Coucou!!!! URGENT!!!!! SVP!!!!D'après cet extrait : - Quel est le problème de Madame Le Vasseur? - Quels sont les deux objectifs - un objectif officiel (ce qu'il demande ou propose au comte) et un objectif officieux (le message réel qu'il veut passer, ce qu'il pense vraiement) - de Rousseau quand il écrit cette lettre?Rousseau écrit à un noble, le comte de Lastic, pour lui signaler une injustice dont a été victime une femme du peuple, madame Le Vasseur. Il semblerait que, de fait, une amie ait dissuadé Rousseau d'envoyer cette lettre. Il est intéressant de savoir que, au cours de cette même année 1755, Rousseau a publié le Discours sur l'inégalité. À Monsieur le comte de Lastic Paris, le 29 décembre 1755ans avoir, l’honneur, monsieur, d’être connu de vous, j’espère qu’ayant à vous offrir des excuses et de l’argent, ma lettre ne saurait être mal reçue.J’apprends que Mademoiselle de Cléry a envoyé de Blois un panier à une bonne vieille femme, nommée madame Le Vasseur, et si pauvre qu’elle demeure chez moi ; que ce panier contenait, entre autres choses, un pot de vingt livres de beurre ; que le tout est parvenu, je ne sais comment, dans votre cuisine ; que la bonne vieille, l’ayant appris, a eu la simplicité de vous envoyer sa fille, avec la lettre d’avis, vous redemander son beurre, ou le prix qu’il a coûté ; et qu’après vous être moqué d’elle, selon l’usage, vous et madame votre épouse, vous avez, pour toute réponse, ordonné à vos gens (1) de la chasser.J’ai tâché de consoler la bonne femme affligée, en lui expliquant les règles du grand monde et de la grande éducation ; je lui ai prouvé que ce ne serait pas la peine d’avoir des gens, s’ils ne servaient à chasser le pauvre quand il vient réclamer son bien ; et, en lui montrant combien justice et humanité sont des mots roturiers (2), je lui ai fait comprendre, à la fin, qu’elle est trop honorée qu’un comte ait mangé son beurre. Elle me charge donc, monsieur, de vous témoigner sa reconnaissance de l’honneur que vous lui avez fait, son regret de l’importunité (3) qu’elle vous a causée, et le désir qu’elle aurait que son beurre vous eût paru bon.Que si, par hasard, il vous en a coûté quelque chose pour le port du paquet à elle adressée, elle offre de vous le rembourser, comme il est juste. Je n’attends là-dessus que vos ordres pour exécuter ses intentions, et vous supplie d’agréer les sentiments avec lesquels j’ai l’honneur d’être, etc.Jean-Jacques Rousseau, Correspondance, lettre 349Notes :1 - Vos gens : vos domestiques.2 - Roturiers : qui ne sont pas nobles.3 - L’importunité : le désagrément, le dérangement, le déplaisir.
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Coucou!!!! URGENT!!!!! SVP!!!!D'après cet extrait : - selon vous, pourquoi Madame Le Vasseur n'écrit pas elle-même? - Quel est son problème?Rousseau écrit à un noble, le comte de Lastic, pour lui signaler une injustice dont a été victime une femme du peuple, madame Le Vasseur. Il semblerait que, de fait, une amie ait dissuadé Rousseau d'envoyer cette lettre. Il est intéressant de savoir que, au cours de cette même année 1755, Rousseau a publié le Discours sur l'inégalité. À Monsieur le comte de Lastic Paris, le 29 décembre 1755ans avoir, l’honneur, monsieur, d’être connu de vous, j’espère qu’ayant à vous offrir des excuses et de l’argent, ma lettre ne saurait être mal reçue.J’apprends que Mademoiselle de Cléry a envoyé de Blois un panier à une bonne vieille femme, nommée madame Le Vasseur, et si pauvre qu’elle demeure chez moi ; que ce panier contenait, entre autres choses, un pot de vingt livres de beurre ; que le tout est parvenu, je ne sais comment, dans votre cuisine ; que la bonne vieille, l’ayant appris, a eu la simplicité de vous envoyer sa fille, avec la lettre d’avis, vous redemander son beurre, ou le prix qu’il a coûté ; et qu’après vous être moqué d’elle, selon l’usage, vous et madame votre épouse, vous avez, pour toute réponse, ordonné à vos gens (1) de la chasser.J’ai tâché de consoler la bonne femme affligée, en lui expliquant les règles du grand monde et de la grande éducation ; je lui ai prouvé que ce ne serait pas la peine d’avoir des gens, s’ils ne servaient à chasser le pauvre quand il vient réclamer son bien ; et, en lui montrant combien justice et humanité sont des mots roturiers (2), je lui ai fait comprendre, à la fin, qu’elle est trop honorée qu’un comte ait mangé son beurre. Elle me charge donc, monsieur, de vous témoigner sa reconnaissance de l’honneur que vous lui avez fait, son regret de l’importunité (3) qu’elle vous a causée, et le désir qu’elle aurait que son beurre vous eût paru bon.Que si, par hasard, il vous en a coûté quelque chose pour le port du paquet à elle adressée, elle offre de vous le rembourser, comme il est juste. Je n’attends là-dessus que vos ordres pour exécuter ses intentions, et vous supplie d’agréer les sentiments avec lesquels j’ai l’honneur d’être, etc.Jean-Jacques Rousseau, Correspondance, lettre 349Notes :1 - Vos gens : vos domestiques.2 - Roturiers : qui ne sont pas nobles.3 - L’importunité : le désagrément, le dérangement, le déplaisir.
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Je dois faire une lettre qui doit faire 20 lignes. Pouvez-vous me donnez des idées!!!! Vite!!! SVP!!! Merciii!!!!!Je dois m'inspirer du texte ci dessous. A COULANGES A Paris, ce lundi 15 décembre [1670]. Je m'en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plustriomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe, la plus singulière, la plus extraordinaire, la plus incroyable, la plusimprévue, la plus grande, la plus petite, la plus rare, la plus commune, la plus éclatante, la plus secrète jusqu'aujourd'hui, laplus brillante, la plus digne d'envie : enfin une chose dont on ne trouve qu'un exemple dans les siècles passés, encore cetexemple n'est-il pas juste; une chose que l'on ne peut pas croire à Paris (comment la pourrait-on croire à Lyon ?) ; une chosequi fait crier miséricorde à tout le monde; une chose qui comble de joie Mme de Rohan et Mme d'Hauterive ; une chose enfinqui se fera dimanche, où ceux qui la verront croiront avoir la berlue; une chose qui se fera dimanche, et qui ne sera peut-êtrepas faite lundi. Je ne puis me résoudre à la dire; devinez-la : je vous la donne en trois. Jetez-vous votre langue aux chiens ? Ehbien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui ? Je vous le donne en quatre, je vousle donne en dix; je vous le donne en cent. Mme de Coulanges dit : Voilà qui est bien difficile à deviner; c'est Mme de laVallière. — Point du tout, Madame. —C'est donc Mlle de Retz ? — Point du tout, vous êtes bien provinciale. — Vraimentnous sommes bien bêtes, dites-vous, c'est Mlle Colbert ? — Encore moins. —C'est assurément Mlle de Créquy ? — Vous n'yêtes pas. Il faut donc à la fin vous le dire : il épouse, dimanche, au Louvre, avec la permission du Roi, Mademoiselle,Mademoiselle de... Mademoiselle... devinez le nom : il épouse Mademoiselle, ma foi! par ma foi! ma foi jurée!Mademoiselle, la grande Mademoiselle; Mademoiselle, fille de feu Monsieur; Mademoiselle, petite-fille de Henri IV
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S'agit-il d'une lettre est fictive (inventée) ou d'une lettre qui a réellement été envoyée et reçue? Justifier pourquoi. Toute aide unitile sera signalée!!!!!! urgent!!!!! SVP!!!Le roman Les Faux~Monnayeurscommence au moment où Bernard Profitendieu, âgé de dix-sept ans, découvre qu'il est un enfant naturelet que le juge Profitendieu n’est pas son père. Il décide alors de quitter le domicile familial, en laissant la lettre suivanteMonsieur,J'ai compris, à la suite de certaine découverte que j'ai faite par hasard cet après-midi, que je dois cesser de vous considérer comme mon père, et c'est pour moi un immense soulagement. En me sentant si peu d'amour pour vous, j'ai longtemps cru que j'étais un fils dénaturé ; je préfère savoir que je ne suis pas votre fils du tout. Peut-être estimez-vous que je vous dois la reconnaissance pour avoir été traité par vous comme un de vos enfants ; mais d'abord j'ai toujours senti entre eux et moi votre différence d'égards, et puis tout ce que vous en avez fait, je vous connais assez pour savoir que c'était par horreur du scandale, pour cacher une situation qui ne vous faisait pas beaucoup honneur - et enfin parce que vous ne pouviez faire autrement. Je préfère partir sans revoir ma mère, parce que je craindrais, en lui faisant mes adieux définitifs, de m'attendrir et aussi parce que devant moi, elle pourrait se sentir dans une fausse situation - ce qui me serait désagréable. Je doute que son affection pour moi soit bien vive ; comme j'étais le plus souvent en pension, elle n'a guère eu le temps de me connaître, et comme ma vue lui rappelait sans cesse quelque chose de sa vie qu'elle aurait voulu effacer, je pense qu'elle me verra partir avec soulagement et plaisir. Dites-lui, si vous en avez le courage, que je ne lui en veux pas de m'avoir fait bâtard ; qu'au contraire, je préfère ça à savoir que je suis né de vous. (Excusez-moi de parler ainsi ; mon intention n'est pas de vous écrire des insultes ; mais ce que j'en dis va vous permettre de me mépriser, et cela vous soulagera.) “ Si vous désirez que je garde le silence sur les secrètes raisons qui m'ont fait quitter votre foyer, je vous prie de ne point chercher à m'y faire revenir. La décision que je prends de vous quitter est irrévocable. Je ne sais ce qu'a pu vous coûter mon entretien jusqu'à ce jour ; je pouvais accepter de vivre à vos dépens tant que j'étais dans l'ignorance, mais il va sans dire que je préfère ne rien recevoir de vous à l'avenir. L’idée de vous devoir quoi que ce soit m'est intolérable et je crois que, si c'était à recommencer, je préférerais mourir de faim plutôt que de m'asseoir à votre table. Heureusement il me semble me souvenir d'avoir entendu dire que ma mère, quand elle vous a épousé, était plus riche que vous. Je suis donc libre de penser que je n'ai vécu qu’à sa charge. Je la remercie, la tiens quitte de tout le reste, et lui demande de m'oublier. Vous trouverez bien un moyen d'expliquer mon départ auprès de ceux qui pourraient s'en étonner. Je vous permets de me charger (mais je sais bien que vous n'attendrez pas ma permission pour le faire).Je signe du ridicule nom qu’est le vôtre, que je voudrais pouvoir vous rendre, et qu'il me tarde de déshonorer. Bernard Profitendieu.P-S. : Je laisse chez vous toutes mes affaires qui pourront servir à Caloub plus légitimement, je l'espère pour vous.André Gide, Les Faux~Monnayeurs (1925)
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URGGGEEENTTT!!!!!!!!!!! SVP!!!!SVP!!!!SVP!!! Il faut imaginer une lettre que le juge Profitendieu pourrait écrire à Bernard en réponse à la sienne en une dizaine de lignes. Inventez le lieu et le moment où il l'aurait écrite. Donnez-moi juste des idées!!!!!!!!! SVP!!!!!!Le roman Les Faux~Monnayeurscommence au moment où Bernard Profitendieu, âgé de dix-sept ans, découvre qu'il est un enfant naturelet que le juge Profitendieu n’est pas son père. Il décide alors de quitter le domicile familial, en laissant la lettre suivanteMonsieur,J'ai compris, à la suite de certaine découverte que j'ai faite par hasard cet après-midi, que je dois cesser de vous considérer comme mon père, et c'est pour moi un immense soulagement. En me sentant si peu d'amour pour vous, j'ai longtemps cru que j'étais un fils dénaturé ; je préfère savoir que je ne suis pas votre fils du tout. Peut-être estimez-vous que je vous dois la reconnaissance pour avoir été traité par vous comme un de vos enfants ; mais d'abord j'ai toujours senti entre eux et moi votre différence d'égards, et puis tout ce que vous en avez fait, je vous connais assez pour savoir que c'était par horreur du scandale, pour cacher une situation qui ne vous faisait pas beaucoup honneur - et enfin parce que vous ne pouviez faire autrement. Je préfère partir sans revoir ma mère, parce que je craindrais, en lui faisant mes adieux définitifs, de m'attendrir et aussi parce que devant moi, elle pourrait se sentir dans une fausse situation - ce qui me serait désagréable. Je doute que son affection pour moi soit bien vive ; comme j'étais le plus souvent en pension, elle n'a guère eu le temps de me connaître, et comme ma vue lui rappelait sans cesse quelque chose de sa vie qu'elle aurait voulu effacer, je pense qu'elle me verra partir avec soulagement et plaisir. Dites-lui, si vous en avez le courage, que je ne lui en veux pas de m'avoir fait bâtard ; qu'au contraire, je préfère ça à savoir que je suis né de vous. (Excusez-moi de parler ainsi ; mon intention n'est pas de vous écrire des insultes ; mais ce que j'en dis va vous permettre de me mépriser, et cela vous soulagera.) “ Si vous désirez que je garde le silence sur les secrètes raisons qui m'ont fait quitter votre foyer, je vous prie de ne point chercher à m'y faire revenir. La décision que je prends de vous quitter est irrévocable. Je ne sais ce qu'a pu vous coûter mon entretien jusqu'à ce jour ; je pouvais accepter de vivre à vos dépens tant que j'étais dans l'ignorance, mais il va sans dire que je préfère ne rien recevoir de vous à l'avenir. L’idée de vous devoir quoi que ce soit m'est intolérable et je crois que, si c'était à recommencer, je préférerais mourir de faim plutôt que de m'asseoir à votre table. Heureusement il me semble me souvenir d'avoir entendu dire que ma mère, quand elle vous a épousé, était plus riche que vous. Je suis donc libre de penser que je n'ai vécu qu’à sa charge. Je la remercie, la tiens quitte de tout le reste, et lui demande de m'oublier. Vous trouverez bien un moyen d'expliquer mon départ auprès de ceux qui pourraient s'en étonner. Je vous permets de me charger (mais je sais bien que vous n'attendrez pas ma permission pour le faire).Je signe du ridicule nom qu’est le vôtre, que je voudrais pouvoir vous rendre, et qu'il me tarde de déshonorer.Bernard Profitendieu.P-S. : Je laisse chez vous toutes mes affaires qui pourront servir à Caloub plus légitimement, je l'espère pour vous.
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Coucou, URGENT!!!!!!!, Merci d'avance:alors donnez la fonction des 10 groupes de mots soulignés : J’ai compris à la suite de certaine découverte que j’ai faite par hasard cet après-midi, que je dois cesser de vous considérer comme mon père, et c’est pour moi un immense soulagement. en me sentant si peu d’amour pour vous, j’ai longtemps cruque j’étais un fils dénaturé ; je préfère savoir que je ne suis pas votre fils du tout. [...] je vous connais assez pour savoir que c’était par horreur du scandale, pour cacher une situation qui ne vous faisait pas beaucoup honneur - et enfin parce que vous ne pouviez faire autrement. Je préfère partir sans revoir ma mère, parce que je craindrais, en lui faisant mes adieux définitifs, de m’attendrir et aussi parce que devant moi, elle pourrait se sentir dans une fausse situation - ce qui me serait désagréable. [...] elle n’a guère eu le temps de me connaître [...] je pense qu'elle me verra partir avec soulagement et plaisir. Dites-lui, si vous en avez le courage, que je ne lui en veux pas de m’avoir fait bâtard ; qu’au contraire, je préfère ça à savoir que je suis né de vous. (Excusez-moi de parler ainsi ; mon intention n’est pas de vous écrire des insultes ; mais ce que j’en dis va vous permettre de me mépriser, et cela vous soulagera.) [...]Je signe du ridicule nom qui est le vôtre, que je voudrais pouvoir vous rendre, et qu’il me tarde de déshonorer.[...]Sachant que comme fonction je connais : - Sujet du verbe (IL FAUT PRESICER LEQUEL) - COD du verbe(IL FAUT PRESICER LEQUEL) - COI du verbe(IL FAUT PRESICER LEQUEL ) - Complément Circonstanciels de lieu, de temps, de manière, de moyen, de cause, de but, d'accompagnement et de condition.
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Coucou, URGENT!!!!!!!, Merci d'avance: Ca fait au moins 5 FOIS QUE JE POSTE CE DEVOIR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! alors donnez la fonction des 10 groupes de mots soulignés : J’ai compris à la suite de certaine découverte que j’ai faite par hasard cet après-midi, que je dois cesser de vous considérer comme mon père, et c’est pour moi un immense soulagement. en me sentant si peu d’amour pour vous, j’ai longtemps cruque j’étais un fils dénaturé ; je préfère savoir que je ne suis pas votre fils du tout. [...] je vous connais assez pour savoir que c’était par horreur du scandale, pour cacher une situation qui ne vous faisait pas beaucoup honneur - et enfin parce que vous ne pouviez faire autrement. Je préfère partir sans revoir ma mère, parce que je craindrais, en lui faisant mes adieux définitifs, de m’attendrir et aussi parce que devant moi, elle pourrait se sentir dans une fausse situation - ce qui me serait désagréable. [...] elle n’a guère eu le temps de me connaître [...] je pense qu'elle me verra partir avec soulagement et plaisir. Dites-lui, si vous en avez le courage, que je ne lui en veux pas de m’avoir fait bâtard ; qu’au contraire, je préfère ça à savoir que je suis né de vous. (Excusez-moi de parler ainsi ; mon intention n’est pas de vous écrire des insultes ; mais ce que j’en dis va vous permettre de me mépriser, et cela vous soulagera.) [...]Je signe du ridicule nom qui est le vôtre, que je voudrais pouvoir vous rendre, et qu’il me tarde de déshonorer.[...]Sachant que comme fonction je connais : - Sujet du verbe - COD du verbe - COI du verbe - Complément Circonstanciels de lieu, de temps, de manière, de moyen, de cause, de but, d'accompagnement et de condition.
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Coucou, URGENT!!!!!!!, Merci d'avance:alors donnez la fonction des 10 groupes de mots soulignés : J’ai compris à la suite de certaine découverte que j’ai faite par hasard cet après-midi, que je dois cesser de vous considérer comme mon père, et c’est pour moi un immense soulagement. en me sentant si peu d’amour pour vous, j’ai longtemps cruque j’étais un fils dénaturé ; je préfère savoir que je ne suis pas votre fils du tout. [...] je vous connais assez pour savoir que c’était par horreur du scandale, pour cacher une situation qui ne vous faisait pas beaucoup honneur - et enfin parce que vous ne pouviez faire autrement. Je préfère partir sans revoir ma mère, parce que je craindrais, en lui faisant mes adieux définitifs, de m’attendrir et aussi parce que devant moi, elle pourrait se sentir dans une fausse situation - ce qui me serait désagréable. [...] elle n’a guère eu le temps de me connaître [...] je pense qu'elle me verra partir avec soulagement et plaisir. Dites-lui, si vous en avez le courage, que je ne lui en veux pas de m’avoir fait bâtard ; qu’au contraire, je préfère ça à savoir que je suis né de vous. (Excusez-moi de parler ainsi ; mon intention n’est pas de vous écrire des insultes ; mais ce que j’en dis va vous permettre de me mépriser, et cela vous soulagera.) [...]Je signe du ridicule nom qui est le vôtre, que je voudrais pouvoir vous rendre, et qu’il me tarde de déshonorer.[...]Sachant que comme fonction je connais : - Sujet du verbe - COD du verbe - COI du verbe - Complément Circonstanciels de lieu, de temps, de manière, de moyen, de cause, de but, d'accompagnement et de condition.
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