Heyy pour 19 points, un merci, 5 étoiles et une meilleure réponse, qqn peut me dire des répliques de Jean et de Bérenger dans Rhinocéros (de Eugène Ionesco) et pourquoi vous avez choisi ces répliques ? Merci !
Lista de comentários
Commentaires (1)
JEAN, l'interrompant. — Vous êtes dans un triste état, mon ami. BERENGER. — Dans un triste état, vous trouvez ? JEAN. — Je ne suis pas aveugle. Vous tombez de fatigue, vous avez encore perdu la nuit, vous bâillez, vous êtes mort de sommeil... BERENGER. — J'ai un peu mal aux cheveux... JEAN. — Vous puez l'alcool ! BERENGER. — J'ai un petit peu la gueule de bois, c'est vrai ! JEAN. — Tous les dimanches matin, c'est pareil, sans compter les jours de la semaine. BERENGER. — Ah non, en semaine c'est moins fréquent, à cause du bureau... JEAN. — Et votre cravate, où est-elle ? Vous l'avez perdue dans vos ébats ! BERENGER, mettant la main à son cou. — Tiens, c'est vrai, c'est drôle, qu'est-ce que j'ai bien pu en faire ? JEAN, sortant une cravate de la poche de son veston. — Tenez, mettez celle-ci.
Lista de comentários
BERENGER. — Dans un triste état, vous trouvez ?
JEAN. — Je ne suis pas aveugle. Vous tombez de fatigue, vous avez encore perdu la nuit, vous bâillez, vous êtes mort de sommeil...
BERENGER. — J'ai un peu mal aux cheveux...
JEAN. — Vous puez l'alcool !
BERENGER. — J'ai un petit peu la gueule de bois, c'est vrai !
JEAN. — Tous les dimanches matin, c'est pareil, sans compter les jours de la semaine.
BERENGER. — Ah non, en semaine c'est moins fréquent, à cause du bureau...
JEAN. — Et votre cravate, où est-elle ? Vous l'avez perdue dans vos ébats !
BERENGER, mettant la main à son cou. — Tiens, c'est vrai, c'est drôle, qu'est-ce que j'ai bien pu en faire ?
JEAN, sortant une cravate de la poche de son veston. — Tenez, mettez celle-ci.