heu qui peux m'aider svppp j'arrive pas!! Sujet : Ecrivez un poème en prose à propos d’un objet trouvé par hasard. Vous organiserez votre texte en trois strophes : racontez d’abord les circonstances dans lesquelles vous avez trouvé cet objet, puis décrivez-le, enfin proposez quelques hypothèses sur son origine et son histoire.
La rue était déserte, je marchais d'un grand pas. La ville endormie allait se réveiller mais mes insomnies m'amenaient souvent à errer dans les ruelles à l'aube. Les façades obscures avaient les fenêtres éteintes, la lune par endroit, éclairait mon chemin. J'allais le nez au vent, distrait comme de coutume.
Mon pied heurta un petit objet que je ne reconnus pas. Il fallait se baisser, chercher dans le ruisseau. D'ailleurs pour passer inaperçu, il était même plié en deux. Bois ou métal, je n'aurais su le dire. Ma main saisit bien vite cette chose à sa taille. Je dus attendre la clarté d'un lampadaire pour l'identifier.
Je l'ouvris, sa lame toute petite était bien, aiguisée, le manche ouvragé trahissait le bon goût. Il était à la fois joli et fort utile. Sa place était dans une poche. Le perdre comportait un risque, on ne pourrait plus couper une branche, tailler un roseau, greffer , entailler une écorce ou sectionner un noeud. Je l'ai gardé, ce petit canif, je le sens dans ma poche comme un petit ami fidèle prêt à me dépanner.
charaizakia991
Première strophe : racontez à la première personne dans quelles circonstances vous avez trouvé l’objet en précisant : le lieu (un grenier, une rue, une salle de classe…) que vous décrirez, l’époque (une saison, un mois, une année…). Nommez l’objet, exprimez votre surprise.
charaizakia991
Deuxième strophe : décrivez l’objet en détails (aspect, forme, couleurs, texture…) utilisez des adjectifs péjoratifs ou mélioratifs, et surtout utilisez toutes les ressources du langage poétique (images, sons, rythme).
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Réponse :
La rue était déserte, je marchais d'un grand pas. La ville endormie allait se réveiller mais mes insomnies m'amenaient souvent à errer dans les ruelles à l'aube. Les façades obscures avaient les fenêtres éteintes, la lune par endroit, éclairait mon chemin. J'allais le nez au vent, distrait comme de coutume.
Mon pied heurta un petit objet que je ne reconnus pas. Il fallait se baisser, chercher dans le ruisseau. D'ailleurs pour passer inaperçu, il était même plié en deux. Bois ou métal, je n'aurais su le dire. Ma main saisit bien vite cette chose à sa taille. Je dus attendre la clarté d'un lampadaire pour l'identifier.
Je l'ouvris, sa lame toute petite était bien, aiguisée, le manche ouvragé trahissait le bon goût. Il était à la fois joli et fort utile. Sa place était dans une poche. Le perdre comportait un risque, on ne pourrait plus couper une branche, tailler un roseau, greffer , entailler une écorce ou sectionner un noeud. Je l'ai gardé, ce petit canif, je le sens dans ma poche comme un petit ami fidèle prêt à me dépanner.
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