C'était par une belle journée de printemps que le combat allait commencer.
Les seigneurs et les dames très séduisantes dans leurs robes de couleurs vives prient place dans les tribunes. Les enfants regardaient sous une grande tente les armes des chevaliers en attendant le combat : des boucliers immenses et décorés de lions et de licornes, des lances étincelantes, des épées avec des devises gravées sur la lame. Plus loin, des haches si lourdes qu'il fallait être certainement être un géant pour les soulever. Soudain, les hérauts chargés d'organiser les combats et les cérémonies sonnèrent de la trompette. Les deux chevaliers entrèrent. Ils avaient revêtu leurs lourdes armures. L'un deux était très grand comme un géant. Ils étaient fiers sur leurs chevaux. Ils firent tous les deux un tour d'honneur en se tenant bien droits comme des piquets sur leurs destriers. Puis, le seigneur donna le signal de la première joute. Les armures brillaient au soleil. Les deux hommes rabattirent leurs visières, et dressèrent fièrement leurs hautes lances vers le ciel. Ils poussèrent un grand cri comme de bêtes et foncèrent. A trente pas l'un de l'autre, ils pointèrent leurs lances.Le choc fut terrible. Un des deux chevaliers fut soulevé brusquement dans les airs et il retomba aussitôt assommé. Il se releva tout penaud et reprit le combat. Au premier assaut, leurs lances se brisèrent net sous les yeux des spectateurs ahuris qui ne perdaient pas une miette du combat. Ils mirent pied à terre et dégainèrent leur épée. Le plus petit s'élança vers son adversaire et le blessé au bras d'un coup d'épée. Son bouclier vola en mille morceaux. Alors, il se mit à genoux et demanda grâce. Il avait tout perdu.
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C'était par une belle journée de printemps que le combat allait commencer.
Les seigneurs et les dames très séduisantes dans leurs robes de couleurs vives prient place dans les tribunes. Les enfants regardaient sous une grande tente les armes des chevaliers en attendant le combat : des boucliers immenses et décorés de lions et de licornes, des lances étincelantes, des épées avec des devises gravées sur la lame. Plus loin, des haches si lourdes qu'il fallait être certainement être un géant pour les soulever. Soudain, les hérauts chargés d'organiser les combats et les cérémonies sonnèrent de la trompette. Les deux chevaliers entrèrent. Ils avaient revêtu leurs lourdes armures. L'un deux était très grand comme un géant. Ils étaient fiers sur leurs chevaux. Ils firent tous les deux un tour d'honneur en se tenant bien droits comme des piquets sur leurs destriers. Puis, le seigneur donna le signal de la première joute. Les armures brillaient au soleil. Les deux hommes rabattirent leurs visières, et dressèrent fièrement leurs hautes lances vers le ciel. Ils poussèrent un grand cri comme de bêtes et foncèrent. A trente pas l'un de l'autre, ils pointèrent leurs lances.Le choc fut terrible. Un des deux chevaliers fut soulevé brusquement dans les airs et il retomba aussitôt assommé. Il se releva tout penaud et reprit le combat. Au premier assaut, leurs lances se brisèrent net sous les yeux des spectateurs ahuris qui ne perdaient pas une miette du combat. Ils mirent pied à terre et dégainèrent leur épée. Le plus petit s'élança vers son adversaire et le blessé au bras d'un coup d'épée. Son bouclier vola en mille morceaux. Alors, il se mit à genoux et demanda grâce. Il avait tout perdu.
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