On me demande de: Interpréter les résultats des transferts de la même molécule d'ADN aux différents organismes étudiés. Présenter l'intérêt des applications médicales et industrielles Merci de m'aider.
Dans le document 2 et le document 3, tu vois que les scientifiques ont réussi à transférer un gène d'une espèce à une autre et que ce gène s'exprime chez l'espèce qui ne le possédait pas au départ. Je précise:
Dans le document 2: le gène codant pour une protéine fluorescente existe chez une méduse (doc 2b), il a été isolé puis transféré à d'autres organismes, aussi bien animal (le têtard, doc 2a), que végétal (la luzerne doc 2b). On voit sur les photos que le têtard et la luzerne sont fluorescents, cela signifie que ce gène de méduse s'exprime chez le têtard et la luzerne, c'est à dire qu'ils fabriquent la protéine fluorescente eux aussi.
Dans le document 3, c'est le même principe, on a pris chez l'homme le gène codant pour l'insuline, et ce gène a été transféré à des bactéries. On te dit que les bactéries produisent à leur tour l'insuline, ce qui signifie que le gène humain s'exprime aussi chez la bactérie.
Tu peux donc déduire de ces documents, que le code de lecture de l'information génétique (d'un gène) est le même chez toutes les espèces vivantes, aussi bien animales que végétales. Tu sais qu'un gène est composé d'ADN (connaissance de 3ème), donc tu peux dire que l'ADN, support du programme génétique est une molécule universelle, son langage est universel.
En ce qui concerne l'intérêt des applications médicales, reprends l'exemple de la fabrication de l'insuline humaine par des bactéries, permettant d'éviter les problèmes de rejet lorsque l'on injectait l'insuline d'une autre espèce, dans le traitement du diabète.
Pour les applications industrielles, il n'y a pas d'exemple dans tes documents, mais ce peut-être par exemple le transfert d'un gène de résistance à des insectes nuisibles à certaines plantes, permettant d'éviter l'utilisation d'insecticides: les plantes OGM.
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Dans le document 2 et le document 3, tu vois que les scientifiques ont réussi à transférer un gène d'une espèce à une autre et que ce gène s'exprime chez l'espèce qui ne le possédait pas au départ. Je précise:
Dans le document 2: le gène codant pour une protéine fluorescente existe chez une méduse (doc 2b), il a été isolé puis transféré à d'autres organismes, aussi bien animal (le têtard, doc 2a), que végétal (la luzerne doc 2b).
On voit sur les photos que le têtard et la luzerne sont fluorescents, cela signifie que ce gène de méduse s'exprime chez le têtard et la luzerne, c'est à dire qu'ils fabriquent la protéine fluorescente eux aussi.
Dans le document 3, c'est le même principe, on a pris chez l'homme le gène codant pour l'insuline, et ce gène a été transféré à des bactéries. On te dit que les bactéries produisent à leur tour l'insuline, ce qui signifie que le gène humain s'exprime aussi chez la bactérie.
Tu peux donc déduire de ces documents, que le code de lecture de l'information génétique (d'un gène) est le même chez toutes les espèces vivantes, aussi bien animales que végétales.
Tu sais qu'un gène est composé d'ADN (connaissance de 3ème), donc tu peux dire que l'ADN, support du programme génétique est une molécule universelle, son langage est universel.
En ce qui concerne l'intérêt des applications médicales, reprends l'exemple de la fabrication de l'insuline humaine par des bactéries, permettant d'éviter les problèmes de rejet lorsque l'on injectait l'insuline d'une autre espèce, dans le traitement du diabète.
Pour les applications industrielles, il n'y a pas d'exemple dans tes documents, mais ce peut-être par exemple le transfert d'un gène de résistance à des insectes nuisibles à certaines plantes, permettant d'éviter l'utilisation d'insecticides: les plantes OGM.
En espérant que ces informations t'aideront.