« C’est l’histoire de Jacques Bourdillère, il ne veut pas se marier jusqu’au jours ou il rencontre sur la plage Berthe Lannis. Il l’a présenté à sa famille et devient rapidement fou d’elle. Cependant son ancienne maîtresse lui envoie toujours des lettres, celui contrarié ne lui répond jamais. Au printemps le mariage fut accepter par la famille de la mariée. Après les cérémonies ils se rendirent dans un petit boudoir japonais. Dans la nuit on lui ramena une nouvelle lettre. Il y avait écrit que son ami était souffrant. Il s’y rendit en hâte laissant sa femme seule. C’était une fausse excuse car en réalité la lettre disait que sa maîtresse a accouché d’un enfant. Sa maîtresse mourante lui confie que cette enfant était le sien. Il posa l’enfant sur le lit de la mère attendant tout les trois que la mort vienne. Il prend le bébé dans ses bras et rejoint sa femme. Il pensait qu’elle l’insulterai mais au contraire quand elle voit le petit et connaît les raisons de sa venue elle dit simplement ( alors nous l’élèverons ce petit) »
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« C’est l’histoire de Jacques Bourdillère, il ne veut pas se marier jusqu’au jours ou il rencontre sur la plage Berthe Lannis.
Il l’a présenté à sa famille et devient rapidement fou d’elle.
Cependant son ancienne maîtresse lui envoie toujours des lettres, celui contrarié ne lui répond jamais.
Au printemps le mariage fut accepter par la famille de la mariée.
Après les cérémonies ils se rendirent dans un petit boudoir japonais.
Dans la nuit on lui ramena une nouvelle lettre.
Il y avait écrit que son ami était souffrant. Il s’y rendit en hâte laissant sa femme seule.
C’était une fausse excuse car en réalité la lettre disait que sa maîtresse a accouché d’un enfant.
Sa maîtresse mourante lui confie que cette enfant était le sien.
Il posa l’enfant sur le lit de la mère attendant tout les trois que la mort vienne.
Il prend le bébé dans ses bras et rejoint sa femme.
Il pensait qu’elle l’insulterai mais au contraire quand elle voit le petit et connaît les raisons de sa venue elle dit simplement ( alors nous l’élèverons ce petit) »
Voilà j’espère t’avoir aidé