Entouré de tours maléfiques Comme si des murs m’emprisonnaient Béton gris sur sol usé Voitures de police aux sirènes alarmantes Epiant les grandes avenues mal famées
Magasins ouverts et barricadés Grillage et cadenas nous sourient en entrant Impossible de trouver ses repères Dans cette ville remplie de vipères Vite la campagne verte de verdure Vite l’air atmosphérique de nos pâtures
Pourquoi rester dans un tel carnage Ces poteaux ressemblent à des âmes errantes Et leurs ombres noires tourbillonnantes Troublent ma vision objective
De ce monde pourtant olfactif Plutôt aller vers un beau village Village silencieux comme les cieux Sortons de ces alarmes et de ces moteurs
Fuyons tous ses bruits pollueurs Allons retrouver la lueur D’un calme serein et rare Pour enfin se retrouver soi même
Et non pas se confronter au thème De la frayeur de la ville mondaine Où règne peur et mal-être
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Poème à la manière d’Emile VareharenEntouré de tours maléfiques
Comme si des murs m’emprisonnaient
Béton gris sur sol usé Voitures de police aux sirènes alarmantes
Epiant les grandes avenues mal famées
Magasins ouverts et barricadés
Grillage et cadenas nous sourient en entrant Impossible de trouver ses repères Dans cette ville remplie de vipères
Vite la campagne verte de verdure
Vite l’air atmosphérique de nos pâtures
Pourquoi rester dans un tel carnage
Ces poteaux ressemblent à des âmes errantes
Et leurs ombres noires tourbillonnantes
Troublent ma vision objective
De ce monde pourtant olfactif
Plutôt aller vers un beau village
Village silencieux comme les cieux
Sortons de ces alarmes et de ces moteurs
Fuyons tous ses bruits pollueurs
Allons retrouver la lueur
D’un calme serein et rare
Pour enfin se retrouver soi même
Et non pas se confronter au thème
De la frayeur de la ville mondaine
Où règne peur et mal-être