bonsoir les copains j'ai une question pour vous ! il faut la détaille le plus possible la voici : Qu'entend Baudelaire par "idéale" ? merci d'avance. Français
Pour Baudelaire l’idéal est connoté de deux façons différentes. Tout d’abord un idéal amoureux, Baudelaire étant éternellement à la recherche de la femme de sa vie après bien des conquêtes (Marie Daubrun notamment qui l’inspira beaucoup ou une femme rencontrée en voyage à la Réunion qui va aussi beaucoup l’inspirer). Il veut trouver son âme sœur.
Ensuite il est aussi question d’un idéal poétique. Comme tu le sais sûrement Baudelaire était un adepte de drogue et alcools qui lui permettaient de « s’élever » comme il l’entend : s’élever spirituellement por trouver son inspiration.
Cependant cette notion d’idéal, représenté par le ciel ou les hauteurs en général , d’harmonie parfaite avec soi même et son amour s’oppose radicalement à la notion de spleen ancré dans le sol, un état dépressif dans lequel le poète sombre souvent (voir le 4e poème du cycle du spleen celui qui commence par « Quand le ciel bas et lourd... »).
Il établit alors ce qu’on appelle la correspondance verticale entre le spleen et l’idéal, le bonheur et le malheur, l’élévation spirituelle et la vie morose, etc.
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Salut,
Pour Baudelaire l’idéal est connoté de deux façons différentes. Tout d’abord un idéal amoureux, Baudelaire étant éternellement à la recherche de la femme de sa vie après bien des conquêtes (Marie Daubrun notamment qui l’inspira beaucoup ou une femme rencontrée en voyage à la Réunion qui va aussi beaucoup l’inspirer). Il veut trouver son âme sœur.
Ensuite il est aussi question d’un idéal poétique. Comme tu le sais sûrement Baudelaire était un adepte de drogue et alcools qui lui permettaient de « s’élever » comme il l’entend : s’élever spirituellement por trouver son inspiration.
Cependant cette notion d’idéal, représenté par le ciel ou les hauteurs en général , d’harmonie parfaite avec soi même et son amour s’oppose radicalement à la notion de spleen ancré dans le sol, un état dépressif dans lequel le poète sombre souvent (voir le 4e poème du cycle du spleen celui qui commence par « Quand le ciel bas et lourd... »).
Il établit alors ce qu’on appelle la correspondance verticale entre le spleen et l’idéal, le bonheur et le malheur, l’élévation spirituelle et la vie morose, etc.