Controle de grammaire : forme active et forme passive
Exercice 1:3 points
a. Dites si les formes verbales soulignées sont des formes verbales actives ou passives.
b. A quel temps sont conjuguées les formes passives que vous avez relevées ? (regardez
l'auxiliaire!)
1. Ils furent secourus par une équipe de professionnels
2. Nous secourons les touristes imprudents
3. Le médecin a été dérangé pour rien !
4. Le bruit des klaxons me dérange
5. La porte est fermée à clé.
6. La porte ferme mal
Exercice 2:2 points
a. Relevez les phrases à la forme passive,
b. Entourez les compléments d'agent dans les phrases que vous avez relevées.
1. Le discours du maire a été applaudi par toute la salle
2 Le vent a soulevé toutes les tuiles de la grange
3. La banque a été cambriolée hier soir par des malfaiteurs
Exercice 3 : 3 points
Transformez ces phrases actives en phrases passives (attention au temps des verbes!)
1. Le principal avait annulé la sortie au Palais de la découverte
2. Ce film m'a bouleversé.
3. On a volé mon vélo.
Exercice 4:2 points
Transformez ces phrases passives en phrases actives
1. Une biche et son faon ont été aperçus par les promeneurs
2. La grêle et le gel sont redoutés des vignerons de la région
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La ville Tous les chemins vont vers la ville. Du fond des brumes, Avec tous ses étages en voyage Jusques au ciel, vers de plus hauts étages, Comme d'un rêve, elle s'exhume. Là-bas, Ce sont des ponts musclés de fer, Lancés, par bonds, à travers l'air ; Ce sont des blocs et des colonnes Que décorent Sphinx et Gorgones ; Ce sont des tours sur des faubourgs ; Ce sont des millions de toits Dressant au ciel leurs angles droits : C'est la ville tentaculaire, Debout, Au bout des plaines et des domaines. [...] Des quais sonnent aux chocs de lourds fourgons ; Des tombereaux grincent comme des gonds ; Des balances de fer font choir des cubes d'ombre Et les glissent soudain en des sous-sols de feu ; Des ponts s'ouvrant par le milieu, Entre les mâts touffus dressent des gibets sombres Et des lettres de cuivre inscrivent l'univers, Immensément, par à travers Les toits, les corniches et les murailles, Face à face, comme en bataille. Et tout là-bas, passent chevaux et roues, Filent les trains, vole l'effort, Jusqu'aux gares, dressant, telles des proues Immobiles, de mille en mille, un fronton d'or. Des rails ramifiés y descendent sous terre Comme en des puits et des cratères Pour reparaître au loin en réseaux clairs d'éclairs Dans le vacarme et la poussière. C'est la ville tentaculaire. La rue - et ses remous comme des câbles Noués autour des monuments - Fuit et revient en longs enlacements ; Et ses foules inextricables, Les mains folles, les pas fiévreux, La haine aux yeux, Happent des dents le temps qui les devance. A l'aube, au soir, la nuit, Dans la hâte, le tumulte, le bruit, Elles jettent vers le hasard l'âpre semence De leur labeur que l'heure emporte. Et les comptoirs mornes et noirs Et les bureaux louches et faux Et les banques battent des portes Aux coups de vent de la démence. C'est la ville tentaculaire, La pieuvre ardente et l'ossuaire Et la carcasse solennelle. Et les chemins d'ici s'en vont à l'infini Vers elle. Emile Verhaeren, « La ville », Les campagnes hallucinées, 1893 1. noter vos impressions>réactions? de quoi ça parle ? 2. quel est la forme du poème Aidez moi svp je vous donne 11 points
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