1) Relevez dans les lignes 8 à 17 les expressions qui désignent le colonel : (au moins 4). 2) Que ressent le narrateur pour le colonel ? 3) Quel est le point de vue adopté dans ce texte ? 4) Justifiez le choix de ce point de vue. 5) Quels types de phrases le narrateur utilise-t-il des lignes 15 à 22 ? Que nous révèlent-elles sur l'état d'esprit de Bardamu ? 6) « Serais-je donc le seul lâche sur terre ? » Comment nomme-t-on ce genre d'interrogation ? 7) « cette imbécillité infernale pouvait continuer indéfiniment » ; commentez le sens de cette expression. 8) Quelle vision est donnée de la guerre dans cet extrait ? Développez votre réponse et justifiez-la à l'aide du texte. 9) Quels liens pouvez-vous faire entre le texte et l'image ?
5) il utilise des phrases interrogatives. Il parait troublé, il se remet en cause
6) question rhétorique
7) Rappelons- le: à la plupart des soldats engagés ou mobilisés, les autorités militaires avaient promis une guerre éclair, très brève en raison d'une victoire certaine sur les allemands. On mesure donc ici la déception des troupes lorsque la guerre s'enlise au fil des années. Le héros craint alors que cette "imbécillité infernale", c'est la périphrase utilisée pour montrer l'absurdité dévastatrice de la guerre, ne s'arrête jamais : "avec des êtres semblables,cette imbécillité infernale pouvait continuer indéfiniment."
8) La guerre n'est plus exaltée, glorifiée, idéalisée, mais perçue dans toute son horreur, par des soldats qui ont peur, sont dépassé par les événements, et terrifiés par les obus qui ravagent tout sur leur passage.
Lista de comentários
1) " un monstre", "pire qu'un chien",
2) Il ressent de la haine
3) jsp dsl
4)jsp dsl
5) il utilise des phrases interrogatives. Il parait troublé, il se remet en cause
6) question rhétorique
7) Rappelons- le: à la plupart des soldats engagés ou mobilisés, les autorités militaires avaient promis une guerre éclair, très brève en raison d'une victoire certaine sur les allemands. On mesure donc ici la déception des troupes lorsque la guerre s'enlise au fil des années. Le héros craint alors que cette "imbécillité infernale", c'est la périphrase utilisée pour montrer l'absurdité dévastatrice de la guerre, ne s'arrête jamais : "avec des êtres semblables,cette imbécillité infernale pouvait continuer indéfiniment."
8) La guerre n'est plus exaltée, glorifiée, idéalisée, mais perçue dans toute son horreur, par des soldats qui ont peur, sont dépassé par les événements, et terrifiés par les obus qui ravagent tout sur leur passage.
9) a toi de le faire