Bonsoir, pouver vous me corrigerÉCRITURE D'INVENTIONÀ la place d'une tempête, le chêne et le roseau voient surgir du lointain…un écrivain. Imaginez, en vers ou en prose, une suite parodique d'au moins une trentaine de lignes, à partir du vers 24, qui commencera de la façon suivante : « Comme il disait ces mots / Du bout de l'horizon accourt élégamment / le plus lyrique des enfants / Que la littérature ait nourri dans son sein… » Vous profiterez de ce changement de péripétie pour imaginer un dénouement radicalement différent de celui de la Table de la Fontaine.« Comme il disait ces mots Du bout de l'horizon accourt élégamment le plus lyrique des enfantsQue la littérature ait nourri dans son sein… »J'arrive à temps, dit l'écrivain pour assister à vos célèbres conversationsLequel fâche l'autre cette fois?Ou est-ce à dire que vous êtes enfin d'accord?Le chêne et le roseau se tiennent cois l'un face à l'autre se regardent fixement.Ne connaissez-vous donc pas votre réputation?grâce au grand maître de la fable j'ai nommé Sire de La Fontaine qui de vos propos se fit l'écho?A cette évocation, roseau et chêne, de concert clamèrent leur peine"Homme de peu de foi, il est bien vraivenu s'immiscer dans notre conversation pour la répercuter, par monts et par vaux! Quel bonheur de vous entendre enfin faire usage de votre légendaire parole!Oh mais détrompez-vous l'écrivain!La même erreur point ne referonsmême pour vous assurerà la postérité une belle célébritéPoint n'en est besoin, mes bons amis juste l'heur de vos entendre me suffit.Reprenez donc où vous en étiezjuste avant mon arrivéeNous devisions mon chercomme nous en avons coutume en excellents voisins que nous sommesn'est-il pas Monsieur Roseau?Absolument, et j'allais vous dire...Que le débat est clos, c'est ce que nous avions concluL'écrivain penaud s'éloigna à ces motsIl n'aurait pas de sujet d'inspiration aujourd'hui.Cependant qu'à l'horizon, de noirs nuages apparaissaientet que le vent se levait
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Bonsoir, pouvez vous me corriger si j'ai pas fait des erreurs merci Me pasaron muchas cosas extraordinarias en mi vida, cosas agradables y otras menos pero la inmensa mayoría emanaron de un acontecimiento aparentemente insignificante, y otros muy importantes como el que voy contarle. Había olvidado. Había olvidado cuál punzó esto hacía bien de ser feliz. Hasta qué punto su hecho bien de sentirse bien, de tener la impresión de no tocar más el suelo. De sonreír sin darse cuenta de eso, de la misma risa cuando es no divertido(no raro) y de tener la mirada en otro lugar. Había olvidado. Pensaba que no reviviría más tal felicidadEn efecto un día yendo a la escuela cuando tenía trece años, pasó una cosa horrible. Mientras que atravesaba la calle, me obligué a volcar por un camión. Él(ello,ella) lo(la) había visto y el camionero no consigue frenar a tiempo esto fue terrible. Pensé voy a morir para mí la vida se había parado en trece años. Toda la gente gritaba, ellos todos creyeron que había muerto pero sí, porque era como muerto.M ' llevamos al hospital, pero no me acuerdo de nada porque era en coma .je se quedé un mes en coma entre la vida y la muerte .Il tiene allí poco de nadie al que esto llegara, pero cuando se vive esto no podemos olvidarlo. Es en toda la vida en la que se piensa en eso. Y luego debí reaprender a leer, a escribir, era como un recién nacido, una nueva partida .Un reparte(depara) que se presentaba en trece años.
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