Articles
Register
Sign In
Search
Post not found! Please try again
EliseLisee
Beginner
0
Followers
3
Questões
7
Respostas
EliseLisee
January 2021 | 1 Respostas
Bonjour à tous, j'ai un devoir de philosophie sur la perception (série ES) avec un texte et une question dessus : « Concentrons notre attention sur la table. A la vue, elle est rectangulaire, de couleur marron et brillante ; au toucher, elle est lisse, froide et dure ; quand je la frappe, elle rend le son sourd du bois. Quiconque voit et touche la table, ou perçoit ces sons sera d’accord avec cette description, si bien qu’il peut sembler qu’il n’y a là nulle difficulté; pourtant, dès que nous essayons d’être plus précis, notre embarras commence. Bien que je croie que la table est « réellement » partout de la même couleur, les parties qui réfléchissent la lumière semblent plus brillantes que les autres, et certaines semblent blanches à cause de la réflexion. Je sais que, si je me déplace, ce seront d’autres parties qui réfléchiront la lumière, de sorte que la distribution apparente des couleurs sur la table aura changé. Il s’ensuit que si plusieurs personnes regardent la table au même moment, il n’y en aura pas deux qui verront exactement la même distribution de couleurs, puisque deux personnes différentes ne voient pas la table sous le même angle et que tout changement de point de vue transforme la manière dont la lumière est réfléchie. Dans la pratique, ces différences sont en général sans importance, mais pour le peintre elles sont capitales : le peintre doit se défaire de l’habitude qui consiste à penser que les choses paraissent de la couleur que le sens commun leur attribue comme leur couleur « réelle », et doit apprendre à voir les choses telles qu’elles lui apparaissent. Nous voyons surgir ici une distinction parmi les plus embarrassantes philosophiquement ‑ la distinction entre « apparence » et « réalité » ‑ entre ce que les choses semblent être et ce qu’elles sont. Le peintre veut saisir l’apparence des choses, l’homme pratique et le philosophe veulent savoir ce qu’elles sont. [...] Il n’en va guère mieux pour la forme de la table. Nous sommes tous habitués à juger des formes «réelles» des choses, et nous le faisons tellement sans réfléchir que nous en venons à croire que nous voyons effectivement les formes réelles. En fait, comme nous devons l’apprendre en nous mettant à dessiner, une même chose apparaît sous des formes différentes selon chaque point de vue. Si notre table est « réellement» rectangulaire, nous la verrons, de presque partout, avec deux angles aigus et deux angles obtus. Si les côtés opposés sont parallèles, il nous semblera qu’ils convergent vers un point éloigné ; et s’ils sont de longueur égale, nous aurons l’impression que le plus proche de nous est plus long. On ne remarque habituellement rien de tout cela en regardant une table, parce que l’expérience nous a enseigné à construire la forme « réelle » à partir de la forme apparente, et c’est la forme « réelle » qui nous intéresse en tant que nous sommes tournés vers l’action. Mais la forme « réelle » n’est pas ce que nous voyons ; elle est inférée à partir de ce que nous voyons » [Bertrand Russell, Problèmes de philosophie, 1912, tract. François Rivenc, Payot, p. 29‑30 – 32-33] L'auteur montre la différence entre ce que nous croyons percevoir et ce que nous percevons réellement. D'où peut venir cette différence ? Pouvons-nous atteindre le réel uniquement avec nos sens ? Pouvons-nous l'atteindre sans eux ? merci d'avance ! (sachant que je n'ai aucun cours encore avec mon prof et que nous n'avons pas traité de ce sujet)
Responda
EliseLisee
January 2021 | 1 Respostas
Bonjour, je dois faire un Devoir Maison de philosophie, j'ai déjà posté ce même devoir et essayer de répondre à la question mais je n'y arrive pas... J'aimerais si possible avoir de l'aide s'il vous plaît... voici donc le texte à étudier : "Qu'est-ce que le moi ? Un homme qui se met à la fenêtre pour voir les passants, si je passe par là, puis-je dire qu'il s'est mis là pour me voir ? Non ; car il ne pense pas à moi en particulier. Mais celui qui aime quelqu'un à cause de sa beauté, l'aime-t-il ? Non; car la petite vérole, qui tuera la beauté sans tuer la personne, fera qu'il ne l'aimera plus. Et si on m'aime pour mon jugement, pour ma mémoire, m'aime-t-on, moi ? Non ; car je puis perdre ces qualités sans me perdre moi-même. Où est donc ce moi, s'il n'est ni dans le corps, ni dans l'âme ? Et comment aimer le corps ou l'âme, sinon pour ces qualités qui ne sont point ce qui fait le moi, puisqu'elles sont périssables ? Car aimerait-on la substance de l'âme d'une personne abstraitement, et quelques qualités qui y fussent ? Cela ne se peut, et serait injuste. On n'aime donc jamais personne, mais seulement des qualités. Qu'on ne se moque donc plus de ceux qui se font honorer pour des charges et des offices, car on n'aime personne que pour des qualités empruntées." Pascal question : Quelles sont, pour Pascal, les fausses définitions du Moi ? Expliquer pourquoi. S'il vous plait, Merci d'avance..!
Responda
EliseLisee
May 2019 | 1 Respostas
Bonsoir, J'ai actuellement un gros problème ayant perdu mon niveau d'anglais avec ma prof depuis 2ans je n'arrive plus à suivre en cours et en ce moment j'ai un oral à préparer et j'aimerais avoir de l'aide s'il vous plait... Je dois faire une description de cette image en montrant le message implicite qui transparaît dans celle ci (dans la notion idée de progrès ). voici l'image en lien ci contre : https://www.eurekastreet.com.au/uploads/image/14/41940.jpg merci beaucoup d'avance !!!
Responda
Helpful Links
Sobre nós
Política de Privacidade
Termos e Condições
direito autoral
Contate-Nos
Helpful Social
Get monthly updates
Submit
Copyright © 2025 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.