Bonsoir, le sujet, en parlant des règles formelles, fait allusion à la versification, (la forme), c'est-à-dire :
- aux rimes pauvres, suffisantes ou riches ;
- aux assonances et aux allitérations ;
- à la césure et aux rythmes binaires ou ternaires, etc...
Le sujet repose donc sur un paradoxe : la nouveauté doit se plier aux règles classiques, c'est-à-dire que le fond doit dépendre (être esclave) de la forme. Or les poètes novateurs s'en sont justement dispensés : par exemple Verlaine avec ses rythmes impairs, ou encore Mallarmé avec son hermétisme, ou Apollinaire avec ses calligrammes...
C'est ce paradoxe qu'il faut arriver à résoudre, donc. Bonne soirée !
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Bonsoir, le sujet, en parlant des règles formelles, fait allusion à la versification, (la forme), c'est-à-dire :
- aux rimes pauvres, suffisantes ou riches ;
- aux assonances et aux allitérations ;
- à la césure et aux rythmes binaires ou ternaires, etc...
Le sujet repose donc sur un paradoxe : la nouveauté doit se plier aux règles classiques, c'est-à-dire que le fond doit dépendre (être esclave) de la forme. Or les poètes novateurs s'en sont justement dispensés : par exemple Verlaine avec ses rythmes impairs, ou encore Mallarmé avec son hermétisme, ou Apollinaire avec ses calligrammes...
C'est ce paradoxe qu'il faut arriver à résoudre, donc. Bonne soirée !
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