February 2022 1 109 Report
bonsoir svp je suis bloquer sur les exercices 2 et 3 (photo) que je ne comprend pas:
merci d’avance.

Exercice 2: transformer les phrases suivantes à la voix active. Indiquez le temps du verbe de la phrase transformée.

- Les feuilles mortes ont été ramassées.
- L’eau sera coupée dans la matinée.
- Ce colis avait été livré par le facteur.
- Le toit de la cathédrale est réparé pas des compagnons charpentiers.
- Tous les livres auront été lus.

Exercice 3: Lisez ce texte et répondez aux questions.

texte:
La chose survint dans la cour de l'école, lors d'une récréation. En pleine course - dans le tohu-bohu
d'une partie de barres ou de tout autre jeu - je heurtai l'un de mes camarades qui courait en sens
inverse et fus projeté contre un mur, si violemment que je me fendis l'arcade sourcilière jusqu'à l'os.
Michel Leiris, L'Âge d'homme, Gallimard, 1939.

questions:
1.Entourez tous les verbes conjugués. De quel type de verbes s'agit-il principalement ?

2.Dans quel(s) cas l'action est-elle effectuée par le sujet ?

3.Dans quel(s) cas l'action n'est-elle pas effectuée par le sujet ? Quel est l'effet produit par l'absence
de complément d'agent?


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Bonjour, je bloque sur cette exercice de Français 3eme. Merci d’avance :) Identifiez dans chaque extrait de poème, le (ou les) procédé(s) d'écriture employé(s). b. Quel est l'effet produit dans chaque extrait ? Extrait 1 C'est le commencement, le monde est à repeindre, l'herbe veut être verte, elle a besoin de nos regards; les maisons où l'on vit, les routes où l'on marche, les jardins, les bateaux, les barrières m'attendent pour entrer dans leur vrai paradis. [...] J. TARDIEU, « Henri Rousseau », Figures, © Éditions Gallimard, 1944. Extrait 2 [...] Mais le poème Est un miroir Qui offre d'entrer Dans le reflet Pour le travailler, Le modifier. Alors le reflet modifié Réagit sur l'objet Qui s'est laissé refléter. GUILLEVIC, « Dans le poème... », Art poétique, © Éditions Gallimard, 1989. Extrait 3 Poème de la lune Il y a sur la nuit trois champignons qui sont la lune. Aussi brusquement que chante le coucou d'une hor-loge, ils se disposent autrement à minuit chaque mois. Il y a dans le jardin des fleurs rares qui sont de petits hommes couchés, cent, c'est les reflets d'un miroir. Il y a dans ma chambre obscure une navette lumineuse qui rôde, puis deux... des aérostats' phosphorescents, c'est les reflets d'un miroir. Il y a dans ma tête une abeille qui parle. M. JACOB, « Poème de la lune », Le Cornet à dés, © Éditions Gallimard, Extrait 4 [...] Le ciel bleu est chargé de dire à la nuit noire comment était le jour tout frais débarbouillé Mais il perd en chemin ses soucis la mémoire il rentre à la maison il a tout embrouillé [...] C. ROY, « Les soucis du ciel » (extrait), Poésies, © Éditions Gallimard, 1970. Extrait 5 Je viens vers toi ma terre baigneuse échevelée fleur des mers chant de sève rêveuse d'épopées de croyance éblouie terre de ma terre comme un grand songe et qui t'étires étoile de terre R. PHILOCTETE, « Ces îles qui marchent », Poesie vivante d'Haïti, © Maurice Nadeau, 1986.
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Bonsoir, je suis coincé sur cette exercice que je comprend pas svp: merci d’avance 1. Relevez les propositions subordonnées dans le texte suivant. 2. Donnez leur classe grammaticale: - subordonnée relative; - subordonnée conjonctive complétive; - subordonnée conjonctive circonstancielle; - subordonnée interrogative indirecte. Texte: Le narrateur, Bardamu, est un jeune soldat mobilisé pen- dant la Première Guerre mondiale. Quand nous avions donc traîné jusqu'au soir de chemins en collines et de luzernes en carottes, on finissait tout de même par s'arrêter pour que notre général puisse coucher quelque part. On lui cherchait, et on lui trouvait un village calme, bien à l'abri, où les troupes ne campaient pas encore et • s'il y en avait déjà dans le village des troupes, elles décampaient en vitesse, on les foutait à la porte, tout simplement; à la belle étoile, même si elles avaient déjà formé les faisceaux. Le village c'était réservé rien que pour l'état-major, ses chevaux, ses cantines, ses valises, et aussi pour ce saligaud de commandant. Il s'appelait Pinçon ce salaud-là, le commandant Pinçon. J'espère qu'à l'heure actuelle il est bien crevé (et pas d'une mort pépère). Mais à ce moment-là, dont je parle, il était encore salement vivant, le Pinçon. [...] Et moi qui n'étais point brave et qui ne voyais pas du tout pourquoi je l'aurais été brave, j'avais évidemment encore moins envie que personne de retrouver son Barbagnys, dont il nous parlait d'ailleurs lui-même absolument au hasard.
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