JE REPOSE LA QUESTION CAR ON NE M'A PAS REPONDU A TOUTES MES QUESTIONS PAR RAPORT A MON DM. DONC JE VOUS REDEMANDE POUVEZ-VOUS M'AIIDER SVP C HYPER IMPORTANT C A RENDRE DEMAIN VOICI LE TEXTE :Le cure qui mangea des mures :Un curé voulait se rendre au marché. Il fit préparer sa mule et se mit en chemin. L'automne s'éternisait, il faisait beau, un délicieux parfum flottait dans la douceur de l'air et le curé sur sa bête parcourait les pages de son bréviaire en levant de temps à autre de son regard sur la paisible campagne. Il s'approchait du village , quand il remarqua, surgissant du côté de la route, un étroit chemin, avec par-delà le fossé une haie chargée de mûres brillantes. << Sainte Vierge, s'exclama l'homme, jamais je n'ai vu de tels fruits ! >> Il s'engagea sur le chemin , juge de la profondeur du fossé, réfléchit un moment, mais il se décide : il avance sa mule et atteint le buisson. Il cueille avec gourmandise les mûres fondantes. Elles sont délicieuses, sucrées et aigres à la fois. Il se pique la main mais, tout à son péché, il remarque à peine la brûlure des épines. Il ne veut pas laisser perdre pareil trésor. Cependant, les fruits les plus gros couvrent le sommet de la haie. Ils luisent à la lumière brillante du soleil. Pour s'en saisir, le curé se dresse en équilibre sur la mule ; il se campe bien sur ses deux jambes, et il savoure les mûres offertes. La mule est patiente, elle n'esquisse pas le moindre mouvement. Satisfait et comblé, le curé contemple sa campagne. Il admire son air tranquille et ne peut s'empêcher de songer : << La brave bête que voici ! S'il arrivait qu'un farceur se mette à crier < Hue >, je chuterai de tout mon long dans le fossé ! >> Le maladroit ! Il avait songé à voix haute et avait dit << Hue >>. La mule s'ecarte du buisson, le curé perd l'équilibre et tombe à la renverse. Sa cheville s'est tordue et enfle, le fossé est glissant de terre humide , il ne parvient pas à se redresser pris dans les plis de sa soutane, il dérape . Il souffre, impossible de tenir sur ses jambes, il retombe. La mule l'observe, elle regagne la route. Elle a faim elle aussi. Au petit trot elle regagne le presbytère sans plus attendre son infortuné maitre. Quand ils la voient arriver, seule, les valets sont pris d'inquiétude : Notre curé a eu un malheur, disent-ils. Partons a sa recherche, sans doute est-il en bien mauvaise posture. Ils se mettent en route aussi vite qu'ils peuvent et arrive:t près du chemin . Le chapelain entend leurs pas précipités, il s'écrie : Holà ! Je suis ici, dans le fossé. J'ai des épines partout, portez moi aide ! - Mais que faites-vous en pareil lieu curé ? Te:ez-vous bien... Par quelle infortune êtes-vous parvenu en cet endroit si misérable ? La route est loin d'ici. - Ah ! Le péché, !e péché. J'avais beau me consacrer à la lecture de mon bréviaire, les mûres m'ont tenté. Je suis monté debout sur la selle ! Aidez-moi à rentrer je vous en prie. Je suis épuisé de douleur. Il ne faut jamaisnpenser tout haut, Messeigneurs. >> Questions : 1) A quel genre littéraire appartient ce texte ? Justifiée votre réponse a l'aide de deux caractéristiques. 2) Délimitée la situation initiale et l'élément modificateur. Justifiez à l'aide d'indices précis illustrés d'exemples. 3) Qui est le personnage principal ? Relevez quatre termes qui renvoient à son univers. 4) Quel est l'itinéraire suivi par le curé ? A quelle activité se livre t-il ? Quelles expressions donnent-ils pour expliquer son comportement ? 5) Dégagez les trois traits de caractère du curé. Justifiée votre réponse dans chaque cas. B : Il se campe bien sur ses deux jambes, et, comme un porc, s'engraissait , s'emplissait la panse en savourant les mûres offertes à la dérobée. Identifiez la figure de style présente dans cette phrase. 6) Qu'arrive-t-il au curé ? En quoi est-ce comique ? 7) Relevez des interventions ( parfois courtes expressions ) du narrateur qui montrent sa sympathie pour les personnages. 8) Qu'elle est la morale de cette aventure ? Proposez une autre morale. POUVEZ VOUS REPONDRE QUESTIONS : 1 / 2 ET 7 ET 8( FACULTATIF LE 8 ) MERCI DE VOS REPONSES
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DM : Le cure qui mangea des mures : Un curé voulait se rendre au marché. Il fit préparer sa mule et se mit en chemin. L'automne s'éternisait, il faisait beau, un délicieux parfum flottait dans la douceur de l'air et le curé sur sa bête parcourait les pages de son bréviaire en levant de temps à autre de son regard sur la paisible campagne. Il s'approchait du village , quand il remarqua, surgissant du côté de la route, un étroit chemin, avec par-delà le fossé une haie chargée de mûres brillantes. << Sainte Vierge, s'exclama l'homme, jamais je n'ai vu de tels fruits ! >> Il s'engagea sur le chemin , juge de la profondeur du fossé, réfléchit un moment, mais il se décide : il avance sa mule et atteint le buisson. Il cueille avec gourmandise les mûres fondantes. Elles sont délicieuses, sucrées et aigres à la fois. Il se pique la main mais, tout à son péché, il remarque à peine la brûlure des épines. Il ne veut pas laisser perdre pareil trésor. Cependant, les fruits les plus gros couvrent le sommet de la haie. Ils luisent à la lumière brillante du soleil. Pour s'en saisir, le curé se dresse en équilibre sur la mule ; il se campe bien sur ses deux jambes, et il savoure les mûres offertes. La mule est patiente, elle n'esquisse pas le moindre mouvement. Satisfait et comblé, le curé contemple sa campagne. Il admire son air tranquille et ne peut s'empêcher de songer : << La brave bête que voici ! S'il arrivait qu'un farceur se mette à crier < Hue >, je chuterai de tout mon long dans le fossé ! >> Le maladroit ! Il avait songé à voix haute et avait dit << Hue >>. La mule s'ecarte du buisson, le curé perd l'équilibre et tombe à la renverse. Sa cheville s'est tordue et enfle, le fossé est glissant de terre humide , il ne parvient pas à se redresser pris dans les plis de sa soutane, il dérape . Il souffre, impossible de tenir sur ses jambes, il retombe. La mule l'observe, elle regagne la route. Elle a faim elle aussi. Au petit trot elle regagne le presbytère sans plus attendre son infortuné maitre. Quand ils la voient arriver, seule, les valets sont pris d'inquiétude : Notre curé a eu un malheur, disent-ils. Partons a sa recherche, sans doute est-il en bien mauvaise posture. Ils se mettent en route aussi vite qu'ils peuvent et arrive:t près du chemin . Le chapelain entend leurs pas précipités, il s'écrie : Holà ! Je suis ici, dans le fossé. J'ai des épines partout, portez moi aide ! - Mais que faites-vous en pareil lieu curé ? Te:ez-vous bien... Par quelle infortune êtes-vous parvenu en cet endroit si misérable ? La route est loin d'ici. - Ah ! Le péché, !e péché. J'avais beau me consacrer à la lecture de mon bréviaire, les mûres m'ont tenté. Je suis monté debout sur la selle ! Aidez-moi à rentrer je vous en prie. Je suis épuisé de douleur. Il ne faut jamaisnpenser tout haut, Messeigneurs. >> Questions : 1) A quel genre littéraire appartient ce texte ? Justifiée votre réponse a l'aide de deux caractéristiques. 2) Délimitée la situation initiale et l'élément modificateur. Justifiez à l'aide d'indices précis illustrés d'exemples. 3) Qui est le personnage principal ? Relevez quatre termes qui renvoient à son univers. 4) Quel est l'itinéraire suivi par le curé ? A quelle activité se livre t-il ? Quelles expressions donnent-ils pour expliquer son comportement ? 5) Dégagez les trois traits de caractère du curé. Justifiée votre réponse dans chaque cas. B : Il se campe bien sur ses deux jambes, et, comme un porc, s'engraissait , s'emplissait la panse en savourant les mûres offertes à la dérobée. Identifiez la figure de style présente dans cette phrase. 6) Qu'arrive-t-il au curé ? En quoi est-ce comique ? 7) Relevez des interventions ( parfois courtes expressions ) du narrateur qui montrent sa sympathie pour les personnages. 8) Qu'elle est la morale de cette aventure ? Proposez une autre morale.
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