Bonsoir pouvez vous m'aider s'il vous plait c'est pour demain Consigne: Réécrivez ce récit sous la forme d'une scène de théâtre. Rédigez les dialogues et introduisez des didascalies.
Voici le texte
Une motocyclette conduite par un petit homme sec,m'avait doublé et s'était installée devant moi, au feu rouge. En stoppant, le petit homme avait calé son moteur et s'évertuait en vain à lui redonner souffle. Au feu vert, je lui demandai, avec mon habituelle politesse, de ranger sa motocyclette pour que je puisse passer. Le petit homme s'énervait encore sur son moteur poussif. il me répondit donc, selon les règles de la courtoisie parisienne, d'aller me rhabiller. J'insistai, toujours poli, mais avec une légère nuance d'impatiente dans la voix. On me fit savoir aussitôt que, de toute manière, on m'envoyait promener
La scène se passe à un feu rouge, sur une route passante de Paris. Un petit homme sec, vêtu d'une veste en cuir, conduit une motocyclette qui se trouve devant la voiture de Monsieur X. Le moteur de la motocyclette cale et le petit homme peine à le redémarrer.
Monsieur X : (en baissant la vitre de sa voiture) Excusez-moi, Monsieur, est-ce que vous pourriez déplacer votre motocyclette pour que je puisse passer, s'il vous plaît ?
Le petit homme : (en s'énervant sur le moteur de sa motocyclette) Attendez, j'essaie de faire redémarrer ce fichu moteur !
Monsieur X : (toujours poli) Bien sûr, prenez votre temps, mais si vous pouviez ranger votre motocyclette sur le côté de la route pour que je puisse passer, ce serait gentil.
Le petit homme : (exaspéré) Vous n'avez qu'à attendre ! Vous ne pouvez pas vous montrer un peu patient ?!
Monsieur X : (perdant un peu patience) Je suis patient, mais je dois me rendre quelque part et je ne peux pas rester bloqué ici indéfiniment.
Le petit homme : (agacé) Eh bien allez vous rhabiller, vous ne passerez pas avant moi !
Monsieur X : (surpris) Pardon ?
Le petit homme : (arrogant) Vous avez très bien compris ! Et vous savez ce qu'on dit à Paris : "allez vous faire voir !"
Monsieur X : (prenant une légère nuance d'impatience) Écoutez, je vous demande juste de ranger votre motocyclette pour que je puisse passer. C'est pas la peine de se mettre dans un état pareil.
Le petit homme : (énervé) Et moi je vous dis que vous pouvez aller vous faire voir ! On m'a toujours appris à ne pas me laisser faire !
Monsieur X : (soupire) Très bien, je vois que je n'arriverai pas à vous convaincre. Bonne journée alors.
Le petit homme : (triomphant) Ça ne fait aucun doute, vous êtes bien poli, mais vous n'êtes pas de Paris !
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La scène se passe à un feu rouge, sur une route passante de Paris. Un petit homme sec, vêtu d'une veste en cuir, conduit une motocyclette qui se trouve devant la voiture de Monsieur X. Le moteur de la motocyclette cale et le petit homme peine à le redémarrer.
Monsieur X : (en baissant la vitre de sa voiture) Excusez-moi, Monsieur, est-ce que vous pourriez déplacer votre motocyclette pour que je puisse passer, s'il vous plaît ?
Le petit homme : (en s'énervant sur le moteur de sa motocyclette) Attendez, j'essaie de faire redémarrer ce fichu moteur !
Monsieur X : (toujours poli) Bien sûr, prenez votre temps, mais si vous pouviez ranger votre motocyclette sur le côté de la route pour que je puisse passer, ce serait gentil.
Le petit homme : (exaspéré) Vous n'avez qu'à attendre ! Vous ne pouvez pas vous montrer un peu patient ?!
Monsieur X : (perdant un peu patience) Je suis patient, mais je dois me rendre quelque part et je ne peux pas rester bloqué ici indéfiniment.
Le petit homme : (agacé) Eh bien allez vous rhabiller, vous ne passerez pas avant moi !
Monsieur X : (surpris) Pardon ?
Le petit homme : (arrogant) Vous avez très bien compris ! Et vous savez ce qu'on dit à Paris : "allez vous faire voir !"
Monsieur X : (prenant une légère nuance d'impatience) Écoutez, je vous demande juste de ranger votre motocyclette pour que je puisse passer. C'est pas la peine de se mettre dans un état pareil.
Le petit homme : (énervé) Et moi je vous dis que vous pouvez aller vous faire voir ! On m'a toujours appris à ne pas me laisser faire !
Monsieur X : (soupire) Très bien, je vois que je n'arriverai pas à vous convaincre. Bonne journée alors.
Le petit homme : (triomphant) Ça ne fait aucun doute, vous êtes bien poli, mais vous n'êtes pas de Paris !