J'ai analyse à faire pour lundi. Je dois faire l analyse d athenes 1953 de cartier bresson. Pourrez m'aider. C'est très urgent Merci d'avance
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okjcgongy
Bonjour sa pourrait peut etre t'aider : AnalyseL’analyse doit permettre de dégager quelques grandes caractéristiques de l’Humanisme et de la Renaissance : la place centrale de l’Homme et de la Connaissance. Les mouvements des mains des deux philosophes expliquent les deux directions dominantes de la fresque, et son sens (la « dispute » philosophique sur les voies d’accès à la connaissance, traduite part le recours à la symétrie dans la composition de la fresque). On soulignera la présence d’Averroès, « passeur » d’Aristote en Occident, en réutilisant le cours sur la Méditerranée au XIIe siècle. La diapositive sur le personnage de Diogène permet de montrer que cette nouvelle place de l’Homme ne se limite pas aux idées mais aussi à la représentation des corps, appuyées sur les études anatomiques et scientifiques contemporaines. L’importance de l’héritage gréco-romain antique, déjà perceptible dans le monde des idées, dans l’art et particulièrement l’architecture, héritage qui n’est pas simplement copié mais réinterprété et renouvelé (Renaissance). On montrera que le décor peint par Raphaël s’inspire des projets en cours de réalisation (et poursuivis/modifiés par Raphaël puis Michel-Ange) de Bramante pour la basilique Saint-Pierre (plan en croix grecque, piliers et coupole, plafonds à caisson). L’autre grande caractéristique de la Renaissance décelable sur la fresque est l’utilisation de différents procédés de perspective (perspective euclidienne avec point de fuite, utilisation des couleurs, succession des cercles des plafonds et des ciels). Les rapports entre les artistes et le pouvoir. La présence de Raphaël sur la fresque, ainsi que celle d’artistes contemporains qui participent au projet pontifical, permettra d’insister sur la place nouvelle de l’artiste, qui signe ses œuvres, et sur la question du mécénat (Federico della Rovere, duc d’Urbino, est le fils du protecteur du père de Raphaël, ainsi que le neveu de Jules II). Le fresque devient ainsi une œuvre à la gloire de Jules II, dont la cour est comparée à l’Athènes du Ve Siècle. On terminera par l’explication du projet pictural voulu par le pape, où les fresques se répondent, la Foi chrétienne triomphant sur la Raison païenne. Le dernier mot reste donc au mécène, et l’Humanisme, qui met l’Homme au centre de la Création, n’est pas un rejet de la Foi.
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la place centrale de l’Homme et de la Connaissance. Les mouvements des mains des deux philosophes expliquent les deux directions dominantes de la fresque, et son sens (la « dispute » philosophique sur les voies d’accès à la connaissance, traduite part le recours à la symétrie dans la composition de la fresque). On soulignera la présence d’Averroès, « passeur » d’Aristote en Occident, en réutilisant le cours sur la Méditerranée au XIIe siècle. La diapositive sur le personnage de Diogène permet de montrer que cette nouvelle place de l’Homme ne se limite pas aux idées mais aussi à la représentation des corps, appuyées sur les études anatomiques et scientifiques contemporaines. L’importance de l’héritage gréco-romain antique, déjà perceptible dans le monde des idées, dans l’art et particulièrement l’architecture, héritage qui n’est pas simplement copié mais réinterprété et renouvelé (Renaissance). On montrera que le décor peint par Raphaël s’inspire des projets en cours de réalisation (et poursuivis/modifiés par Raphaël puis Michel-Ange) de Bramante pour la basilique Saint-Pierre (plan en croix grecque, piliers et coupole, plafonds à caisson). L’autre grande caractéristique de la Renaissance décelable sur la fresque est l’utilisation de différents procédés de perspective (perspective euclidienne avec point de fuite, utilisation des couleurs, succession des cercles des plafonds et des ciels). Les rapports entre les artistes et le pouvoir. La présence de Raphaël sur la fresque, ainsi que celle d’artistes contemporains qui participent au projet pontifical, permettra d’insister sur la place nouvelle de l’artiste, qui signe ses œuvres, et sur la question du mécénat (Federico della Rovere, duc d’Urbino, est le fils du protecteur du père de Raphaël, ainsi que le neveu de Jules II). Le fresque devient ainsi une œuvre à la gloire de Jules II, dont la cour est comparée à l’Athènes du Ve Siècle. On terminera par l’explication du projet pictural voulu par le pape, où les fresques se répondent, la Foi chrétienne triomphant sur la Raison païenne. Le dernier mot reste donc au mécène, et l’Humanisme, qui met l’Homme au centre de la Création, n’est pas un rejet de la Foi.