"Hier, en sortant de chez moi, j'ai...." Redige une histoire en imaginant une chose fantastique et horrible arrivée.... Aidez moi mnt svvvvvp
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teadu333
Hier, en sortant de chez moi, j'ai j’ai ressenti la peur l’automne dernier par un soir d’Halloween. Je dormais chez un ami pour un anniversaire. Il s’appelait Max et il était marrant et sympa. Le soir on se racontait des histoires qui faisaient peur. Les histoires paraissaient effrayantes jusqu’au moment où se fut mon tour d’en raconter une. Je commençai : « Il était une fois l’histoire de Peter le prédateur », Max et les autres amis qu’il avait invités se moquèrent un peu de moi ; mais je continuai : « Peter le prédateur était un criminel ingénieux et futé qui tuait ses victimes uniquement la nuit en leur tirant trois balles dessus : deux dans chacune des joues et une dans le front. Il était toujours en cavale et n’était jamais repéré. La seule chose que les policiers savaient de lui, c’est qu’il s’appelait Peter et que c’était un tueur en série. Mais ils ne l’avaient vu qu’une seule fois, un jour où il avait été imprudent. Ils reconnaissaient bien sa signature avec sa façon de tuer ses victimes trois balles. Le lendemain d’un de ses multiples meurtres, Peter avait été repéré et mis en prison par le plus courageux de tous les policiers. Il y est resté plus de deux mois puis s’était enfui sans qu’on le vit. A ce jour encore, on dit que personne ne l’a jamais revu. » A ce moment-là, Max et les autres ne rigolaient plus, et moi je voulais continuer mon histoire mais ils me suppliaient d’arrêter. C’est alors qu’une ombre passa derrière la fenêtre. Nous nous regardâmes avec des yeux terrorisés, même moi j’avais perdu mon calme. Nous avions envie de crier mais nous aurions réveillés les parents de Max alors on ne parlait pas et on ne bougeait plus, attendant ce qui allait se passer. Cinq minutes plus tard, comme il ne se passait rien, nous recommençâmes à parler et à rire. Mais, même si on ne se le montrait pas, on était tous plus horrifiés les uns que les autres. Pour nous changer les idées, je proposai donc un jeu que j’avais ramené de chez moi. Tous étaient d’accord et ils le trouvèrent amusant. Nous jouâmes trois parties et il commençait à se faire vraiment tard. Tout le monde rejoignit son lit sauf Max qui voulait aller boire. Il partit de la chambre pendant que nous nous glissions sous les nombreuses couettes. Plus aucun de nous n’avait peur de cette histoire et nous rigolâmes. Dix minutes passèrent et Max ne revenait pas. C’est alors que nous entendîmes trois coups forts, secs et violents, nous sursautâmes tous en même temps et nous ne bougeâmes plus d’un centimètre : nous n’osions plus respirer. Nous criâmes tous en en chœur : « Max ! Où es tu ? » Mais aucune réponse ne nous parvint. Nous attendîmes je ne sais quoi. Je ne sais pas pourquoi mais nous attendîmes longtemps... Puis nous recommençâmes à crier : « Max, ça va ? Où es tu ? »
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teadu333
ce que je vais t'envoyer c'est un des rédactions que j'ai fait sur la peur
teadu333
hier en sortant de chez moi pour aller au collège avec mes amie
teadu333
Nous fîmes la route ensemble. Matinée ordinaire avec des exercices de maths. A lheure du déjeuner, je sortis du collège pour rentrer chez moi quand je vis une étrange lumière apparaître devant moi.
teadu333
Je nosai pas me rapprocher delle, je sentis des gouttes de sueur couler sur mon dos et mon cur battait à tout rompre.
teadu333
Je voulus crier mais il ny avait personne. Japerçus une forme humaine qui se détachait de la lumière pour avancer vers moi et je finis par distinguer ma grand-mère !
teadu333
Je fus extrêmement soulagée et je mempressai de lui demander ce quelle faisait ici. Mais ma grand-mère ne me répondit pas : elle me souriait et me dit juste : « Je taime ».
teadu333
Je ne comprenais plus rien. Mon portable sonna et tout disparut. Je décrochai, cétait ma mère au téléphone. Elle mannonça que ma grand-mère venait de mourir. Je lâchai mon portable, folle de chagrin et je compris : ma grand-mère était venue me dire au revoir.
Amaloula
Merci bcp bcp mais je veux qu'une chose se passe dehors par exemple je suis sortie pui j'appercue que le ciel et separé en deux etc... Quelque chose de fantastique dehors de la maison
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Je dormais chez un ami pour un anniversaire. Il s’appelait Max et il était marrant et sympa.
Le soir on se racontait des histoires qui faisaient peur. Les histoires paraissaient effrayantes jusqu’au moment où se fut mon tour d’en raconter une.
Je commençai : « Il était une fois l’histoire de Peter le prédateur », Max et les autres amis qu’il avait invités se moquèrent un peu de moi ; mais je continuai : « Peter le prédateur était un criminel ingénieux et futé qui tuait ses victimes uniquement la nuit en leur tirant trois balles dessus : deux dans chacune des joues et une dans le front.
Il était toujours en cavale et n’était jamais repéré.
La seule chose que les policiers savaient de lui, c’est qu’il s’appelait Peter et que c’était un tueur en série.
Mais ils ne l’avaient vu qu’une seule fois, un jour où il avait été imprudent. Ils reconnaissaient bien sa signature avec sa façon de tuer ses victimes trois balles.
Le lendemain d’un de ses multiples meurtres, Peter avait été repéré et mis en prison par le plus courageux de tous les policiers.
Il y est resté plus de deux mois puis s’était enfui sans qu’on le vit.
A ce jour encore, on dit que personne ne l’a jamais revu. »
A ce moment-là, Max et les autres ne rigolaient plus, et moi je voulais continuer mon histoire mais ils me suppliaient d’arrêter. C’est alors qu’une ombre passa derrière la fenêtre.
Nous nous regardâmes avec des yeux terrorisés, même moi j’avais perdu mon calme. Nous avions envie de crier mais nous aurions réveillés les parents de Max alors on ne parlait pas et on ne bougeait plus, attendant ce qui allait se passer. Cinq minutes plus tard, comme il ne se passait rien, nous recommençâmes à parler et à rire. Mais, même si on ne se le montrait pas, on était tous plus horrifiés les uns que les autres. Pour nous changer les idées, je proposai donc un jeu que j’avais ramené de chez moi. Tous étaient d’accord et ils le trouvèrent amusant.
Nous jouâmes trois parties et il commençait à se faire vraiment tard. Tout le monde rejoignit son lit sauf Max qui voulait aller boire. Il partit de la chambre pendant que nous nous glissions sous les nombreuses couettes. Plus aucun de nous n’avait peur de cette histoire et nous rigolâmes. Dix minutes passèrent et Max ne revenait pas. C’est alors que nous entendîmes trois coups forts, secs et violents, nous sursautâmes tous en même temps et nous ne bougeâmes plus d’un centimètre : nous n’osions plus respirer.
Nous criâmes tous en en chœur : « Max ! Où es tu ? » Mais aucune réponse ne nous parvint. Nous attendîmes je ne sais quoi. Je ne sais pas pourquoi mais nous attendîmes longtemps... Puis nous recommençâmes à crier : « Max, ça va ? Où es tu ? »