Je dois ecrire une redac de 2 copie double . On doit faire une histoire fantastique . Mais je n aie pas d idees
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suva« Moi, je ressentis la peur l’hiver dernier, par une nuit de décembre. Moi, je parle de la vraie terreur, celle qui vous attrape et ne vous lâche plus, qui vous détruit jusqu’au commencement de votre âme. Elle vous étrangle ; vous rend fou et à sa merci. Tout commença par un bruit. Un bien étrange son. Je l’entendis pour la première fois il y a deux ans. Ce bruit, on aurait dit une sorte de raclement contre le mur et des griffes que l’on aiguise. Ce son ne me fit pas vraiment peur, mais je ne l’oubliai pas. Pendant toute une année, je ne l’entendis plus. Malheureusement, il n’en avait pas fini avec moi. En effet, un soir de pluie, j’appris la mort d’une jeune fille dans d’étranges circonstances :
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suva
Il marqua une pause. « -Parce que je n’en ai pas !! C’est une malédiction… » Mais qu’est ce qu’il racontait ?? « -C’est en tuant des humains qu’elles repousseront… Ton oncle m’a beaucoup aidé… Qui se serrait douté que lui ,quelqu’un du bien, pactise avec moi quelqu’un du mal ? »
suva
Il fit une autre pause. « -C’est pour ça que je tue avec des couteaux. » Je compris l’origine du bruit que je redoutais tant. Un couteau que l’on aiguise !! « -Je t’ai envoyé des messages.
suva
Tes précieuses poupées de porcelaine… » Soudain quelqu’un entra un verre à la main, de surprise il lâcha son gobelet de gin. Pendant quelques interminables secondes, tout le monde resta immobile. Et puis comme si quelqu’un avait appuyé sur la touche « play », l’homme se jeta sur mon père, tentant, vainement, de l’éloigner de moi. Papa d’une simple gifle, l’envoya s’écrouler à l’autre bout de la pièce, comme s’il ne pesait qu’une plume.
suva
Je me souviens parfaitement ce qui s’en suivit : l’homme se rattrapa aux rideaux de la fenêtre, qui tombèrent sur lui. Alors le soleil pénétra dans la pièce, les doux rayons du crépuscule me caressèrent la joue et transpercèrent mon agresseur tels des milliers de minuscules poignards. Il hurlait de douleur, je fermai les yeux.
suva
Son cri dura un certain moment, me vrillant les tympans. Quand je ne l’entendis plus, je rouvris les yeux pour découvrir la pièce baignée de magnifiques rayons de soleil jaune, orangés, rouge et même roses. C’était merveilleux, splendide. Il y avait l’homme de tout à l’heure et moi. Mais pas mon père. Sur le sol, des cendres.
suva
Par la porte ouverte j’entendis les bruits de la fête. Un sourire aux lèvres malgré la douleur, la tristesse, le chagrin et la peur, je fus transportée dans une lente torpeur, elle était la bienvenue. Je me réveillais dans ma chambre, croyant avoir rêvé.
suva
Je vis mes poupées de porcelaine détruites comme dans mes songes. Où était-ce la réalité ? je tentai de me lever, mais une grande douleur déchira mon corps en entier. Je réprimai un cri mais des larmes coulèrent sur mes joues seuls témoins de ma souffrance. Je levais les yeux au plafond et distinguais dans la douce clarté de la chambre, un mot et puis autre chose.
suva
« Je vis dans le passé, je fuis le présent et j’appréhende la futur » Une grosse plume couleur suie tomba sur la couverture. » En finissant le récit de mon histoire, je me rendis compte de deux choses : Cette phrase avait symbolisé, à elle toute seule ma vie, cette dernière année.
suva
Il me semblait apercevoir mon père, ou du moins il me laissait un message : Elle gisait dans le fond de la pièce entre les doigts d’un bébé. La plume trop grosse pour un oiseau et noire comme la nuit…
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Moi, je parle de la vraie terreur, celle qui vous attrape et ne vous lâche plus, qui vous détruit jusqu’au commencement de votre âme. Elle vous étrangle ; vous rend fou et à sa merci.
Tout commença par un bruit. Un bien étrange son. Je l’entendis pour la première fois il y a deux ans. Ce bruit, on aurait dit une sorte de raclement contre le mur et des griffes que l’on aiguise. Ce son ne me fit pas vraiment peur, mais je ne l’oubliai pas.
Pendant toute une année, je ne l’entendis plus. Malheureusement, il n’en avait pas fini avec moi.
En effet, un soir de pluie, j’appris la mort d’une jeune fille dans d’étranges circonstances :
« -Parce que je n’en ai pas !! C’est une malédiction… »
Mais qu’est ce qu’il racontait ??
« -C’est en tuant des humains qu’elles repousseront… Ton oncle m’a beaucoup aidé… Qui se serrait douté que lui ,quelqu’un du bien, pactise avec moi quelqu’un du mal ? »
« -C’est pour ça que je tue avec des couteaux. »
Je compris l’origine du bruit que je redoutais tant. Un couteau que l’on aiguise !!
« -Je t’ai envoyé des messages.
Soudain quelqu’un entra un verre à la main, de surprise il lâcha son gobelet de gin. Pendant quelques interminables secondes, tout le monde resta immobile. Et puis comme si quelqu’un avait appuyé sur la touche « play », l’homme se jeta sur mon père, tentant, vainement, de l’éloigner de moi. Papa d’une simple gifle, l’envoya s’écrouler à l’autre bout de la pièce, comme s’il ne pesait qu’une plume.
Je me réveillais dans ma chambre, croyant avoir rêvé.
Une grosse plume couleur suie tomba sur la couverture. »
En finissant le récit de mon histoire, je me rendis compte de deux choses :
Cette phrase avait symbolisé, à elle toute seule ma vie, cette dernière année.
Elle gisait dans le fond de la pièce entre les doigts d’un bébé. La plume trop grosse pour un oiseau et noire comme la nuit…