Ode à une femme aimée par Sappho -Vlè siècles avant JC) 60 (Vile- 7° Heureux qui près de toi, pour toi seule soupire, 2 Qui jouit du plaisir de t'entendre parler, 3 Qui te voit quelquefois doucement lui sourire. Les Dieux dans son bonheur peuvent-ils l'égaler ? 5 Je sens de veine en veine une subtile flamme "Courir par tout mon corps, sitôt que je te vois * Et dans les doux transports où s'égare mon âme 8 Je ne saurais trouver de langue ni de voix. 9 Un nuage confus se répand sur ma vue. 40 Je n'entends plus: je tombe en de douces langueurs ; 14 Et, pâle, sans haleine, interdite, éperdue, 42 Un frisson me saisit, je tremble, je me meurs. 13 Mais quand on n'a plus rien, il faut tout hasarde << Ode à une femme aimée »>, traduction de Boileau, cité dans Longin, Traité du Sublime, chap. 8, 1700.pover vous me l interpréter avec nos mot d aujourd'hui svp merci d avance