Y a t'il des fautes dans mon texte:Renart, Isengrin et les pouletsMesdames et Messieurs, spectateurs de tout âge, écoutez avec attention cette nouvelle aventure de votre goupil préférer, Renart, le maitre de la ruse, qui se déroula au cœur de l’hiver. Renart qui, à son habitude, avait faim, cherchait désespérément de la nourriture. Dans l’étang, il ne trouva rien parce qu’il était gelé ; dans les prés non plus ; près du ruisseau il rencontra Lucy la sourie, qui elle aussi était en quête de nourriture, mais Renart se contenta de la regarder passer, car en la mangeant il n’aurait pas été rassasié, et de la saluer en fessant un signe de la patte. Dans un dernier espoir il alla dans la forêt. Renart, qui avait pénétré dans la forêt deux heures plus tôt, était éreinté. Il s’arrêta près d’un grand sapin pour reprendre des forces. Le goupil, qui n’avait pas mangé depuis trois jours, se demanda s’il n’allait pas mourir de faim, là, sous un majestueux sapin couvert de neige. Il leva la tête vers le ciel et se mit à implorer Dieu : «Seigneur, Ô grand seigneur, ayez pitié d’un pauvre goupil, je vous en conjure, faite que ma faim soit terrassée ! » Environ trente minutes plus tard, il entendit un bruit de pas dans les feuilles. Il leva alors sa tête en se disant que Dieu avait entendu sa prière et répondu à sa demande. Le bruit se rapprocha de plus en plus. Vous ne pouvez pas imaginer la tête que fit Renart quand il vit surgir Isengrin ! «Mais… Je ne peux pas manger Isengrin !, murmura le goupil à l’intention du seigneur. - Que dîtes-vous feu mon compère ? – Je disais que je suis heureux de vous revoir !, répondit Renart qui venait d’apercevoir les deux poulets qu’Isengrin tenait sous son bras. – Moi également, qu’elle vent vous amène par ici ? Vous êtes maigre comme une feuille ! - Je suis ici parce que je suis à la recherche de nourriture, la faim me tiraille depuis déjà trois jours, tout à geler même le ruisseau où, autrefois, nous nous désaltérions. - Mais c’est affreux ! Il n’avait jamais gelé ! J’en conclu donc que vous n’avez pas non plus but depuis bien longtemps ! - Vous avez raison mon compère, de grasse donné moi un de ces deux magnifiques poulets que vous tenez là, dit Renart en montrant les bras d’Isengrin, je vous en serais infiniment reconnaissant ! - Hum,… Je vous donne la moitié d’un poulet, pas plus ! - Je le prends volontiers ! » Renart venait de terminer sa part, mais qui avait encore faim, dit : «Isengrin, mon ami, si vous mangez en une fois votre repas vous allez avoir une crampe d’estomac ! Faite donc une sieste avant de le continuer. - Vous avez raison, surveillez dont mon repas le temps que je me prélasse. - N’ayez crainte, je le protégerai de vos ennemis et je ne le mangerait pas, dit Renart en croisant les doigts.» Dès qu’Isengrin fut endormi, Renart prit le poulet et partit en courant vers le ruisseau et dévora le poulet. Isengrin ne tarda pas à se réveiller et à découvrir la supercherie de Renart, et là, il se promit de se venger de lui.
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