Cuba sous contrôle des E.-U. → Fidel Castro renverse le dictateur pro-américain Batista. Les E.-U. pour renverser à leur tour le gouvernement cubain : Fév. 1962, Cuba est exclu de l'Organisation des États Américains + embargo des E.-U. sur Cuba. Castro cherche à défendre son île contre une attaque américaine (1961 → échec de l'invasion des E.-U. dans la Baie des Cochons ; Castro attendait donc une autre attaque comme inévitable). Cuba a alors besoin d'un allié. Castro se rapproche de plus en plus de l'URSS et accepte secrètement l'installation de bases nucléaires soviétiques sur Cuba (course aux armements des E.-U. et URSS). Les E.-U. sont donc directement menacés par les missiles. Kennedy, le président des E.-U. est informé de la base de missiles soviétiques (le 15 Oct. 1962) et pose un ultimatum à Khrouchtchev le 22 Oct. 1962, où il exige de retirer les missiles sous la menace d'une guerre nucléaire. Événement qui marque le début de la crise de Cuba, où la Troisième Guerre mondiale est possible. Populations affolées. Toutefois, le conflit est indirect car les deux puissances possèdent l'arme nucléaire prête à être utilisée. Blocus naval autour de Cuba par E.-U. pour cesser l'arrivé des missiles soviétiques. Extrait du discours télévisé de Kennedy le 22 Oct. 1962 : "une stricte 'quarantaine' sera appliquée sur tout équipement militaire offensif à destination de Cuba. Tous les bateaux à destination de Cuba, seront interceptés et seront obligés de faire demi-tour s'ils transportent des armes offensives. » Pour ne pas transformer la Guerre Froide en 3ème GM + par crainte de la provoquer lui-même + assurerait la destruction mutuelle, Khrouchtchev accepte dès le 26 Oct. de retirer les missiles et négocie en échange l'engagement des E.-U. de ne pas débarquer à Cuba et de retirer quelques missiles en Turquie. Castro annonce donc le retrait des missiles et Kennedy celui du blocus naval. La Troisième GM a été évité de peu, et Khrouchtchev et Kennedy finissent par se serrer la main → signe représentant le commencement de la "Détente".
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Bonjour,Cuba sous contrôle des E.-U. → Fidel Castro renverse le dictateur pro-américain Batista. Les E.-U. pour renverser à leur tour le gouvernement cubain : Fév. 1962, Cuba est exclu de l'Organisation des États Américains + embargo des E.-U. sur Cuba. Castro cherche à défendre son île contre une attaque américaine (1961 → échec de l'invasion des E.-U. dans la Baie des Cochons ; Castro attendait donc une autre attaque comme inévitable). Cuba a alors besoin d'un allié.
Castro se rapproche de plus en plus de l'URSS et accepte secrètement l'installation de bases nucléaires soviétiques sur Cuba (course aux armements des E.-U. et URSS). Les E.-U. sont donc directement menacés par les missiles. Kennedy, le président des E.-U. est informé de la base de missiles soviétiques (le 15 Oct. 1962) et pose un ultimatum à Khrouchtchev le 22 Oct. 1962, où il exige de retirer les missiles sous la menace d'une guerre nucléaire. Événement qui marque le début de la crise de Cuba, où la Troisième Guerre mondiale est possible. Populations affolées.
Toutefois, le conflit est indirect car les deux puissances possèdent l'arme nucléaire prête à être utilisée. Blocus naval autour de Cuba par E.-U. pour cesser l'arrivé des missiles soviétiques. Extrait du discours télévisé de Kennedy le 22 Oct. 1962 : "une stricte 'quarantaine' sera appliquée sur tout équipement militaire offensif à destination de Cuba.
Tous les bateaux à destination de Cuba, seront interceptés et seront obligés de faire demi-tour s'ils transportent des armes offensives. » Pour ne pas transformer la Guerre Froide en 3ème GM + par crainte de la provoquer lui-même + assurerait la destruction mutuelle, Khrouchtchev accepte dès le 26 Oct. de retirer les missiles et négocie en échange l'engagement des E.-U. de ne pas débarquer à Cuba et de retirer quelques missiles en Turquie. Castro annonce donc le retrait des missiles et Kennedy celui du blocus naval. La Troisième GM a été évité de peu, et Khrouchtchev et Kennedy finissent par se serrer la main → signe représentant le commencement de la "Détente".