Lire Réécrivez ce dialogue de théâtre en l'insérant dans un récit au passé. Inspirez-vous des didascalies pour nourrir votre récit. HORACE (mettant la main à l'épée, et poursuivant sa sœur qui s'enfuit). - C'est trop, ma patience à la raison fait place; Va dedans les enfers plaindre ton Curiace ! CAMILLE (blessée derrière le théâtre). - Ah ! traître ! HORACE (revenant sur le théâtre). Quiconque ose pleurer un ennemi romain ! Ainsi reçoive un châtiment soudain P. Corneille, Horace, 1640
Horace, furieux, poursuivait sa sœur Camille qui tentait de s'enfuir. Il avait la main sur son épée, prêt à passer à l'acte.
"C'est trop, ma patience à la raison fait place; Va dedans les enfers plaindre ton Curiace !", s'écria-t-il.
Camille, blessée derrière le théâtre, laissa échapper un cri de douleur.
"Ah ! traître !", hurla-t-elle.
Horace, alerté par les cris, retourna sur le théâtre et vit sa sœur blessée. Il comprit immédiatement qu'il avait commis une grave erreur.
"Quiconque ose pleurer un ennemi romain ! Ainsi reçoive un châtiment soudain", dit-il, réalisant l'importance de son acte.
Il courut vers Camille, la prenant dans ses bras pour la soutenir.
"Je suis désolé, ma sœur. J'ai perdu la tête. Nous sommes de la même famille, et nous devons nous aimer et nous protéger les uns les autres, même si nous avons des opinions différentes", lui dit-il, la voix emplie de tristesse.
Camille sourit faiblement, touchée par les paroles de son frère.
"Tu as raison, Horace. Nous sommes liés par le sang. Nous devons nous soutenir dans les moments difficiles, et non nous battre les uns contre les autres", répondit-elle.
Ils se serrèrent l'un contre l'autre, réconciliés. Horace comprit que la famille était plus importante que les querelles politiques et les conflits armés.
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Horace, furieux, poursuivait sa sœur Camille qui tentait de s'enfuir. Il avait la main sur son épée, prêt à passer à l'acte.
"C'est trop, ma patience à la raison fait place; Va dedans les enfers plaindre ton Curiace !", s'écria-t-il.
Camille, blessée derrière le théâtre, laissa échapper un cri de douleur.
"Ah ! traître !", hurla-t-elle.
Horace, alerté par les cris, retourna sur le théâtre et vit sa sœur blessée. Il comprit immédiatement qu'il avait commis une grave erreur.
"Quiconque ose pleurer un ennemi romain ! Ainsi reçoive un châtiment soudain", dit-il, réalisant l'importance de son acte.
Il courut vers Camille, la prenant dans ses bras pour la soutenir.
"Je suis désolé, ma sœur. J'ai perdu la tête. Nous sommes de la même famille, et nous devons nous aimer et nous protéger les uns les autres, même si nous avons des opinions différentes", lui dit-il, la voix emplie de tristesse.
Camille sourit faiblement, touchée par les paroles de son frère.
"Tu as raison, Horace. Nous sommes liés par le sang. Nous devons nous soutenir dans les moments difficiles, et non nous battre les uns contre les autres", répondit-elle.
Ils se serrèrent l'un contre l'autre, réconciliés. Horace comprit que la famille était plus importante que les querelles politiques et les conflits armés.