je dois faire une redaction sur un fantome qui aurait pris refuge dans mon cartable .Je dois etre au college et là le fantome fait des betises .ma redaction doit etre comique j'ais le début mais je n'arrive pas à formuler mes phrases pour la suite aidez moi svp
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caro67000
Jusqu'au moment où je remarquai que mon sac s'agitait à côté de moi. Non, je n'avais pas la berlue, il bougeait tout seul, de gauche à droite et d'avant en arrière. Au début, c'était imperceptible. Mais lorsque je voulus prendre un livre dans mon cartable, il se trouvait hors de portée, près de la fenêtre. Je dus me pencher pour le saisir mais il était décidément trop loin. Je n'osais pas me lever car je savais que j'allais énerver la prof qui allait sans nul doute, me distribuer la première punition du jour. Donc, je dus me pencher, et plus encore et encore plus, si bien que j'étais en équilibre sur deux pieds de chaise et.. que je tombai au moment où je touchais l'objet convoité. Je n'eus pas l'occasion de m'expliquer - d'ailleurs je ne le souhaitais pas tant je me sentais ridicule - et la prof me donna une punition sans faire de commentaire particulier. Elle avait juste levé un sourcil quand elle s'aperçut que j'étais en cause. D'habitude, je n'étais pas une trublionne. Donc tout au plus, elle fut étonnée. Moi, j'étais énervée par le comportement de mon cartable. Ce doit normalement être un objet inerte et docile, toujours prêt à l'emploi et à rendre service. Or là, il me desservait et voilà qu'à présent, il refusait de me céder mon livre. Non, il ne parlait pas. Mais il était simplement impossible de retirer ce fameux livre, qui semblait comme retenu par un aimant puissant. Je dus donc prendre mon cartable sur les genoux pour voir de plus près ce qui se passait. Je tirais , tirais sur le livre si bien qu'à un moment, il céda mais mon cartable tomba à terre. Son contenu aussi. Là, la prof soupira brusquement et persifla qu'une petite dissertation sur l'opportunité d'attirer l'attention sur soi me ferait le plus grand bien. Je n'essayai même pas de m'expliquer ou de protester. Mais mes mésaventures ne s'arrêtèrent pas en si bon chemin : tout d'un coup, le sac, que j'avais précautionneusement reposé à côté de moi, remonta la travée à toute vitesse pour cette fois, venir heurter le cartable du prof, qui tomba et répandit ses objets alentours. Et j'eus droit au moment d'horreur ultime, quand la prof, excédée, me demanda de quitter la classe d'un ton sec. Tout le monde rigolait et certains avaient l'air étonnés par mon audace tandis que d'autres me jetaient des regards admiratifs. Tu parles! J'étais totalement mortifiée et ...inquiète. Et j'eus un grand moment de solitude car je ne m'expliquais pas ce qui se passait depuis ce matin. A la fin de l'heure, je pénétrai à nouveau dans la classe et cherchai immédiatement des yeux le cartable -poltergeist . Je le vis qui attendais sagement à côté d'une table mais... ce n'était pas la mienne! Je mis ça sur le compte d'une copine qui avait fait oeuvre charitable en allant le ramasser. Je le saisis donc en remplit mes affaires. Ce n'est qu'une fois de retour à la maison que je me résolus à l'inspecter de fond en comble. Mais visiblement, rien! C'est lors que j'entendis une petite voix qui me dit: - " je sens que nous allons bien nous amuser ensemble!" Et moi, je vous avais bien dit que vous me prendriez pour une folle!
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Moi, j'étais énervée par le comportement de mon cartable. Ce doit normalement être un objet inerte et docile, toujours prêt à l'emploi et à rendre service. Or là, il me desservait et voilà qu'à présent, il refusait de me céder mon livre. Non, il ne parlait pas. Mais il était simplement impossible de retirer ce fameux livre, qui semblait comme retenu par un aimant puissant. Je dus donc prendre mon cartable sur les genoux pour voir de plus près ce qui se passait. Je tirais , tirais sur le livre si bien qu'à un moment, il céda mais mon cartable tomba à terre. Son contenu aussi. Là, la prof soupira brusquement et persifla qu'une petite dissertation sur l'opportunité d'attirer l'attention sur soi me ferait le plus grand bien. Je n'essayai même pas de m'expliquer ou de protester.
Mais mes mésaventures ne s'arrêtèrent pas en si bon chemin : tout d'un coup, le sac, que j'avais précautionneusement reposé à côté de moi, remonta la travée à toute vitesse pour cette fois, venir heurter le cartable du prof, qui tomba et répandit ses objets alentours.
Et j'eus droit au moment d'horreur ultime, quand la prof, excédée, me demanda de quitter la classe d'un ton sec. Tout le monde rigolait et certains avaient l'air étonnés par mon audace tandis que d'autres me jetaient des regards admiratifs. Tu parles! J'étais totalement mortifiée et ...inquiète. Et j'eus un grand moment de solitude car je ne m'expliquais pas ce qui se passait depuis ce matin.
A la fin de l'heure, je pénétrai à nouveau dans la classe et cherchai immédiatement des yeux le cartable -poltergeist . Je le vis qui attendais sagement à côté d'une table mais... ce n'était pas la mienne! Je mis ça sur le compte d'une copine qui avait fait oeuvre charitable en allant le ramasser. Je le saisis donc en remplit mes affaires.
Ce n'est qu'une fois de retour à la maison que je me résolus à l'inspecter de fond en comble. Mais visiblement, rien! C'est lors que j'entendis une petite voix qui me dit:
- " je sens que nous allons bien nous amuser ensemble!"
Et moi, je vous avais bien dit que vous me prendriez pour une folle!