Bonjour a tous !
Pouvez-vous verifiez cette traduction Espagnol vers Francais pour moi s'il vous plait ?
FRANCAIS
CICLONES Nicolás Guillen (1902-. Cuba)
La radio entra en funciones. Toda la actualidad, grávida que sea, se desplaza y cede el primer sitio al estado del tiempo. Este sigue empeorando. En cada calle, en cada casa, en cada café, la radio funciona a todo volumen y los partes del Observatorio, repetidos con una frecuencia de ametralladora nos persiguen implacablemente. El ciclón se convierte en un ser animado; deja de conducirse como una fuerza de la naturaleza, para adquirir la superior condición de un animal pensante aunque imbécil, digamos un terrorista. De pronto un vasto escalofrío recorre la población. La radio y los periódicos acaban de dar el último boletín del señor Millás. El ciclón, con vientos de 120 kilómetros por hora, se acerca a la porción occidental de la Isla. Febrilmente, desesperadamente, la población se entregą a la múltiple tarea de reforzar puertas y ventanas. Un incesante clavetear sale de todas las casas, Las vitrinas/de los embellecimientos se llenan de papel engomando. No casa de llover, con breves paréntesis en los que sale el sol y brilla fugazmente el cielo azul. Largas ráfagas barren las calles, pero todo el mundo sabe que eso no es el ciclón todavía ! Al fin el último, el ultimísimo boletín del Observatorio fluye de la radio y es voceado en las calles por los vendedores de diarios: « Esta noche a las 9 y 35 minutos, pasará por La Habana ei vórtice del ciclón cuyos movimientos ha estado anunciando esta oficina. Penetrará probablemente, par bata bañó, atravesando,la provincia en toda su extensión. El oeste, la provincia de Matanzas será afectado también por el meteoro, que se viene a una velocidad de 125 a 130 kilómetros por hora. Se encarece a la población que adopte el máximo de precauciones, pues la tormenta que se avecina es particularmente Hoy peligrosa... .»
ESPAGNOL
CICLONES Nicolás Guillen (1902- Cuba)
La radio entre en jeu. Tous les événements actuels, gravides, se déplacent et transfèrent la première place à la météo. Cela ne cesse de s'aggraver. Dans chaque rue, dans chaque maison, dans chaque café, la radio fonctionne à plein volume et les parties de l'Observatoire, répétées à la mitraillette, nous poursuivent implacablement. Le cyclone devient un être vivant; il cesse de se comporter comme une force de la nature, d'acquérir la condition supérieure d'un animal pensant, même s'il est imbécile, dit un terroriste. Soudain, un grand froid traverse la ville. La radio et les journaux viennent de donner le dernier bulletin de M. Millás. Le cyclone, avec des vents de 120 kilomètres à l'heure, approche la partie ouest de l'île et, désespérément, la population se livre à la tâche multiple de renforcer les portes et les fenêtres. Un spiking incessant sort de toutes les maisons, les vitrines / embellissements sont remplis de papier gommant. Pas de maison à pleuvoir, avec de brèves parenthèses dans lesquelles le soleil se lève et brille brièvement le ciel bleu. De longues rafales balayent les rues, mais tout le monde sait que le cyclone n'est pas encore là! Enfin le dernier, le dernier bulletin de l'Observatoire jaillit de la radio et est crié dans les rues par les vendeurs de journaux: «Ce soir à 9 et 35 minutes, passera à La Havane le cyclone vortex dont les mouvements annoncent Office Il va probablement pénétrer, bata, baigner, traverser, la province dans toute son extension. L'ouest, la province de Matanzas sera également affectée par le météore, qui atteint une vitesse de 125 à 130 kilomètres par heure. Il exhorte la population à prendre des précautions maximales, alors que la tempête approche est particulièrement dangereux aujourd'hui .... "
Lista de comentários
Verified answer
Bonjour Optimiste,CYCLONES Nicolás Guillen (1902- Cuba)
La radio entre en jeu. TOUTE L’ACTUALITÉ, QUELLE SOIT IMPORTANTE OU PAS, EST DÉPLACÉE ET LAISSE LA PLACE À LA MÉTÉO. Cela ne cesse de s'aggraver. Dans chaque rue, dans chaque maison, dans chaque café, la radio fonctionne à plein volume et LE RAPPORT de l'Observatoire, RÉPÉTÉ à la mitraillette, nous POURSUIT implacablement. Le cyclone devient un être vivant; il cesse de se comporter comme une force de la nature, d'acquérir la condition supérieure d'un animal pensant, même s'il est imbécile, DISONS MÊME un terroriste.
Soudain, un grand FRISSON traverse la ville. La radio et les journaux viennent de donner le dernier bulletin de M. Millás. Le cyclone, avec des vents À 120 kilomètres à l'heure, S'approche DE la partie ouest de l'île et, désespérément, la population se livre à la tâche multiple de renforcer les portes et les fenêtres.
Un BRUIT incessant DE COUPS DE MARTEAUX sort de toutes les maisons. LES vitrines / embellissements sont GARNIS de papier GOMMÉ. Il NE CESSE PAS DE pleuvoir, avec de brèves parenthèses dans lesquelles le soleil se lève et brille brièvement DANS le ciel bleu.
De longues rafales balayent les rues, mais tout le monde sait que le cyclone n'est pas encore là !
Enfin le dernier, le TOUT dernier bulletin de l'Observatoire jaillit de la radio et est crié dans les rues par les vendeurs de journaux: «Ce soir à 9 et 35 minutes, passera à La Havane le cyclone "Vortex" QUE CETTE RADIO A ANNONCÉ. Il va probablement PASSER PAR BATA BAÑO, EN TRAVERSANT la province dans toute son ÉTENDUE.
L'ouest, la province de Matanzas sera également affectée par le météore, qui ARRIVE À une vitesse de 125 à 130 kilomètres par heure.
ON exhorte la population à prendre des précautions maximales, CAR la tempête QUI S'approche AUJOURD'HUI est particulièrement DANGEREUSE .... "