Bonsoir, pouvez vous svp m'aider en français. Merci beaucoup et bonne journée.


Poéme :

Verlaine
Spleen

Les roses étaient toutes rouges,
Et les lierres étaient tout noirs.

Chère, pour peu que tu te bouges,
Renaissent tous mes désespoirs.

Le ciel était trop bleu, trop tendre,
La mer trop verte et l’air trop doux.

Je crains toujours, - ce qu’est d’attendre !
Quelque fuite atroce de vous.

Du houx à la feuille vernie
Et du luisant buis je suis las,

Et de la campagne infinie
Et de tout, fors de vous, hélas !


Paul Verlaine, dans « Aquarelles », section 4 du recueil Romances sans paroles, (1872)

2. Combien ce poème a-t-il de strophes ?
3. Relève les marques de l’énonciation : Qui parle ? A qui ? Trouve les mots, les pronoms personnels et les adjectifs possessifs qui te permettent de répondre.
4. Que signifie le « houx » au vers 9 ? Nous avons déjà rencontré ce mot dans le poème de Victor Hugo : « Demain, dès l’aube ».
5. Relève le champ lexical de la nature et des plantes (de la végétation).
6. Quel est le principal sens évoqué ? Quels sont les mots qui t’ont permis de répondre.
7. Que signifie « je suis las » ? Avec quel mot cela rime-t-il ? De quoi le poète est-il las
8. Trouve trois adverbes différents. Pour t’aider, relis ton cours sur les adverbes.
9. Quel mot est répété 3 fois ? Qu’est-ce que cela t’indique sur l’état d’esprit et les sentiments du poète ? Cherche dans le texte d’autres mots évoquant les sentiments du poète. Sont-ils positifs ou négatifs ?
10. Que craint-il ?
11. Peux-tu proposer une illustration de ce poème ? (c’est-à-dire un dessin qui permet de faire comprendre le poème)
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Bonsoir, pouvez vous svp m'aider à faire cette exercice svp. J'ai rien compris svp. Merci d'avance et bonne journée. Question : 1. Quel est le titre de l’histoire ? 2. Qu’est-ce que le titre signifie? 3. Que trouve Poil de carotte sur son chemin et que fait-il avec ? 4. Lignes 6 et 7, cherche des synonymes de « casser ». 5. Qu’est ce qui est cassé ? 6. A quoi compare-t-on la taupe à la ligne 2 ? 7. A quoi est comparé son ventre lignes 12-13 ? 8. Finalement la taupe est-elle morte ou non ? 9. Qu’est-ce qui provoque l’illusion de la vie ? 10. Relève le champ lexical lié à la mort. 11. Pourquoi Poil de carotte a-t-il les larmes aux yeux ? Qu’avez-vous compris de son comportement ? Qu’en pensez-vous ? Pouvez-vous expliquer son geste ? Texte : La taupe Poil de Carotte trouve dans son chemin une taupe, noire comme un ramonat (raifort). Quand il a bien joué avec, il se décide à la tuer. Il la lance en l'air plusieurs fois, adroitement, afin qu'elle puisse retomber sur une pierre. D'abord, tout va bien et rondement. Déjà la taupe s'est brisé les pattes, fendu la tête, cassé le dos, et elle semble n'avoir pas la vie dure. Puis, stupéfait, Poil de Carotte s'aperçoit qu'elle s'arrête de mourir. Il a beau la lancer assez haut pour couvrir une maison, jusqu'au ciel, ça n'avance plus. --Mâtin de mâtin! elle n'est pas morte, dit-il. En effet, sur la pierre tachée de sang, la taupe se pétrit; son ventre plein de graisse tremble comme une gelée, et, par ce tremblement, donne l'illusion de la vie. --Mâtin de mâtin! crie Poil de Carotte qui s'acharne, elle n'est pas encore morte! Il la ramasse, l'injurie et change de méthode. Rouge, les larmes aux yeux, il crache sur la taupe et la jette de toutes ses forces, à bout portant, contre la pierre. Mais le ventre informe bouge toujours. Et plus Poil de Carotte enragé tape, moins la taupe lui parait mourir.
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Bonsoir, pouvez- vous svp m'aider. Je vous en supplie aider moi. SVP Le texte de Musset : « Mon cher George, J'ai quelque chose de bête et de ridicule à vous dire. Je vous l'écris sottement, au lieu de vous l'avoir dit au retour de cette promenade, j'en serai désolé ce soir. Vous allez me rire au nez, me prendre pour un faiseur de phrases dans tous mes rapports avec vous jusqu'ici. Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens : je suis amoureux de vous, je le suis depuis le premier jour où j'ai été chez vous. J'ai cru que je m'en guérirais, en vous voyant tout simplement à titre d'ami. Il y a beaucoup de choses dans votre caractère qui pouvaient m'en guérir. J'ai tâché de me le persuader tant que j'ai pu ; mais je paye trop cher les moments que je passe avec vous. J'aime mieux vous le dire, et j'ai bien fait, parce que je souffrirai bien moins pour m'en guérir à présent, si vous me fermez votre porte. Cette nuit j'avais résolu de vous faire dire que j'étais à la campagne ; mais je ne veux pas vous faire de mystères ni avoir l'air de me brouiller sans sujet. Maintenant George, vous allez dire : « Encore un qui va m'ennuyer », comme vous dîtes. Si je ne suis pas tout à fait le premier venu pour vous, dîtes-moi, comme vous me l'auriez dit hier en me parlant d'un autre, ce qu'il faut que je fasse ; mais, je vous en prie, si vous voulez me dire que vous doutez de ce que je vous écris, ne me répondez plutôt pas du tout. Je sais comme vous pensez de moi, et j'espère rien en vous disant cela. Je ne puis qu'y perdre une amie et les seules heures agréables que j'aie passées depuis un mois. Mais je sais que vous êtes bonne, que vous avez aimé, et je me confie à vous non pas comme à une maîtresse, mais comme un camarade franc et loyal. George, je suis fou de me priver du plaisir de vous voir pendant le peu de temps que vous avez encore à passer à Paris avant votre voyage à la campagne et votre départ pour l'Italie, où nous aurions passé de belles nuits, si j'avais de la force. Mais la vérité est que je souffre et que la force me manque. Alfred de Musset » Questions : 1. Qui écrit la lettre ? 2. A qui ? 3. Quand ? 4. Dans quel but ? /A quoi sert la lettre ? A quelle ligne avez-vous trouvé la réponse ? 5.  Comment voit-on que ce texte est une lettre ? 6. Comment Musset qualifie-t-il son entreprise ? Relève le champ lexical du risible. 7. Pourquoi Musset parle-t-il de sa déclaration de cette manière ? 8. (Lignes 5 et 6) : « Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens » : Quel est le temps des verbes soulignés ? Donnez leur infinitif. 9. (Ligne 14) : « dites-moi, (…) ce qu’il faut que je fasse ». Quel est le mode et le temps du verbe souligné ? 10. A part le sentiment amoureux, comment se sent Alfred de Musset en avouant son amour ? 11. Imaginez la réponse de George Sand. Merci d'avance et bonne journée.
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Bonsoir, pouvez- vous svp m'aider. Je vous en supplie aider moi. SVP Le texte de Musset : « Mon cher George, J'ai quelque chose de bête et de ridicule à vous dire. Je vous l'écris sottement, au lieu de vous l'avoir dit au retour de cette promenade, j'en serai désolé ce soir. Vous allez me rire au nez, me prendre pour un faiseur de phrases dans tous mes rapports avec vous jusqu'ici. Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens : je suis amoureux de vous, je le suis depuis le premier jour où j'ai été chez vous. J'ai cru que je m'en guérirais, en vous voyant tout simplement à titre d'ami. Il y a beaucoup de choses dans votre caractère qui pouvaient m'en guérir. J'ai tâché de me le persuader tant que j'ai pu ; mais je paye trop cher les moments que je passe avec vous. J'aime mieux vous le dire, et j'ai bien fait, parce que je souffrirai bien moins pour m'en guérir à présent, si vous me fermez votre porte. Cette nuit j'avais résolu de vous faire dire que j'étais à la campagne ; mais je ne veux pas vous faire de mystères ni avoir l'air de me brouiller sans sujet. Maintenant George, vous allez dire : « Encore un qui va m'ennuyer », comme vous dîtes. Si je ne suis pas tout à fait le premier venu pour vous, dîtes-moi, comme vous me l'auriez dit hier en me parlant d'un autre, ce qu'il faut que je fasse ; mais, je vous en prie, si vous voulez me dire que vous doutez de ce que je vous écris, ne me répondez plutôt pas du tout. Je sais comme vous pensez de moi, et j'espère rien en vous disant cela. Je ne puis qu'y perdre une amie et les seules heures agréables que j'aie passées depuis un mois. Mais je sais que vous êtes bonne, que vous avez aimé, et je me confie à vous non pas comme à une maîtresse, mais comme un camarade franc et loyal. George, je suis fou de me priver du plaisir de vous voir pendant le peu de temps que vous avez encore à passer à Paris avant votre voyage à la campagne et votre départ pour l'Italie, où nous aurions passé de belles nuits, si j'avais de la force. Mais la vérité est que je souffre et que la force me manque. Alfred de Musset » Questions : 1. Qui écrit la lettre ? 2. A qui ? 3. Quand ? 4. Dans quel but ? /A quoi sert la lettre ? A quelle ligne avez-vous trouvé la réponse ? 5.  Comment voit-on que ce texte est une lettre ? 6. Comment Musset qualifie-t-il son entreprise ? Relève le champ lexical du risible. 7. Pourquoi Musset parle-t-il de sa déclaration de cette manière ? 8. (Lignes 5 et 6) : « Vous me mettrez à la porte et vous croirez que je mens » : Quel est le temps des verbes soulignés ? Donnez leur infinitif. 9. (Ligne 14) : « dites-moi, (…) ce qu’il faut que je fasse ». Quel est le mode et le temps du verbe souligné ? 10. A part le sentiment amoureux, comment se sent Alfred de Musset en avouant son amour ? 11. Imaginez la réponse de George Sand. Merci d'avance et bonne journée.
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