Photo 1 : travail d'emballage de jambons qui s'effectue dans une chambre froide dont l'air est filtré. Photo 2 : une infirmière soigne un élève au niveau du coude.
Question : A l'aide des informations contenus dans l'énoncé et des photos. EXPLIQUER pour chaque photo si les moyens utilisés sont de l'antiseptie ou de l'aseptie. JUSTIFIE
Un certain nombre de maladies sont provoquées par ce qu'on appelle des microorganisme (bactéries, champignons ou encore parasites). Elles peuvent être contagieuses et donc transmissibles d'une personne à une autre. Cette transmission peut être très rapide, provoquant ainsi une épidémie ! Se pose donc la question de : Comment réduire les risques de contamination ? Comment limiter les infections ?
ANALYSE
Dans la photo n°1, on a une personne qui effectue l'emballage de jambons et on nous précise que cela s'effectue dans une chambre froide dont l'air est filtré. Ces jambons seront destinés à un usage alimentaire par la population, il faut donc chercher un moyen de ne pas contaminer les individus. Or l'air est un vecteur majeur de microorganisme ! On va donc filtrer en permanence cette air dans une chambre froide pour empêcher, au maximum, la contamination de la zone de travail par des microorganismes nuisibles pour la santé humaine. On se voit donc définir à travers cette photo, la notion d'asepsie quidésigne une pratique préventive visant à empêcher une contamination. C'est un concept qui émerge de la théorie de Louis PASTEUR.
Dans la photo n°2, on a une infirmière qui soigne un élève qui s'est blessé au niveau du coude. En plus de la douleur que peut provoqué cette blessure, elle peut également provoqué la contamination et l'infection par les microorganismes et ce d'autant plus que la plaie est importante. En effet, la peau qui constitue notre barrière naturelle est très efficace face à la pénétration des microorganismes au sein de notre organisme mais celle-ci peut être lésée lors d'une blessure et donc laisser une libre circulation aux microorganismes. On va donc utilisé des antiseptique (l'alcool, l'eau oxygénée, l'éther, etc.) choisi judicieusement pour limiter, au maximum, les microorganismes présents sur une zone de la peau et c'est exactement ce que fait l'infirmière au niveau du coude de l'élève. On se voit donc définir à travers cette photo, la notion d'antisepsie quidésigne une pratique curative visant à limiter, voire complètement détruire la contamination si elle n'est pas très importante. Néanmoins c'est une opération au résultat temporaire ou encore momentané.
CONCLUSION
En somme, l'hygiène reste le procédé le plus élémentaire pour réduire les risques de contamination qu'elles soient alimentaires ou humaines. Elle impose de se laver souvent les mains, d'aérer ou de nettoyer les pièces, de nettoyer, etc. Cependant d'autres procédés peuvent être mis en œuvre comme l'asepsie et l'antisepsie. Ouverture : Qu'en est-il de la lutte contre la prolifération des microbes dans l'organisme ?
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Un certain nombre de maladies sont provoquées par ce qu'on appelle des microorganisme (bactéries, champignons ou encore parasites).
Elles peuvent être contagieuses et donc transmissibles d'une personne à une autre. Cette transmission peut être très rapide, provoquant ainsi une épidémie !
Se pose donc la question de : Comment réduire les risques de contamination ? Comment limiter les infections ?
ANALYSE
Dans la photo n°1, on a une personne qui effectue l'emballage de jambons et on nous précise que cela s'effectue dans une chambre froide dont l'air est filtré.
Ces jambons seront destinés à un usage alimentaire par la population, il faut donc chercher un moyen de ne pas contaminer les individus.
Or l'air est un vecteur majeur de microorganisme ! On va donc filtrer en permanence cette air dans une chambre froide pour empêcher, au maximum, la contamination de la zone de travail par des microorganismes nuisibles pour la santé humaine.
On se voit donc définir à travers cette photo, la notion d'asepsie qui désigne une pratique préventive visant à empêcher une contamination. C'est un concept qui émerge de la théorie de Louis PASTEUR.
Dans la photo n°2, on a une infirmière qui soigne un élève qui s'est blessé au niveau du coude. En plus de la douleur que peut provoqué cette blessure, elle peut également provoqué la contamination et l'infection par les microorganismes et ce d'autant plus que la plaie est importante. En effet, la peau qui constitue notre barrière naturelle est très efficace face à la pénétration des microorganismes au sein de notre organisme mais celle-ci peut être lésée lors d'une blessure et donc laisser une libre circulation aux microorganismes. On va donc utilisé des antiseptique (l'alcool, l'eau oxygénée, l'éther, etc.) choisi judicieusement pour limiter, au maximum, les microorganismes présents sur une zone de la peau et c'est exactement ce que fait l'infirmière au niveau du coude de l'élève. On se voit donc définir à travers cette photo, la notion d'antisepsie qui désigne une pratique curative visant à limiter, voire complètement détruire la contamination si elle n'est pas très importante. Néanmoins c'est une opération au résultat temporaire ou encore momentané.
CONCLUSION
En somme, l'hygiène reste le procédé le plus élémentaire pour réduire les risques de contamination qu'elles soient alimentaires ou humaines. Elle impose de se laver souvent les mains, d'aérer ou de nettoyer les pièces, de nettoyer, etc. Cependant d'autres procédés peuvent être mis en œuvre comme l'asepsie et l'antisepsie.
Ouverture : Qu'en est-il de la lutte contre la prolifération des microbes dans l'organisme ?