April 2019 1 63 Report

Karl möchte in einer Wohngemeinschaft leben. Er mag das Studentenheim nicht mehr, weil er
sein Zimmer zu klein und unpraktisch findet. Sein Leben ist auch eintönig und er fühlt sich oft
allein.
Er wei aber, dass die Leute in einer Wohngemeinschaft zusammenpassen müssen, dass man sich
sympathisch finden muss. Sonst streitet man schnell und das Zusammenleben wird unmöglich.
Karl möchte auch eine saubere und ruhige WG, wo er arbeiten kann und wo niemand raucht.
Besonders der Preis motiviert Karl: Man teilt die Kosten und man ist auch nicht allein, wenn man
von der Uni zurückkommt. Man plaudert, man isst und man putzt zusammen. Die Abende sind
lustig und Karl sitzt dann auch nicht mehr allein vor dem Fernseher. In der WG lernen die
Bewohner ebenfalls sich zu respektieren. Sie lernen zu teilen und können sich gegenseitig helfen.
Für Karl ist die Wohngemeinschaft bestimmt etwas Positives, aber er muss zuerst die richtige WG
mit den „idealen“ Leuten finden. Wichtig ist auch, dass die WG in der Nähe der Uni liegt: So
kann er morgens gemütlich frühstücken. Hoffentlich existiert diese Traum-WG: Oft hört man
nämlich, dass in vielen Wohngemeinschaften das Chaos herrscht!

Choisissez parmi les titres suivants celui qui convient le mieux au texte.
Welcher Titel passt?


a. De la colocation à la chambre en cité universitaire
b. À la recherche de la colocation idéale
c. Quand colocation rime avec chaos

Question 2


Les affirmations qui suivent sont-elles justes ou fausses ? Justifiez votre réponse en citant un passage

pertinent du texte.


1. Karl est étudiant.
2. Il veut s’installer en résidence universitaire.
3. Karl recherche la solitude.

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Texte :   En approchant de son usine, le père Sorel appela Julien de sa voix de stentor ; personne ne répondit.Il l'aperçût à cinq ou six pieds de haut, à cheval sur l'une des pièces de la toiture. Au lieu de surveiller attentivement l'action de tout le mécanisme, Julien lisait. Rien n'était plus antipathique au vieux Sorel ; il eût peut-être pardonné à Julien sa taille mince, peu propre aux travaux de force, et si différente de celle de ses aînés ; mais cette manie de lecture lui était odieuse, il ne savait pas lire lui-même.Le bruit de la machine empêcha encore Julien d'entendre cet ordre. Son père qui était descendu, ne voulant pas se donner la peine de remonter sur le mécanisme, alla chercher une longue perche pour abattre les noix, et l'en frappa sur l'épaule. À peine Julien fut-il à terre, que le vieux Sorel, le chassant rudement devant lui, le poussa vers la maison. Dieu sait ce qu'il va me faire ! se disait le jeune homme. En passant, il regarda tristement le ruisseau où était tombé son livre ; c'était celui de tous qu'il affectionnait le plus, le Mémorial de Sainte-Hélène.Depuis bien des année julien ne passait peut etre pas une heure de sa vie sans se dire que Bonaparte, lieutenant obscure et sans fortune, s'était fait maitre du monde avec son épiée, cette idée le consolait de ses malheurs qu'il croyait grands, et redoublait de joie quand il en avait.   Questions :    Question 1 : a. Quelle attitude le père de Julien a-t-il avec son fils ? Justifiez votre réponse.b. Pourquoi se comporte-t-il ainsi ?Question 2:  a. Quel est le héros de Julien ? Justifiez votre réponse.b. Pourquoi admire-t-il tant cette personnalité ?Question 3 : Relevez les passages qui appartiennent au discours. Identifiez le type de discours et justifiez votre réponse.
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LE PROFESSEUR - Toute langue, Mademoiselle, sachez-le, souvenez-vous-en jusqu'à l'heure de votre mort... L'ELEVE - Oh ! Oui, Monsieur, jusqu'à l'heure de ma mort... Oui, Monsieur... LE PROFESSEUR - ...et ceci est encore un principe fondamental, toute langue n'est en somme qu'un langage, ce qui implique nécessairement qu'elle se compose de sons, ou... L'ELEVE - Phonèmes... LE PROFESSEUR - J'allais vous le dire. N'étalez donc pas votre savoir. Ecoutez, plutôt. L'ELEVE - Bien, Monsieur. Oui, Monsieur. LE PROFESSEUR - Les sons, Mademoiselle, doivent être saisis au vol par les ailes pour qu'ils ne tombent pas dans les oreilles des sourds. Par conséquent, lorsque vous vous décidez d'articuler, il est recommandé, dans la mesure du possible, de lever très haut le cou et le menton, de vous élever sur la pointe des pieds, tenez, ainsi, vous voyez... L'ELEVE- Oui, Monsieur. LE PROFESSEUR - Taisez-vous. Restez assise, n'interrompez pas... Et d'émettre les sons très haut et de toute la force de vos poumons associée à celle de vos cordes vocales. Comme ceci : regardez : "Papillon", "Euréka", "Trafalgar", "papi, papa". De cette façon, les sons remplis d'un air chaud plus léger que l'air environnant voltigeront, voltigeront sans plus risquer de tomber dans les oreilles des sourds qui sont les véritables gouffres, les tombeaux des sonorités. Si vous émettez plusieurs sons à une vitesse accélérée, ceux-ci s'agripperont les uns aux autres automatiquement, constituant ainsi des syllabes, des mots, à la rigueur des phrases, c'est-à-dire des groupements plus ou moins importants, des assemblages purement irrationnels de sons, dénués de tout sens, mais justement pour cela capables de se maintenir sans danger à une altitude élevée dans les airs. Seuls, tombent les mots chargés de signification, alourdis par leur sens, qui finissent toujours par succomber, s'écrouler... L'ELEVE - ... dans les oreilles des sourds. LE PROFESSEUR- C'est ça, mais n'interrompez pas... et dans la pire confusion...Ou par crever comme des ballons. Ainsi donc, Mademoiselle...(L'Elève a soudain l'air de souffrir). Qu'avez-vous donc ? L'ELEVE - J'ai mal aux dents, Monsieur. LE PROFESSEUR- Ça n'a pas d'importance. Nous n'allons pas nous arrêter pour si peu de chose. Continuons... L'ELEVE, qui aura l'air de souffrir de plus en plus. - Oui, Monsieur.Consigne : Écrivez la suite de cette scène : la jeune fille a décidé de ne pas se laisser faire et elle dit au professeur cequ’elle pense de son enseignement (environ 20 répliques).Compétences d’écritureRespectez les conventions du texte théâtral. Les noms des personnages doivent être écrits en majuscules etles didascalies en italique (copie électronique) ou entre parenthèses.Vous pouvez, par exemple, commencer ainsi :Le Professeur : Je disais donc…L’Élève : Monsieur, j’ai vraiment mal aux dents !Le Professeur : …
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LE PROFESSEUR - Toute langue, Mademoiselle, sachez-le, souvenez-vous-en jusqu'à l'heure de votre mort... L'ELEVE - Oh ! Oui, Monsieur, jusqu'à l'heure de ma mort... Oui, Monsieur... LE PROFESSEUR - ...et ceci est encore un principe fondamental, toute langue n'est en somme qu'un langage, ce qui implique nécessairement qu'elle se compose de sons, ou... L'ELEVE - Phonèmes... LE PROFESSEUR - J'allais vous le dire. N'étalez donc pas votre savoir. Ecoutez, plutôt. L'ELEVE - Bien, Monsieur. Oui, Monsieur. LE PROFESSEUR - Les sons, Mademoiselle, doivent être saisis au vol par les ailes pour qu'ils ne tombent pas dans les oreilles des sourds. Par conséquent, lorsque vous vous décidez d'articuler, il est recommandé, dans la mesure du possible, de lever très haut le cou et le menton, de vous élever sur la pointe des pieds, tenez, ainsi, vous voyez... L'ELEVE- Oui, Monsieur. LE PROFESSEUR - Taisez-vous. Restez assise, n'interrompez pas... Et d'émettre les sons très haut et de toute la force de vos poumons associée à celle de vos cordes vocales. Comme ceci : regardez : "Papillon", "Euréka", "Trafalgar", "papi, papa". De cette façon, les sons remplis d'un air chaud plus léger que l'air environnant voltigeront, voltigeront sans plus risquer de tomber dans les oreilles des sourds qui sont les véritables gouffres, les tombeaux des sonorités. Si vous émettez plusieurs sons à une vitesse accélérée, ceux-ci s'agripperont les uns aux autres automatiquement, constituant ainsi des syllabes, des mots, à la rigueur des phrases, c'est-à-dire des groupements plus ou moins importants, des assemblages purement irrationnels de sons, dénués de tout sens, mais justement pour cela capables de se maintenir sans danger à une altitude élevée dans les airs. Seuls, tombent les mots chargés de signification, alourdis par leur sens, qui finissent toujours par succomber, s'écrouler... L'ELEVE - ... dans les oreilles des sourds. LE PROFESSEUR- C'est ça, mais n'interrompez pas... et dans la pire confusion...Ou par crever comme des ballons. Ainsi donc, Mademoiselle...(L'Elève a soudain l'air de souffrir). Qu'avez-vous donc ? L'ELEVE - J'ai mal aux dents, Monsieur. LE PROFESSEUR- Ça n'a pas d'importance. Nous n'allons pas nous arrêter pour si peu de chose. Continuons... L'ELEVE, qui aura l'air de souffrir de plus en plus. - Oui, Monsieur.Question : Quels sont les différents types de comique présents dans la scène ? Justifiez votre réponse.En quoi cet extrait est-il caractéristique du théâtre de l’absurde ?
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LE PROFESSEUR - Toute langue, Mademoiselle, sachez-le, souvenez-vous-en jusqu'à l'heure de votre mort... L'ELEVE - Oh ! Oui, Monsieur, jusqu'à l'heure de ma mort... Oui, Monsieur... LE PROFESSEUR - ...et ceci est encore un principe fondamental, toute langue n'est en somme qu'un langage, ce qui implique nécessairement qu'elle se compose de sons, ou... L'ELEVE - Phonèmes... LE PROFESSEUR - J'allais vous le dire. N'étalez donc pas votre savoir. Ecoutez, plutôt. L'ELEVE - Bien, Monsieur. Oui, Monsieur. LE PROFESSEUR - Les sons, Mademoiselle, doivent être saisis au vol par les ailes pour qu'ils ne tombent pas dans les oreilles des sourds. Par conséquent, lorsque vous vous décidez d'articuler, il est recommandé, dans la mesure du possible, de lever très haut le cou et le menton, de vous élever sur la pointe des pieds, tenez, ainsi, vous voyez... L'ELEVE- Oui, Monsieur. LE PROFESSEUR - Taisez-vous. Restez assise, n'interrompez pas... Et d'émettre les sons très haut et de toute la force de vos poumons associée à celle de vos cordes vocales. Comme ceci : regardez : "Papillon", "Euréka", "Trafalgar", "papi, papa". De cette façon, les sons remplis d'un air chaud plus léger que l'air environnant voltigeront, voltigeront sans plus risquer de tomber dans les oreilles des sourds qui sont les véritables gouffres, les tombeaux des sonorités. Si vous émettez plusieurs sons à une vitesse accélérée, ceux-ci s'agripperont les uns aux autres automatiquement, constituant ainsi des syllabes, des mots, à la rigueur des phrases, c'est-à-dire des groupements plus ou moins importants, des assemblages purement irrationnels de sons, dénués de tout sens, mais justement pour cela capables de se maintenir sans danger à une altitude élevée dans les airs. Seuls, tombent les mots chargés de signification, alourdis par leur sens, qui finissent toujours par succomber, s'écrouler... L'ELEVE - ... dans les oreilles des sourds. LE PROFESSEUR- C'est ça, mais n'interrompez pas... et dans la pire confusion...Ou par crever comme des ballons. Ainsi donc, Mademoiselle...(L'Elève a soudain l'air de souffrir). Qu'avez-vous donc ? L'ELEVE - J'ai mal aux dents, Monsieur. LE PROFESSEUR- Ça n'a pas d'importance. Nous n'allons pas nous arrêter pour si peu de chose. Continuons... L'ELEVE, qui aura l'air de souffrir de plus en plus. - Oui, Monsieur.Question : Quels sont les différents types de comique présents dans la scène ? Justifiez votre réponse.En quoi cet extrait est-il caractéristique du théâtre de l’absurde ?
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