Je me suis donné assez de mal pour le faire, j’espère que cela te convient :
Ma gorge se serre : le vent fait claquer les volets ; j’entends le bruit incessant du loquet sur la porte d’entrée. Le battement de mon cœur s’accélère, pendant quelques instants j’ai le souffle coupé, pourquoi suis-je dans cet état-là ? Dans ce lieu lugubre, sombre, dans une certaine pénombre, rien de bien rassurant me direz-vous, mais, ce qu’il y a de plus étrange, c’est que même mon cheval est immobile, les yeux écarquillé, il semble être dans le même état que moi … Soudain, un grincement se fait entendre, c’est la porte qui avec la force du vent, s’est entrouverte. Ceci me permet de pénétrer à l’intérieur du manoir, et là j’y fais une étrange découverte : l’endroit est très sombre, sale, des objets de toutes sorte jonchent au sol ; et qui n’ont pas de quoi me rassurer : des couteaux, des épées, des haches, et j’aperçois de même un sabre. Mes pieds commencent à trembler, je commence à ne pas me sentir très bien, comme si le sol se dérobait sous mes pieds. Mais, que m’arrive-t-il ? Est-ce la vue de ce manoir qui me rappelle les films que j’ai vu dans ma jeunesse ? Alors que je pensais passer une bonne journée dans ce manoir, je découvre : des toiles d’araignée, encore sur une étagère des objets tranchants, « quel lieu bizarre » me dis-je, quand à ce moment-là j’aperçois des gouttes rougeâtres le long du mur, je m’approche : de la peinture ? Et bien non, c’est du sang ! C’en est trop, je sors en courant du manoir, je ne voulais plus en voir d’avantage, et avec les nuages qui pèsent sur moi et qui apportent de la pluie, je remonte sur mon cheval qui me regarde d’un air attristé.
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Je me suis donné assez de mal pour le faire, j’espère que cela te convient :
Ma gorge se serre : le vent fait claquer les volets ; j’entends le bruit incessant du loquet sur la porte d’entrée. Le battement de mon cœur s’accélère, pendant quelques instants j’ai le souffle coupé, pourquoi suis-je dans cet état-là ? Dans ce lieu lugubre, sombre, dans une certaine pénombre, rien de bien rassurant me direz-vous, mais, ce qu’il y a de plus étrange, c’est que même mon cheval est immobile, les yeux écarquillé, il semble être dans le même état que moi … Soudain, un grincement se fait entendre, c’est la porte qui avec la force du vent, s’est entrouverte. Ceci me permet de pénétrer à l’intérieur du manoir, et là j’y fais une étrange découverte : l’endroit est très sombre, sale, des objets de toutes sorte jonchent au sol ; et qui n’ont pas de quoi me rassurer : des couteaux, des épées, des haches, et j’aperçois de même un sabre. Mes pieds commencent à trembler, je commence à ne pas me sentir très bien, comme si le sol se dérobait sous mes pieds. Mais, que m’arrive-t-il ? Est-ce la vue de ce manoir qui me rappelle les films que j’ai vu dans ma jeunesse ? Alors que je pensais passer une bonne journée dans ce manoir, je découvre : des toiles d’araignée, encore sur une étagère des objets tranchants, « quel lieu bizarre » me dis-je, quand à ce moment-là j’aperçois des gouttes rougeâtres le long du mur, je m’approche : de la peinture ? Et bien non, c’est du sang ! C’en est trop, je sors en courant du manoir, je ne voulais plus en voir d’avantage, et avec les nuages qui pèsent sur moi et qui apportent de la pluie, je remonte sur mon cheval qui me regarde d’un air attristé.
Passe une bonne journée !