à ce moment-là que nos projets sont les moins contrariés par notre devoir moral et par la société. Si le jeune est en quelque sorte sorti de l'enfance, soit son moment d'innocence et d'insouciance, il n'en est pas pour autant adulte. Il est libre de la pression sociale et morale de l'âge adulte : du travail, de la société, de l’État. Ainsi si le passage de l'état d'enfance à l'état de jeunesse marque une rupture avec l'état d'innocence, la jeunesse étant dépourvue de responsabilités, avec une innocence subsistante, moins prononcée. La jeunesse est donc un âge de liberté. C'est donc naturellement que l'on peut assimiler la jeunesse au temps des rêves et des projets, qu'ils soient fructueux ou infructueux. Jouissant d'une liberté nouvelle, de capacités toujours plus assurées, le jeune veut souvent découvrir le monde. La jeunesse est dès lors le temps des découvertes, des premières fois, des projets et des rêves toujours plus ambitieux car le jeune garde une part d'innocence et d'insouciance vis à vis du monde. Dès lors on comprend Sartre lorsque dans la préface d'Aden Arabie de Paul Nizan, il exhorte la jeunesse "Ne rougissez pas de vouloir la lune ! Il nous la faut !". C'est donc non seulement que la jeunesse doit avoir des rêves mais qu'elle doit les traduire en action, la jeunesse n'est pas que l'âge des rêves, elle est l'âge des tentatives même si celles-ci sont ratées (Cf. Aristocrates anglais XVIIe ou jeunes amiches lors du Rumspringa).
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Bonjour,
La sortie de l'enfance sans devenir adulte est l'âge des possibles. En effet, par sa simple dimension physique et intellectuelle, la jeunesse est quelque part l'âge où nos capacités physiques et intellectuelles 'brutes' sont à leur paroxysme. Ainsi parle-t-on de la "jeunesse d'esprit" chez une personne dont l'esprit a su garder de l'acuité et de l'intelligence. Le jeune sort de l'enfance et prend ou du moins commence à prendre conscience du monde qui l'entoure. Et se trouve au moment de sa vie où il est le plus à même de "le conquérir". C'est jeune que nos désirs et nos projets sont les moins entravés par notre condition physique ou intellectuelle.
C'est aussi à ce moment-là que nos projets sont les moins contrariés par notre devoir moral et par la société. Si le jeune est en quelque sorte sorti de l'enfance, soit son moment d'innocence et d'insouciance, il n'en est pas pour autant adulte. Il est libre de la pression sociale et morale de l'âge adulte : du travail, de la société, de l’État. Ainsi si le passage de l'état d'enfance à l'état de jeunesse marque une rupture avec l'état d'innocence, la jeunesse étant dépourvue de responsabilités, avec une innocence subsistante, moins prononcée. La jeunesse est donc un âge de liberté. C'est donc naturellement que l'on peut assimiler la jeunesse au temps des rêves et des projets, qu'ils soient fructueux ou infructueux. Jouissant d'une liberté nouvelle, de capacités toujours plus assurées, le jeune veut souvent découvrir le monde. La jeunesse est dès lors le temps des découvertes, des premières fois, des projets et des rêves toujours plus ambitieux car le jeune garde une part d'innocence et d'insouciance vis à vis du monde. Dès lors on comprend Sartre lorsque dans la préface d'Aden Arabie de Paul Nizan, il exhorte la jeunesse "Ne rougissez pas de vouloir la lune ! Il nous la faut !". C'est donc non seulement que la jeunesse doit avoir des rêves mais qu'elle doit les traduire en action, la jeunesse n'est pas que l'âge des rêves, elle est l'âge des tentatives même si celles-ci sont ratées (Cf. Aristocrates anglais XVIIe ou jeunes amiches lors du Rumspringa).
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