Pourriez-vous m'aider svp merci beaucoup : Réécrivez les phrases qui sont au discours direct au discours indirect et celles qui sont au discours indirect au discours direct. 1- Jean-Paul Sartre raconte dans son autobiographie, le désintérêt de son grand-père pour ses premiers écrits de jeunesse. 2- Ma mère annonça à mon grand-père que j’avais commencé à écrire. 3- « Au moins, disait-elle, il est sage, il ne fait pas de bruit ». 4- Me trouvant absorbé dans l‘écriture, les visiteurs se retiraient sur la pointe des pieds en murmurant que j’étais trop mignon, que c’était trop charmant. 5- Elle tendait le cahier à mon grand-père : « Lis donc, papa ! C’est trop drôle. » 6- Mon grand-père me rabrouait avec indifférence : m’imaginais-je que ce tissu de maladresses était de la littérature ? 7- Il releva avec mauvaise humeur que je faisais trop de fautes d’orthographe.
Réécrivez les phrases qui sont au discours direct au discours indirect et celles qui sont au discours indirect au discours direct.
1- Jean-Paul Sartre raconte dans son autobiographie, le désintérêt de son grand-père pour ses premiers écrits de jeunesse.
Jean Paul Sartre raconte dans son autobiographie : "je ne m'intéresse pas à mon père lorsque j'exécute mes écrits de jeunesse".
2- Ma mère annonça à mon grand-père que j’avais commencé à écrire.
Ma mère annonça à mon grand-père : "il a commencé à écrire".
3- « Au moins, disait-elle, il est sage, il ne fait pas de bruit ».
Elle disait qu'au moins il était sage et qu'il ne faisait pas de bruit.
4- Me trouvant absorbé dans l‘écriture, les visiteurs se retiraient sur la pointe des pieds en murmurant que j’étais trop mignon, que c’était trop charmant.
Me trouvant absorbé dans l‘écriture, les visiteurs se retiraient sur la pointe des pieds en murmurant : "il est trop mignon, c'est trop charmant".
5- Elle tendait le cahier à mon grand-père : « Lis donc, papa ! C’est trop drôle. »
Elle tendait le cahier à mon grand-père en lui demandant de le lire que c'était trop drôle.
6- Mon grand-père me rabrouait avec indifférence : m’imaginais-je que ce tissu de maladresses était de la littérature ?
Mon grand-père me rabrouait avec indifférence : "tu tu'imagines ce que tissu de maladresses est la littérature ?"
7- Il releva avec mauvaise humeur que je faisais trop de fautes d’orthographe.
Il releva avec mauvaise humeur : "tu fais trop de fautes d'orthographe !".
1- Jean-Paul Sartre raconte dans son autobiographie, le désintérêt de son grand-père pour ses premiers écrits de jeunesse.
Jean-Paul Sartre raconte dans son autobiographie : "Mon grand père se désintéressait de mes écrits de jeunesse".
2- Ma mère annonça à mon grand-père que j’avais commencé à écrire.
Ma mère annonça à mon grand-père : "il a commencé à écrire".
3- « Au moins, disait-elle, il est sage, il ne fait pas de bruit ».
Elle disait qu'au moins j'étais sage et ne faisais pas de bruit.
4- Me trouvant absorbé dans l‘écriture, les visiteurs se retiraient sur la pointe des pieds en murmurant que j’étais trop mignon, que c’était trop charmant.
Me trouvant absorbé dans l‘écriture, les visiteurs se retiraient sur la pointe des pieds en murmurant : "Il est trop mignon, c'est trop charmant".
5- Elle tendait le cahier à mon grand-père : « Lis donc, papa ! C’est trop drôle. »
Elle tendait le cahier à mon grand-père en lui disant de lire, que c'était trop drôle.
6- Mon grand-père me rabrouait avec indifférence : m’imaginais-je que ce tissu de maladresses était de la littérature ?
Mon grand-père me rabrouait avec indifférence en ajoutant que je ne devais pas m'imaginer que ce tissu de maladresses était de la littérature.
7- Il releva avec mauvaise humeur que je faisais trop de fautes d’orthographe.
Il releva avec mauvaise humeur : "tu fais trop de fautes d'orthographe".
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Bonjour
Réécrivez les phrases qui sont au discours direct au discours indirect et celles qui sont au discours indirect au discours direct.
1- Jean-Paul Sartre raconte dans son autobiographie, le désintérêt de son grand-père pour ses premiers écrits de jeunesse.
Jean Paul Sartre raconte dans son autobiographie : "je ne m'intéresse pas à mon père lorsque j'exécute mes écrits de jeunesse".
2- Ma mère annonça à mon grand-père que j’avais commencé à écrire.
Ma mère annonça à mon grand-père : "il a commencé à écrire".
3- « Au moins, disait-elle, il est sage, il ne fait pas de bruit ».
Elle disait qu'au moins il était sage et qu'il ne faisait pas de bruit.
4- Me trouvant absorbé dans l‘écriture, les visiteurs se retiraient sur la pointe des pieds en murmurant que j’étais trop mignon, que c’était trop charmant.
Me trouvant absorbé dans l‘écriture, les visiteurs se retiraient sur la pointe des pieds en murmurant : "il est trop mignon, c'est trop charmant".
5- Elle tendait le cahier à mon grand-père : « Lis donc, papa ! C’est trop drôle. »
Elle tendait le cahier à mon grand-père en lui demandant de le lire que c'était trop drôle.
6- Mon grand-père me rabrouait avec indifférence : m’imaginais-je que ce tissu de maladresses était de la littérature ?
Mon grand-père me rabrouait avec indifférence : "tu tu'imagines ce que tissu de maladresses est la littérature ?"
7- Il releva avec mauvaise humeur que je faisais trop de fautes d’orthographe.
Il releva avec mauvaise humeur : "tu fais trop de fautes d'orthographe !".
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1- Jean-Paul Sartre raconte dans son autobiographie, le désintérêt de son grand-père pour ses premiers écrits de jeunesse.
Jean-Paul Sartre raconte dans son autobiographie : "Mon grand père se désintéressait de mes écrits de jeunesse".
2- Ma mère annonça à mon grand-père que j’avais commencé à écrire.
Ma mère annonça à mon grand-père : "il a commencé à écrire".
3- « Au moins, disait-elle, il est sage, il ne fait pas de bruit ».
Elle disait qu'au moins j'étais sage et ne faisais pas de bruit.
4- Me trouvant absorbé dans l‘écriture, les visiteurs se retiraient sur la pointe des pieds en murmurant que j’étais trop mignon, que c’était trop charmant.
Me trouvant absorbé dans l‘écriture, les visiteurs se retiraient sur la pointe des pieds en murmurant : "Il est trop mignon, c'est trop charmant".
5- Elle tendait le cahier à mon grand-père : « Lis donc, papa ! C’est trop drôle. »
Elle tendait le cahier à mon grand-père en lui disant de lire, que c'était trop drôle.
6- Mon grand-père me rabrouait avec indifférence : m’imaginais-je que ce tissu de maladresses était de la littérature ?
Mon grand-père me rabrouait avec indifférence en ajoutant que je ne devais pas m'imaginer que ce tissu de maladresses était de la littérature.
7- Il releva avec mauvaise humeur que je faisais trop de fautes d’orthographe.
Il releva avec mauvaise humeur : "tu fais trop de fautes d'orthographe".
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