Lisez l'article ci-dessous puis rédigez une description du manoir qui justifie les sentiments du narrateur. Consignes d'écriture : Rédigez une description en deux temps : extérieur et intérieur. Traduisez les sentiments du narrateur au fur et à mesure de sa visite. Ménagez une progression dans votre description : elle doit instaurer un climat de plus en plus étrange ou angoissant.
Le narrateur arrive devant le manoir d'un de ses amis qui l'y a invité. Pendant toute une journée d'automne [...], sombre et muette où les nuages pesaient lourds et bas dans le ciel, j'avais traversé seul et à cheval, une étendue de pays singulièrement lugubre, et, enfin, comme les ombres du soir approchaient, je me trouvai en vue de la mélancolique Maison Usher. Je ne sais comment cela se fit, - mais, au premier coup d'oeil que je jetai sur le bâtiment, un sentiment d'insupportable trsitesse pénétra mon âme. E.A Poe La chute de la maison Usher.
Rendez votre description la plus précise possible en utilisant des expansions du nom. Faites part des impressions du narrateur face à ce qu'il voit en utilisant des modalisateurs.
Attention Evitez d'employer" il y a" et de répéter les mêmes verbes. (être) Ne confondez pas aspect inquiétant et laideur. Faites une description nuancée où les lieux peuvent être à la fois beaux et inquiétants. Ne vous servez pas de personnages pour rendre la description inquiétante : la description des lieux doit suffire à provoquer le malaise et l'inquiétude.
Je me suis donné assez de mal pour le faire, j’espère que cela te convient :
Ma gorge se serre : le vent fait claquer les volets ; j’entends le bruit incessant du loquet sur la porte d’entrée. Le battement de mon cœur s’accélère, pendant quelques instants j’ai le souffle coupé, pourquoi suis-je dans cet état-là ? Dans ce lieu lugubre, sombre, dans une certaine pénombre, rien de bien rassurant me direz-vous, mais, ce qu’il y a de plus étrange, c’est que même mon cheval est immobile, les yeux écarquillé, il semble être dans le même état que moi … Soudain, un grincement se fait entendre, c’est la porte qui avec la force du vent, s’est entrouverte. Ceci me permet de pénétrer à l’intérieur du manoir, et là j’y fais une étrange découverte : l’endroit est très sombre, sale, des objets de toutes sorte jonchent au sol ; et qui n’ont pas de quoi me rassurer : des couteaux, des épées, des haches, et j’aperçois de même un sabre. Mes pieds commencent à trembler, je commence à ne pas me sentir très bien, comme si le sol se dérobait sous mes pieds. Mais, que m’arrive-t-il ? Est-ce la vue de ce manoir qui me rappelle les films que j’ai vu dans ma jeunesse ? Alors que je pensais passer une bonne journée dans ce manoir, je découvre : des toiles d’araignée, encore sur une étagère des objets tranchants, « quel lieu bizarre » me dis-je, quand à ce moment-là j’aperçois des gouttes rougeâtres le long du mur, je m’approche : de la peinture ? Et bien non, c’est du sang ! C’en est trop, je sors en courant du manoir, je ne voulais plus en voir d’avantage, et avec les nuages qui pèsent sur moi et qui apportent de la pluie, je remonte sur mon cheval qui me regarde d’un air attristé.
J’espère que cela suffit ! Passe une bonne journée.
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Je me suis donné assez de mal pour le faire, j’espère que cela te convient :
Ma gorge se serre : le vent fait claquer les volets ; j’entends le bruit incessant du loquet sur la porte d’entrée. Le battement de mon cœur s’accélère, pendant quelques instants j’ai le souffle coupé, pourquoi suis-je dans cet état-là ? Dans ce lieu lugubre, sombre, dans une certaine pénombre, rien de bien rassurant me direz-vous, mais, ce qu’il y a de plus étrange, c’est que même mon cheval est immobile, les yeux écarquillé, il semble être dans le même état que moi … Soudain, un grincement se fait entendre, c’est la porte qui avec la force du vent, s’est entrouverte. Ceci me permet de pénétrer à l’intérieur du manoir, et là j’y fais une étrange découverte : l’endroit est très sombre, sale, des objets de toutes sorte jonchent au sol ; et qui n’ont pas de quoi me rassurer : des couteaux, des épées, des haches, et j’aperçois de même un sabre. Mes pieds commencent à trembler, je commence à ne pas me sentir très bien, comme si le sol se dérobait sous mes pieds. Mais, que m’arrive-t-il ? Est-ce la vue de ce manoir qui me rappelle les films que j’ai vu dans ma jeunesse ? Alors que je pensais passer une bonne journée dans ce manoir, je découvre : des toiles d’araignée, encore sur une étagère des objets tranchants, « quel lieu bizarre » me dis-je, quand à ce moment-là j’aperçois des gouttes rougeâtres le long du mur, je m’approche : de la peinture ? Et bien non, c’est du sang ! C’en est trop, je sors en courant du manoir, je ne voulais plus en voir d’avantage, et avec les nuages qui pèsent sur moi et qui apportent de la pluie, je remonte sur mon cheval qui me regarde d’un air attristé.
J’espère que cela suffit !
Passe une bonne journée.