Corrigez faute, develloper et ENRICHIR SVP Lorsque le surveillant les a appelés, j’ai aperçu qu’un sourire s’était formé sur mes lèvres. Rapidement, je l’ai effacé. Quelques instants plus tard, après avoir informé la police du décès, le surveillant nous a amené dans une chambre particulière situé à un endroit isolé. Il nous a demandé, à tour de rôle, si nous avions de l’argent à lui offrir. Contrairement à moi, tous mes amis ont sorti de leur poche ce qu’il avait, c’est-à-dire des billets de dix et de vingt  dollars .Moi, je n’avais pas vraiment le choix. Je ne pouvais pas sortir grandes choses de mes poches puisque je n’avais rien à part des mouchoirs usés, des factures déchirées et des cartes de visites bien inutiles pour cette situation. Le surveillant a rapidement amassé l’argent qu’il avait collecté et a laissé quitter mes amis. Lorsque je m’apprêtais à sortir avec eux, il a bloqué mon passage et m’a repoussé d’un geste violent. Après ma chute, en me relevant, j’ai aperçu les regards diaboliques de mes camarades et ai entendu leurs rires moqueurs. Les mêmes questions, concernant l’amitié, ont refait surface dans mon esprit. Toutefois, mes réponses me paraissaient peu cohérentes et logiques. Le surveillant est venu éclater ma bulle en me demandant si, chez moi, j’avais de l’argent. Je lui ai répondu que je n’en possédais pas puisque ma famille était relativement pauvre. En entendant ma réplique, son regard  dur m’a fait rapidement changer d’idée. Je lui ai répondu qu’il m’était possible de lui offrir un billet de cent dollars dans une semaine de temps. Il m’a ordonné de lui apporter cet argent le plus tôt possible. Précisément au moment où je sortais les policiers sont arrivés. La trouille a pris part de moi, mais j’étais vraiment chanceuse, car ceux-ci ne m’ont posés aucunes questions concernant le décès. Ils ont amenés le cadavre avec eux et ont conclus que c’était rien d’autre qu’une mort causée par une maladie au ventre. Après avoir répondu à certaines questions sans éveiller de soupçons sur moi, le surveillant m’a suivi jusqu’à la sortie pour prendre mes coordonnés. Son motif demeurait encore bel et bien l’argent. Pour obtenir cette somme d’argent qui me paraissait exubérante, j’ai dû me chercher un emploi. Dans ma tête, retrouver un travail était l’une des choses les plus simples à faire. Toutefois, ça ne m’a pas pris long pour comprendre que j’étais dans le champ lorsque je pensais à cela. Après quelques jours de recherches, j’ai finalement décroché un emploi. Il ne me semblait pas très payant, mais c’était déjà mieux que rien. Quelques journées complètes de travail m’ont permis d’amasser la somme d’argent exigée. J’ai donc démissionné de mon travail avec beaucoup de soulagement et je me suis mise en route vers le cinéma. Lors de mon chemin, tout était parfaitement correct jusqu’à ce que j’aperçoive mes amis au loin. Cette fois, ils ne m’ont pas ignorés, ils se sont plutôt approcher de moi. J’ai vite remarqué que leurs sourires ne provenaient pas du fond de leurs cœurs. Cette fois, c’est moi qui les ai ignorés. J’ai continué ma route pour enfin atteindre le cinéma vers midi. J’ai constaté que mes <<amis>> m’ont suivi, mais qu’en cours de route, ils s’étaient arrêter pour effectuer un appel téléphonique tout en gardant les regards vers mon véhicule.   
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Corriger fautes d'orthographeSYNTHAXE GRAMMAIRE VERBE ET  TOUUT SVP SVP SVPIl nous demanda, à tour de rôle, si nous avions de l’argent à lui offrir. Contrairement à moi, tous mes amis sortirent de leurs poches ce qu’ils avaient, c’est-à-dire des billets de dix et de vingt dollars. Moi, je n’eus pas vraiment le choix, je ne pouvais pas sortir grand-chose de mes poches puisque je n’avais rien à part des mouchoirs usés, des factures déchirées et des cartes de visite bien inutiles pour cette situation. Le surveillant a rapidement récupéré l’argent qu'il avait collecté et laissa partir mes amis. Lorsque je m’apprêtais à sortir avec eux, il bloqua mon passage en me repoussant d’un geste violent, qui me fit tomber au sol. En me relevant, j’aperçus les regards diaboliques de mes camarades et j’entendis leurs rires moqueurs. Les mêmes questions, concernant l’amitié, refirent surface dans mon esprit.Toutefois, mes réponses paraissaient peu cohérentes et illogiques. L’homme en face de moi éclata ma bulle en me demandant si, chez moi, j’avais de l’argent. Je lui répondis que je n’en possédais pas puisque ma famille était relativement pauvre. En entendant ma réplique, son regard se durcit et cela me fit rapidement changer d’idée. Je lui répondis alors qu’il m’était possible de lui offrir un billet de cent dollars dans une semaine, mais il m’a ordonné de lui apporter cet argent le plus tôt possible. Précisément au moment où je sortais, les policiers sont arrivés. La trouille m'a saisie, mais j’étais vraiment chanceuse, car ceux-ci ne m’ont posé aucune question concernant le décès. Ils ont amené le cadavre avec eux et ont conclu que ce n’était rien d’autre qu’une mort causée par une maladie abdominale.Après avoir répondu à certaines questions, sans éveiller de soupçons sur moi, le surveillant me suivit jusqu’à la sortie pour noter mes coordonnées. Son motif demeurait encore bel et bien l’argent. Pour obtenir cette somme tant désirée qui me paraissait énorme, j’ai dû me chercher un emploi. Dans ma tête, retrouver un travail était l’une des choses les plus simples à faire. Toutefois, cela ne m’a pas pris longtemps pour comprendre que j’étais dans le champ lorsque je pensais à cela. Après quelques jours de recherches, j’ai finalement décroché un emploi. Il ne me semblait pas très payant, mais c’était déjà mieux que rien. Quelques journées complètes de corvées m’ont permis d’amasser la somme d’argent exigée. J’ai donc démissionné, avec beaucoup de soulagement, et je me suis mise en route vers le cinéma. Sur mon chemin, tout s'est déroulé sans embûche jusqu'à ce que j'aperçoive au loin mes amis. Cette fois, ils ne m'ignorèrent pas, ils s'approchèrent plutôt de moi .Puisque leurs sourires me parurent superficiels, je continuais mon chemin pour atteindre enfin ma destination, vers  midi. Je constatai que mes camarades m’avaient suivi, mais qu’en cours de route, ils s’étaient arrêtés pour effectuer un appel téléphonique tout en gardant les regards vers mon véhicule.
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Jai tu des fautes d orthographe?Il nous demanda, à tour de rôle, si nous avions de l’argent à lui offrir. Contrairement à moi, tous mes amis sortirent de leurs poches ce qu’ils avaient, c’est-à-dire des billets de dix et de vingt dollars. Moi, je n’eus pas vraiment le choix, je ne pouvais pas sortir grand-chose de mes poches puisque je n’avais rien à part des mouchoirs usés, des factures déchirées et des cartes de visites bien inutiles pour cette situation. Le surveillant a rapidement récupéré l’argent qu'il avait collecté et laissa partir mes amis.Lorsque je m’apprêtais à sortir avec eux, il bloqua mon passage en me repoussant d’un geste violent, qui me fit tomber au sol. En me relevant, j’aperçus les regards diaboliques de mes camarades et j’entendis leurs rires moqueurs. Les mêmes questions, concernant l’amitié, refirent surface dans mon esprit.Toutefois, mes réponses paraissaient peu cohérentes et logiques. L’homme en face de moi éclata ma bulle en me demandant si, chez moi, j’avais de l’argent. Je lui répondu que je n’en possédais pas puisque ma famille était relativement pauvre. En entendant ma réplique, son regard se durcit et cela me fit rapidement  changer d’idée. Je lui répondis qu’il m’était  possible de lui offrir un billet de cent dollars dans une semaine de temps, mais il m’a ordonné de lui apporter cet argent le plus tôt possible. Précisément au moment où je sortais, les policiers sont arrivés. La trouille a pris part de moi, mais j’étais vraiment chanceuse, car ceux-ci ne m’ont posés aucunes questions concernant le décès. Ils ont amené le cadavre avec eux et ont conclus que ce n’était rien d’autre qu’une mort causée par une maladie abdominaleAprès avoir répondu à certaines questions, sans éveiller de soupçons sur moi, le surveillant me suivit  jusqu’à la sortie pour prendre mes coordonnées. Son motif demeurait encore bel et bien l’argent. Pour obtenir cette somme d’argent qui me paraissait exubérante, j’ai dû me chercher un emploi. Dans ma tête, retrouver un travail était l’une des choses les plus simples à faire. Toutefois, cela ne m’a pas pris longtemps pour comprendre que j’étais dans le champ lorsque je pensais à cela. Après quelques jours de recherches, j’ai finalement décroché un emploi. Il ne me semblait pas très payant, mais c’était déjà mieux que rien. Quelques journées complètes de corvées m’ont permis d’amasser la somme d’argent exigée. J’ai donc démissionné, avec beaucoup de soulagement,  et je me suis mise en route vers le cinéma.Sur mon chemin, tout était parfaitement correct jusqu’à ce que j’aperçoive mes amis au loin. Cette fois, ils ne m’ont pas ignoré, ils se sont plutôt approchés de moi. Puisque leurs sourires me paraissaient  superficiels, j’ai continué ma route  sans m’arrêter pour enfin atteindre  ma destination vers midi. J’ai constaté que mes  camarades  m’ont suivi, mais qu’en cours de route, ils s’étaient arrêtés pour effectuer un appel téléphonique tout en gardant les regards vers mon véhicule. 
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URGENT:Corriger fautes OTHOGRAPHE ET SYNTHAXE GRAMMAIRE SVP ENRICHIRRRRR Il nous demanda, à tour de rôle, si nous avions de l’argent à lui offrir. Contrairement à moi, tous mes amis sortirent de leurs poches ce qu’ils avaient, c’est-à-dire des billets de dix et de vingt dollars. Moi, je n’eus pas vraiment le choix, je ne pouvais pas sortir grand chose de mes poches puisque je n’avais rien à part des mouchoirs usés, des factures déchirées et des cartes de visites bien inutiles pour cette situation. Le surveillant a rapidement ramassé l’argent qu’il avait collecté et laissa quitter  mes amis. Lorsque je m’apprêtais à sortir avec eux, il bloqua mon passage en me repoussant d’un geste violent, qui me fit tomber au sol. En me relevant, j’aperçus les regards diaboliques de mes camarades et j’entendis leurs rires moqueurs. Les mêmes questions, concernant l’amitié, ont refait surface dans mon esprit.Toutefois, mes réponses me paraissaient peu cohérentes et logiques. L’homme en face de moi éclata ma bulle en me demandant si, chez moi, j’avais de l’argent. Je lui ai répondu que je n’en possédais pas puisque ma famille était relativement pauvre. En entendant ma réplique, un  regard  dur s’est posé sur son visage et cela  m’a rapidement fait changer d’idée. Je lui répondis qu’il me fit possible de lui offrir un billet de cent dollars dans une semaine de temps, mais il m’a ordonné de lui apporter cet argent le plus tôt possible. Précisément au moment où je sortais, les policiers sont arrivés. La trouille a pris part de moi, mais j’étais vraiment chanceuse, car ceux-ci ne m’ont posés aucunes questions concernant le décès. Ils ont amené le cadavre avec eux et ont conclus que ce n’était rien d’autre qu’une mort causée par une maladie du ventre.Après avoir répondu à certaines questions, sans éveiller de soupçons sur moi, le surveillant me suivit  jusqu’à la sortie pour prendre mes coordonnées. Son motif demeurait encore bel et bien l’argent. Pour obtenir cette somme d’argent qui me paraissait exubérante, j’ai dû me chercher un emploi. Dans ma tête, retrouver un travail était l’une des choses les plus simples à faire. Toutefois, cela ne m’a pas pris long pour comprendre que j’étais dans le champ lorsque je pensais à cela. Après quelques jours de recherches, j’ai finalement décroché un emploi. Il ne me semblait pas très payant, mais c’était déjà mieux que rien. Quelques journées complètes de corvées m’ont permis d’amasser la somme d’argent exigée. J’ai donc démissionné, avec beaucoup de soulagement,  et je me suis mise en route vers le cinéma.Sur mon chemin, tout était parfaitement correct jusqu’à ce que j’aperçoive mes amis au loin. Cette fois, ils ne m’ont pas ignoré, ils se sont plutôt approchés de moi. Puisque leurs sourires me paraissaient  superficiels, j’ai continué ma route  sans m’arrêter pour enfin atteindre  ma destination vers midi. J’ai constaté que mes  camarades  m’ont suivis, mais qu’en cours de route, ils s’étaient arrêtés pour effectuer un appel téléphonique tout en gardant les regards vers mon véhicule.   
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Corrigez faute d'othographe synthaxe et grammaire?Il nous demanda, à tour de rôle, si nous avions de l’argent à lui offrir. Contrairement à moi, tous mes amis sortirent de leur poche ce qu’ils avaient, c’est-à-dire des billets de dix et de vingt dollars. Moi, je n’eus pas vraiment le choix, je ne pouvais pas sortir grand chose de mes poches puisque je n’avais rien à part des mouchoirs usés, des factures déchirées et des cartes de visites bien inutiles pour cette situation.  Le surveillant a rapidement ramassé l’argent qu’il avait collecté et laissa partir mes amis. Lorsque je m’apprêtais à sortir avec eux, il bloqua mon passage en me repoussant d’un geste violent qui me fit tomber au sol. En me relevant, j’aperçus les regards diaboliques de mes camarades et j’entendis leurs rires moqueurs. Les mêmes questions, concernant l’amitié, ont refait surface dans mon esprit.  Toutefois, mes réponses me paraissaient peu cohérentes et logiques. Le surveillant est venu éclater ma bulle en me demandant si, chez moi, j’avais de l’argent. Je lui ai répondu que je n’en possédais pas puisque ma famille était relativement pauvre. En entendant ma réplique, son regard dur m’a fait rapidement changer d’idée. Je lui répondis qu’il me fit possible de lui offrir un billet de cent dollars dans une semaine environ mais il m’a ordonné de lui apporter cet argent le plus tôt possible. Précisément au moment où je sortais, les policiers sont arrivés. La trouille a pris part de moi, mais j’étais vraiment chanceuse, car ceux-ci ne m’ont posés aucune question concernant le décès. Ils ont amené le cadavre avec eux et ont conclu que ce n’était rien d’autre qu’une mort causée par une maladie du ventre. Après avoir répondu à certaines questions, sans éveiller de soupçons sur moi, le surveillant me suivis  jusqu’à la sortie pour prendre mes    coordonnées. Son motif demeurait encore bel et bien l’argent. Pour obtenir cette somme d’argent qui me paraissait exubérante, j’ai dû me chercher un emploi. Dans ma tête, retrouver un travail était l’une des choses très simple à accomplir. Toutefois, cela ne m’a pas pris longtemps pour comprendre que j’étais dans le champs lorsque je pensais à cela.  Après quelques jours de recherches, j’ai finalement décroché un emploi. Il ne me semblait pas très payant, mais c’était déjà mieux que rien. Quelques journées complètes de travail m’ont permis d’amasser la somme d’argent exigée. J’ai donc démissionné de mon travail avec beaucoup de soulagement une fois la somme réunie, et je me suis mise en route vers le cinéma. Durant mon chemin, tout était parfaitement correct jusqu’à ce que j’aperçoive mes amis au loin. Cette fois, ils ne m’ont pas ignoré, ils se sont plutôt approchés de moi. J’ai vite remarqué que leur sourire n'était pas franc. Cette fois alors, c’est moi qui les ai ignorés. J’ai continué ma route pour enfin arriver au cinéma vers midi. J’ai constaté que mes <<amis>> m’ont suivi, mais qu’en cours de route, ils s’étaient arrêtés pour effectuer un appel téléphonique tout en gardant les regards vers mon véhicule.
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CORRIGER ET ENRICHIR  Faute dothographe?Depuis plusieurs années, l’apparition en grand nombre d’appareils électroniques, tous plus puissants les uns que les autres a profondément modifié notre mode de vie. Toutefois, je trouve que tout se passe trop vite. Je suis certaine que toutes ses nouvelles technologies engendreront plusieurs risques sur l’environnement dans les générations à suivre. Dans les paragraphes qui suivent, je vais vous expliquer pour quelle raisons cet article fait bouillir mon sang : les conséquences néfastes sur l’environnement. Pour commencer, les marques d’automobiles commencent à envisager des automobiles volantes. Déjà que les avions sont l’un des principaux pollueurs de l’air, les gens veulent mourir bientôt en détruisant l’environnement. En créant, des voitures volantes, le réchauffement climatique se multipliera à une vitesse extrêmement folle pour les années prochaines. Cela me frustre que les compagnies comme Toyota pensent seulement au profit qu’ils feront au lieu du respect de l’environnement. Selon moi, leurs idées et leurs justifications me semblent absurdes, ils disent : «Si les autos pouvaient voler, peut-être que les collisions pourraient être évitées. Ce projet fait partie de nos efforts en vue de produire des véhicules sûrs» (Un ingénieur membre d'une équipe de recherche Toyota) Mais, une fois l'accident évité, l'auto retombe sur un cycliste...??? Cette idée est aberrante.En conclusion, je ne suis pas d’accord avec cet article, car elle apportera des conséquences graves sur l’environnement. Je crois que les ingénieurs devront prendre plus de temps pour réfléchir sur les impacts négatifs que leur choix pourrait entraîner.
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Corriger faute dorthographe et regarder si mes temps de verbe aux passe simpleIl nous demanda, à tour de rôle, si nous avions de l’argent à lui offrir. Contrairement à moi, tous mes amis sortirent de leur poche ce qu’ils avaient, c’est-à-dire des billets de dix et de vingt dollars. Moi, je n’eus pas vraiment le choix, je ne pouvais pas sortir grand chose de mes poches puisque je n’avais rien à part des mouchoirs usés, des factures déchirées et des cartes de visites bien inutiles pour cette situation.  Le surveillant a rapidement amassa l’argent qu’il avait collecté et laissa partir mes amis. Lorsque je m’apprêtais à sortir avec eux, il bloqua mon passage en me repoussant d’un geste violent qui me fit tomber au sol. En me relevant, j’aperçus les regards diaboliques de mes camarades et j’entendis leurs rires moqueurs. Les mêmes questions, concernant l’amitié, ont refait surface dans mon esprit.  Toutefois, mes réponses me paraissaient peu cohérentes et logiques. Le surveillant est venu éclater ma bulle en me demandant si, chez moi, j’avais de l’argent. Je lui ai répondu que je n’en possédais pas puisque ma famille était relativement pauvre. En entendant ma réplique, son regard dur m’a fait rapidement changer d’idée. Je lui répondis qu’il me fit possible de lui offrir un billet de cent dollars dans une semaine environ mais il m’a ordonné de lui apporter cet argent le plus tôt possible. Précisément au moment où je sortais, les policiers sont arrivés. La trouille a pris part de moi, mais j’étais vraiment chanceuse, car ceux-ci ne m’ont posés aucune question concernant le décès. Ils ont amené le cadavre avec eux et ont conclu que ce n’était rien d’autre qu’une mort causée par une maladie du ventre.  Après avoir répondu à certaines questions, sans éveiller de soupçons sur moi, le surveillant me suivis  jusqu’à la sortie pour prendre mes coordonnées. Son motif demeurait encore bel et bien l’argent. Pour obtenir cette somme d’argent qui me paraissait exubérante, j’ai dû me chercher un emploi. Dans ma tête, retrouver un travail était l’une des choses très simple à accomplir. Toutefois, cela ne m’a pas pris longtemps pour comprendre que j’étais dans le champs lorsque je pensais à cela.  Après quelques jours de recherches, j’ai finalement décroché un emploi. Il ne me semblait pas très payant, mais c’était déjà mieux que rien. Quelques journées complètes de travail m’ont permis d’amasser la somme d’argent exigée. J’ai donc démissionné de mon travail avec beaucoup de soulagement une fois la somme réunie, et je me suis mise en route vers le cinéma. Durant mon chemin, tout était parfaitement correct jusqu’à ce que j’aperçoive mes amis au loin. Cette fois, ils ne m’ont pas ignoré, ils se sont plutôt approchés de moi. J’ai vite remarqué que leur sourire n'était pas franc. Cette fois alors, c’est moi qui les ai ignorés. J’ai continué ma route pour enfin arriver au cinéma vers midi. J’ai constaté que mes <<amis>> m’ont suivi, mais qu’en cours de route, ils s’étaient arrêtés pour effectuer un appel téléphonique tout en gardant les regards vers mon véhicule.
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POURRIEZ VOUS CHANGER LE PLUS DE VERBE AU PASSE SIMPLE SVPIl nous a demandé, à tour de rôle, si nous avions de l’argent à lui offrir. Contrairement à moi, tous mes amis ont sorti de leur poche ce qu’ils avaient, c’est-à-dire des billets de dix et de vingt dollars. Moi, je n’avais pas vraiment le choix, je ne pouvais pas sortir grand chose de mes poches puisque je n’avais rien à part des mouchoirs usés, des factures déchirées et des cartes de visites bien inutiles pour cette situation.  Le surveillant a rapidement amassé l’argent qu’il avait collecté et a laissé partir mes amis. Lorsque je m’apprêtais à sortir avec eux, il bloqua mon passage en me repoussant d’un geste violent qui me fit tomber au sol. En me relevant, j’ai aperçu les regards diaboliques de mes camarades et j'ai entendu leurs rires moqueurs. Les mêmes questions, concernant l’amitié, ont refait surface dans mon esprit.  Toutefois, mes réponses me paraissaient peu cohérentes et logiques. Le surveillant est venu éclater ma bulle en me demandant si, chez moi, j’avais de l’argent. Je lui ai répondu que je n’en possédais pas puisque ma famille était relativement pauvre. En entendant ma réplique, son regard dur m’a fait rapidement changer d’idée. Je lui ai répondu qu’il m’était possible de lui offrir un billet de cent dollars dans une semaine environ mais il m’a ordonné de lui apporter cet argent le plus tôt possible. Précisément au moment où je sortais, les policiers sont arrivés. La trouille a pris part de moi, mais j’étais vraiment chanceuse, car ceux-ci ne m’ont posés aucune question concernant le décès. Ils ont amené le cadavre avec eux et ont conclu que ce n’était rien d’autre qu’une mort causée par une maladie du ventre.  Après avoir répondu à certaines questions, sans éveiller de soupçons sur moi, le surveillant m’a suivi jusqu’à la sortie pour prendre mes coordonnées. Son motif demeurait encore bel et bien l’argent. Pour obtenir cette somme d’argent qui me paraissait exubérante, j’ai dû me chercher un emploi. Dans ma tête, retrouver un travail était l’une des choses très simple à accomplir. Toutefois, cela ne m’a pas pris longtemps pour comprendre que j’étais dans le champs lorsque je pensais à cela.  Après quelques jours de recherches, j’ai finalement décroché un emploi. Il ne me semblait pas très payant, mais c’était déjà mieux que rien. Quelques journées complètes de travail m’ont permis d’amasser la somme d’argent exigée. J’ai donc démissionné de mon travail avec beaucoup de soulagement une fois la somme réunie, et je me suis mise en route vers le cinéma. Durant mon chemin, tout était parfaitement correct jusqu’à ce que j’aperçoive mes amis au loin. Cette fois, ils ne m’ont pas ignoré, ils se sont plutôt approchés de moi. J’ai vite remarqué que leur sourire n'était pas franc. Cette fois alors, c’est moi qui les ai ignorés. J’ai continué ma route pour enfin arriver au cinéma vers midi. J’ai constaté que mes <<amis>> m’ont suivi, mais qu’en cours de route, ils s’étaient arrêtés pour effectuer un appel téléphonique tout en gardant les regards vers mon véhicule.
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Corrigez mes fautes d'orthographe et enrichir SVP (15PTS)Tout s’est déroulé un jour, où on est tous allés au cinéma. Le pire, c’était que cette journée c’était ma fête. En plus, c’était mon seizième anniversaire. Tout se passait à merveille jusqu’à ce que, soudainement, mon ami s’est évanouilli. Elle semblait tout à fait normale durant la matinée, j’étais alors sûr qu’elle me niaisait. Je l’ai donc secoué. Mais, c’est au moment où ma main a passé sur la sienne que j’ai compris qu’elle n’aurait plus jamais la chance de me niaiser ou de niaiser quiconque. Elle était morte. Ne sachant pas quoi faire, je me suis retournée pour appeler mes autres copains, mais c’est à ce moment que je les ai vus s’échapper subtilement comme si de rien n’était. Moi, je n’étais vraiment pas comme eux. Je n’ai pas laissé mon ami au plein milieu du cinéma seul. J’ai plutôt appelé le surveillant du cinéma et je l’ai laissé avec lui. Lorsqu’il m’a demandé, si je connaissais <<mon ami>>, j’ai instantanément répondu que je ne l’avais jamais vu auparavant et que, en jouant mon rôle de citoyenne, je l’avais prévenu du décès. Comme j’étais bonne actrice, le surveillant n’a pas insisté et m’a laissé quitter. C’est exactement au moment où je sortais du cinéma, que j’ai vu  ma soit dite <<gang>> d’amis revenir. Je n’avais aucune espèce d’idées de ce qu’ils faisaient là. Ils m’ont complètement ignorés et sont rentrés dans le cinéma comme si je n’étais pas présente. Ils se sont précipités pour parler au surveillant. Jamais je n’aurais pensé que mes amis m’aurait fait cela. Ils ont dit au surveillant que  la victime n’était pas venue seul. Lorsque l’homme leur a demandé avec qui la personne en question était venue, ils ont tous pointés vers ma direction. Ne sachant pas quoi faire, je me suis mise à courir. Mais, ce n’a pas pris que quelques secondes avant que le surveillant ne me rattrape. Rapidement, il m’a menotté et lorsqu’il a posé ce geste, le sourire cruel de mes camarades m’a glacé le sang. Pourquoi m’en voulaient-ils autant? Pourquoi me faisaient-ils cela? Pourquoi ne me considéraient-ils pas comme amie? Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? Ces multiples questions passaient dans ma tête à mille kilomètres à l’heure. C’est au moment que mes amis ressortaient, je ne sais qu’est ce qui m’a pris, mais j’ai dit au surveillant qu’il était eux aussi venus avec nous, la victime et moi.
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Enrichir, develloper et Corrigez mes fautes d'orthographes SVPQu’avais-je fait de ma vie? Rien, rien de bon. J’étais seul, sans ami, et maintenant sans blonde. J’étais revenu sur cette merveilleuse île  en Bretagne où je passais mes vacances avec mon ex. J'avais marché sur les chemins de terre et je m'étais dirigé vers la mer .Debout  sur la falaise, je regardais l'océan Atlantique. Cette eau si  belle, si déchaînée, Poséidon était énervé aujourd'hui de grosses vagues se formaient et claquaient contre des rochers. Le temps était  à l'orage et des gouttes commençaient à tomber. Je levais les mains au ciel, que vais-je devenir? Moi charle, 35 ans, sans emploi; ma vie a t’elle un sens? Le tonnerre se fit entendre. Même moi, je ne sais pas. Il y avait seulement une personne que j’aimais avec tout mon cœur. Qui me respectait pour ce que j’étais.katherine était tellement jolie que ses yeux ____________.Ses cheveux __________.Lorsqu'elle se trouve quelque part, on la remarque et comme un aimant elle nous attire. Naturelle, sans artifice, elle évolue jour après jour et témoigne sa sincérité. Aucune autre personne ne l'égale, elle ne demande jamais rien en échange de tout ce qu'elle donne, son charme, sa gentillesse réunies la rendent irrésistible et unique. Malheureusement, il  n’y a pas longtemps  qu’elle m’a laissée. Elle m’a trompé pour un homme costaud, beau et évidemment riche. Elle disait que je n’étais pas capable de répondre aux besoins d’une femme. J’étais d’accord.
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