Jai tu des fautes d orthographe?
Il nous demanda, à tour de rôle, si nous avions de
l’argent à lui offrir. Contrairement à moi, tous mes amis sortirent de leurs
poches ce qu’ils avaient, c’est-à-dire des billets de dix et de vingt dollars.
Moi, je n’eus pas vraiment le choix, je ne pouvais pas sortir grand-chose de
mes poches puisque je n’avais rien à part des mouchoirs usés, des factures
déchirées et des cartes de visites bien inutiles pour cette situation. Le
surveillant a rapidement récupéré l’argent qu'il avait collecté et laissa
partir mes amis.
Lorsque je m’apprêtais à sortir avec eux, il
bloqua mon passage en me repoussant d’un geste violent, qui me fit tomber au
sol.
En me relevant, j’aperçus les regards diaboliques de mes camarades et
j’entendis leurs rires moqueurs. Les mêmes questions, concernant l’amitié, refirent
surface dans mon esprit.
Toutefois, mes réponses paraissaient peu cohérentes et
logiques. L’homme en face de moi éclata ma bulle en me demandant si, chez moi, j’avais de
l’argent. Je lui répondu que je n’en possédais pas puisque ma famille était
relativement pauvre. En entendant ma réplique, son regard se durcit et cela me
fit rapidement changer d’idée. Je lui répondis qu’il m’était possible de lui offrir un billet de cent
dollars dans une semaine de temps, mais il m’a ordonné de
lui apporter cet argent le plus tôt possible. Précisément au moment où je
sortais, les policiers sont arrivés. La trouille a pris part de moi, mais
j’étais
vraiment chanceuse, car ceux-ci ne m’ont posés aucunes questions concernant le
décès.
Ils ont amené le cadavre avec eux et ont conclus que ce n’était rien d’autre
qu’une mort causée par une maladie abdominale
Après avoir répondu à certaines questions, sans
éveiller de soupçons sur moi, le surveillant me suivit jusqu’à la sortie pour prendre mes
coordonnées. Son motif demeurait encore bel et bien l’argent. Pour obtenir
cette somme d’argent
qui me paraissait exubérante, j’ai dû me chercher un emploi. Dans ma tête,
retrouver un travail était l’une des choses les plus simples à faire. Toutefois,
cela ne m’a pas pris longtemps pour comprendre que j’étais dans le champ
lorsque je pensais à cela.
Après quelques jours de recherches, j’ai finalement décroché un emploi. Il ne
me semblait pas très payant, mais c’était déjà mieux que rien. Quelques
journées complètes de corvées m’ont permis d’amasser la somme d’argent exigée. J’ai donc démissionné, avec beaucoup de
soulagement, et je me suis mise en route
vers le cinéma.
Sur mon chemin, tout était parfaitement correct jusqu’à ce que
j’aperçoive mes amis au loin. Cette fois, ils ne m’ont pas ignoré, ils se sont
plutôt approchés de moi. Puisque leurs sourires me paraissaient superficiels, j’ai continué ma route sans m’arrêter pour enfin atteindre ma destination vers midi. J’ai constaté que mes
camarades m’ont suivi, mais qu’en
cours de route, ils s’étaient arrêtés pour effectuer un appel téléphonique tout
en gardant les regards vers mon véhicule.
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Il nous demanda, à tour de rôle, si nous avions de l’argent à lui offrir. Contrairement à moi, tous mes amis sortirent de leurs poches ce qu’ils avaient, c’est-à-dire des billets de dix et de vingt dollars.Moi, je n’eus pas vraiment le choix, je ne pouvais pas sortir grand-chose de
mes poches puisque je n’avais rien à part des mouchoirs usés, des factures
déchirées et des cartes de visites bien inutiles pour cette situation. Le
surveillant a rapidement récupéré l’argent qu'il avait collecté et laissa
partir mes amis.
Lorsque je m’apprêtais à sortir avec eux, il bloqua mon passage en me repoussant d’un geste violent, qui me fit tomber au sol.
En me relevant, j’aperçus les regards diaboliques de mes camarades et
j’entendis leurs rires moqueurs. Les mêmes questions, concernant l’amitié, refirent surface dans mon esprit.
Toutefois, mes réponses paraissaient peu cohérentes et illogiques. L’homme en face de moi éclata ma bulle en me demandant si, chez moi, j’avais de
l’argent. Je lui répondis que je n’en possédais pas puisque ma famille était
relativement pauvre. En entendant ma réplique, son regard se durcit et cela me
fit rapidement changer d’idée. Je lui répondis alors qu’il m’était possible de lui offrir un billet de cent dollars dans une semaine, mais il m’a ordonné de lui apporter cet argent le plus tôt possible. Précisément au moment où je
sortais, les policiers sont arrivés. La trouille m'a saisie, mais
j’étais vraiment chanceuse, car ceux-ci ne m’ont posé aucune question concernant le décès.
Ils ont amené le cadavre avec eux et ont conclu que ce n’était rien d’autre qu’une mort causée par une maladie abdominale.
Après avoir répondu à certaines questions, sans éveiller de soupçons sur moi, le surveillant me suivit jusqu’à la sortie pour noter mes coordonnées. Son motif demeurait encore bel et bien l’argent. Pour obtenir cette somme tant désirée
qui me paraissait énorme, j’ai dû me chercher un emploi. Dans ma tête,
retrouver un travail était l’une des choses les plus simples à faire. Toutefois,
cela ne m’a pas pris longtemps pour comprendre que j’étais dans le champs
lorsque je pensais à cela.
Après quelques jours de recherches, j’ai finalement décroché un emploi. Il ne
me semblait pas très payant, mais c’était déjà mieux que rien. Quelques
journées complètes de corvées m’ont permis d’amasser la somme d’argent exigée. J’ai donc démissionné après, avec beaucoup de soulagement, et je me suis mise en route vers le cinéma.
Sur mon chemin, tout était parfaitement correct jusqu’à ce que j’aperçoive mes amis au loin. Cette fois, ils ne m’ont pas ignorée, ils se sont plutôt approchés de moi. Puisque leurs sourires me paraissaient superficiels, j’ai continué ma route sans m’arrêter pour enfin atteindre ma destination vers midi. J’ai constaté que mes camarades m’avaient suivi, mais qu’en cours de route, ils s’étaient arrêtés pour effectuer un appel téléphonique tout en gardant les regards vers mon véhicule.