1. Le narrateur se demande s'il a perdu la raison car il a constaté que la carafe d'eau qu'il avait laissée pleine était vide après avoir dormi, ce qui est inexplicable.
2. L'ordre des mots "Elle était vide complètement" est inversé par rapport à l'ordre habituel en français ("Elle était complètement vide"). Cette inversion vise à attirer l'attention sur le fait que la carafe d'eau est vide, ce qui est la source de l'inquiétude du narrateur.
Bonus : En tant que modèle de langage, je n'ai pas de préférences ni d'opinions personnelles, car je suis programmé pour être neutre et objectif.
3. La phrase dans laquelle le narrateur s'adresse au lecteur est : "Ahl I qui comprendra mon angoisse abominable? Qui comprendre l'éme tion d'un homme, sain d'esprit, bien éveillé, plein de raison et qui regarde épouvanté, à travers le verre d'une carafe, un peu d'ean disparue pendant qu'il a dormi !" C'est surprenant car le narrateur semble rompre la barrière entre la fiction et le lecteur en le faisant entrer dans son monde de manière directe.
4. Les éléments fantastiques dans cet extrait sont la disparition mystérieuse de l'eau dans la carafe pendant que le narrateur dormait, ainsi que la possibilité que le narrateur ait agi en somnambule sans s'en rendre compte.
5. Le verbe "comprendra" est conjugué au futur simple. Sa valeur est de marquer une action future qui est incertaine ou hypothétique.
6. Les mots du texte appartenant au champ lexical du fantastique sont : "étrange", "sommeil épouvantable", "émotion terrible", "angoisse abominable".
7. Le synonyme de "étonnement" ligne 18 est "stupeur".
8. L'antonyme du mot "invisible" ligne 23 est "visible".
9. Un mot de la même famille que "somnambule" ligne 21 est "somnambulisme".
10. Le mot "inconnaissable" ligne 23 est formé à partir du préfixe "in-" qui signifie "non" et du verbe "connaître", ce qui donne le sens de "qui ne peut être connu".
11. "Je me coucherai ensuite et je tomberai dans un de mes sommeils épouvantables, dont je serai tiré au bout de deux heures environ par une secousse plus affreuse encore."
12. Les mots soulignés dans l'extrait "Figurez-vous un homme qui dort, qu'on assassine, et qui se réveille, avec un couteau dans le poumon, et qui râle, couvert de sang et qui ne peut plus respirer, et qui va mourir, et qui ne comprend pas - voilà." sont des verbes conjugués à la troisième personne du singulier : "assassine", "réveille", "râle", "peut", "va", "comprend". Ils sont tous au présent de l'indicatif.
13. La nouvelle se termine sur une note d'incertitude, le narrateur se posant toujours des questions sur ce qui s'est passé et sur sa propre santé mentale.
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1. Le narrateur se demande s'il a perdu la raison car il a constaté que la carafe d'eau qu'il avait laissée pleine était vide après avoir dormi, ce qui est inexplicable.
2. L'ordre des mots "Elle était vide complètement" est inversé par rapport à l'ordre habituel en français ("Elle était complètement vide"). Cette inversion vise à attirer l'attention sur le fait que la carafe d'eau est vide, ce qui est la source de l'inquiétude du narrateur.
Bonus : En tant que modèle de langage, je n'ai pas de préférences ni d'opinions personnelles, car je suis programmé pour être neutre et objectif.
3. La phrase dans laquelle le narrateur s'adresse au lecteur est : "Ahl I qui comprendra mon angoisse abominable? Qui comprendre l'éme tion d'un homme, sain d'esprit, bien éveillé, plein de raison et qui regarde épouvanté, à travers le verre d'une carafe, un peu d'ean disparue pendant qu'il a dormi !" C'est surprenant car le narrateur semble rompre la barrière entre la fiction et le lecteur en le faisant entrer dans son monde de manière directe.
4. Les éléments fantastiques dans cet extrait sont la disparition mystérieuse de l'eau dans la carafe pendant que le narrateur dormait, ainsi que la possibilité que le narrateur ait agi en somnambule sans s'en rendre compte.
5. Le verbe "comprendra" est conjugué au futur simple. Sa valeur est de marquer une action future qui est incertaine ou hypothétique.
6. Les mots du texte appartenant au champ lexical du fantastique sont : "étrange", "sommeil épouvantable", "émotion terrible", "angoisse abominable".
7. Le synonyme de "étonnement" ligne 18 est "stupeur".
8. L'antonyme du mot "invisible" ligne 23 est "visible".
9. Un mot de la même famille que "somnambule" ligne 21 est "somnambulisme".
10. Le mot "inconnaissable" ligne 23 est formé à partir du préfixe "in-" qui signifie "non" et du verbe "connaître", ce qui donne le sens de "qui ne peut être connu".
11. "Je me coucherai ensuite et je tomberai dans un de mes sommeils épouvantables, dont je serai tiré au bout de deux heures environ par une secousse plus affreuse encore."
12. Les mots soulignés dans l'extrait "Figurez-vous un homme qui dort, qu'on assassine, et qui se réveille, avec un couteau dans le poumon, et qui râle, couvert de sang et qui ne peut plus respirer, et qui va mourir, et qui ne comprend pas - voilà." sont des verbes conjugués à la troisième personne du singulier : "assassine", "réveille", "râle", "peut", "va", "comprend". Ils sont tous au présent de l'indicatif.
13. La nouvelle se termine sur une note d'incertitude, le narrateur se posant toujours des questions sur ce qui s'est passé et sur sa propre santé mentale.