Salut à tous aidez moi svp. - Réécrivez ce texte en remplaçant la 1ère personne du singulier par la 1ère personne du pluriel. Révisions : conjugaison (passé simple, imparfait de l’indicatif), pronoms personnels, déterminants et pronoms possessifs. Texte1:PHÈDRE – Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir1 et brûler ; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables […]. Jean Racine, Phèdre, acte I scène 3 (1677) 1. transir : être saisi de froid. -Réécrivez ce texte en remplaçant "les mêmes accusés" par le même accusé". (accords:verbe, adjectif, participe passé.. Texte2: Et je ne parle pas seulement de l’erreur judicaire absolue.[...]Je parle aussi de l’incertitude et de la contradiction des décisions rendues qui font que les mêmes accusés, condamnés à mort une première fois, dont la condamnation est cassée pour vice de forme, sont de nouveau jugés et, bien qu’il s’agisse des mêmes faits, échappent, cette fois-ci à la mort, comme si, en justice, la vie d’un homme se jouait au hasard de la plume d’un greffier. - Récrivez ce texte comme si le récit était mené par deux frères jumeaux.(imparfait, passé simple, accords, adjectif, nom composé, déterminant possissfi, pronoms personelle.. Textes3: L’événement eut trois conséquences : ma mère pleura (ce qui était rare), persuadée d’avoir mis au monde un perceur de coffres (le seul domaine où son dernier-né manifestait une indiscutable précocité), on me mit en pension, et ma vie durant je fus incapable de faucher quoi que ce soit, même quand le vol devint culturellement à la mode chez les jeunes gens de ma génération.
Responda
Bonjour tout le monde aidez moi svp. - Réécrivez ce texte en remplaçant la 1ère personne du singulier par la 1ère personne du pluriel. Révisions : conjugaison (passé simple, imparfait de l’indicatif), pronoms personnels, déterminants et pronoms possessifs. Texte1:PHÈDRE – Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir1 et brûler ; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables […]. Jean Racine, Phèdre, acte I scène 3 (1677) 1. transir : être saisi de froid. -Réécrivez ce texte en remplaçant "les mêmes accusés" par le même accusé". (accords:verbe, adjectif, participe passé.. Texte2: Et je ne parle pas seulement de l’erreur judicaire absolue.[...]Je parle aussi de l’incertitude et de la contradiction des décisions rendues qui font que les mêmes accusés, condamnés à mort une première fois, dont la condamnation est cassée pour vice de forme, sont de nouveau jugés et, bien qu’il s’agisse des mêmes faits, échappent, cette fois-ci à la mort, comme si, en justice, la vie d’un homme se jouait au hasard de la plume d’un greffier. - Récrivez ce texte comme si le récit était mené par deux frères jumeaux.(imparfait, passé simple, accords, adjectif, nom composé, déterminant possissfi, pronoms personelle.. Textes3: L’événement eut trois conséquences : ma mère pleura (ce qui était rare), persuadée d’avoir mis au monde un perceur de coffres (le seul domaine où son dernier-né manifestait une indiscutable précocité), on me mit en pension, et ma vie durant je fus incapable de faucher quoi que ce soit, même quand le vol devint culturellement à la mode chez les jeunes gens de ma génération.
Responda
Bonjour à tous aidez moi svp. - Réécrivez ce texte en remplaçant la 1ère personne du singulier par la 1ère personne du pluriel. Révisions : conjugaison (passé simple, imparfait de l’indicatif), pronoms personnels, déterminants et pronoms possessifs. Texte1:PHÈDRE – Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir1 et brûler ; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables […]. Jean Racine, Phèdre, acte I scène 3 (1677) 1. transir : être saisi de froid. -Réécrivez ce texte en remplaçant "les mêmes accusés" par le même accusé". (accords:verbe, adjectif, participe passé.. Texte2: Et je ne parle pas seulement de l’erreur judicaire absolue.[...]Je parle aussi de l’incertitude et de la contradiction des décisions rendues qui font que les mêmes accusés, condamnés à mort une première fois, dont la condamnation est cassée pour vice de forme, sont de nouveau jugés et, bien qu’il s’agisse des mêmes faits, échappent, cette fois-ci à la mort, comme si, en justice, la vie d’un homme se jouait au hasard de la plume d’un greffier. - Récrivez ce texte comme si le récit était mené par deux frères jumeaux.(imparfait, passé simple, accords, adjectif, nom composé, déterminant possissfi, pronoms personelle.. Textes3: L’événement eut trois conséquences : ma mère pleura (ce qui était rare), persuadée d’avoir mis au monde un perceur de coffres (le seul domaine où son dernier-né manifestait une indiscutable précocité), on me mit en pension, et ma vie durant je fus incapable de faucher quoi que ce soit, même quand le vol devint culturellement à la mode chez les jeunes gens de ma génération.
Responda
​bonjour à tous vous pouvez m'aider svp? Le poème: « Le serpent qui danse » de Charles Baudelaire, extrait des Fleurs du mal (1857). Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! 5 Sur ta chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille 10 Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux où rien ne se révèle De doux ni d'amer, 15 Sont deux bijoux froids où se mêlent L’or avec le fer. A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui danse 20 Au bout d'un bâton. Sous le fardeau de ta paresse Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse D’un jeune éléphant, 25 Et ton corps se penche et s'allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge Ses vergues dans l'eau. Comme un flot grossi par la fonte 30 Des glaciers grondants, Quand l'eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents, Je crois boire un vin de bohême, Amer et vainqueur, 35 Un ciel liquide qui parsème D’étoiles mon cœur ! Q1. Que signifie « faire l’éloge de quelqu’un » ? Note la définition. ​Q2. Essaie, en quelques phrases et avec tes propres mots, d’expliquer de quoi parle le poème. Prends ensuite le poème sous tes yeux et lis-le une ou deux fois. Complète ou corrige ta réponse (sans l’effacer). ​​ Q3.​ Montre que le poète fait l’éloge d’une femme grâce à du vocabulaire mélioratif et des figures de style. (Tu citeras le texte et tu donneras le nom des figures de style que tu reconnaitras). ​
Responda

Helpful Social

Copyright © 2024 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.