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Nolan08200
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Nolan08200
April 2021 | 0 Respostas
J'ai besoin de vous merci Aux côtés du forgeron d'Emile ZolaJ’ai vu, par ce soir d’automne, le Forgeron pour la première fois. Il forgeait le soc d’une charrue. La chemise ouverte, montrant sa rude poitrine, où les côtes, à chaque souffle, marquaient leur carcasse de métal éprouvé, il se renversait, prenait un élan, abattait le marteau. Et cela, sans un arrêt, avec un balancement souple et continu du corps, avec une poussée implacable des muscles. Le marteau tournait dans un cercle régulier, emportant des étincelles, laissant derrière lui un éclair. C’était « la Demoiselle », à laquelle le Forgeron donnait ainsi le branle, à deux mains ; tandis que son fils, un gaillard de vingt ans, tenait le fer enflammé au bout de la pince, et tapait de son côté, tapait des coups sourds qu’étouffait la danse éclatante de la terrible fillette du vieux. Toc, toc, – toc, toc, on eût dit la voix grave d’une mère encourageant les premiers bégayements d’un enfant. « La Demoiselle » valsait toujours, en secouant les paillettes de sa robe, en laissant ses talons marqués dans le soc qu’elle façonnait, chaque fois qu’elle rebondissait sur l’enclume. Une flamme saignante coulait jusqu’à terre, éclairant les arêtes saillantes des deux ouvriers, dont les grandes ombres s’allongeaient dans les coins sombres et confus de la forge. Peu à peu, l’incendie pâlit, le Forgeron s’arrêta. Il resta noir, debout, appuyé sur le manche du marteau, avec une sueur au front qu’il n’essuyait même pas. J’entendais le souffle de ses côtes encore ébranlées, dans le grondement du soufflet que son fils tirait, d’une main lente.3) À votre tour, rédigez une image poétique permettant de décrire la forge ou l’atelier de l’ébéniste/du menuisier.
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Nolan08200
April 2021 | 0 Respostas
J'ai besoin de vous merci Aux côtés du forgeron d'Emile Zola J’ai vu, par ce soir d’automne, le Forgeron pour la première fois. Il forgeait le soc d’une charrue. La chemise ouverte, montrant sa rude poitrine, où les côtes, à chaque souffle, marquaient leur carcasse de métal éprouvé, il se renversait, prenait un élan, abattait le marteau. Et cela, sans un arrêt, avec un balancement souple et continu du corps, avec une poussée implacable des muscles. Le marteau tournait dans un cercle régulier, emportant des étincelles, laissant derrière lui un éclair. C’était « la Demoiselle », à laquelle le Forgeron donnait ainsi le branle, à deux mains ; tandis que son fils, un gaillard de vingt ans, tenait le fer enflammé au bout de la pince, et tapait de son côté, tapait des coups sourds qu’étouffait la danse éclatante de la terrible fillette du vieux. Toc, toc, – toc, toc, on eût dit la voix grave d’une mère encourageant les premiers bégayements d’un enfant. « La Demoiselle » valsait toujours, en secouant les paillettes de sa robe, en laissant ses talons marqués dans le soc qu’elle façonnait, chaque fois qu’elle rebondissait sur l’enclume. Une flamme saignante coulait jusqu’à terre, éclairant les arêtes saillantes des deux ouvriers, dont les grandes ombres s’allongeaient dans les coins sombres et confus de la forge. Peu à peu, l’incendie pâlit, le Forgeron s’arrêta. Il resta noir, debout, appuyé sur le manche du marteau, avec une sueur au front qu’il n’essuyait même pas. J’entendais le souffle de ses côtes encore ébranlées, dans le grondement du soufflet que son fils tirait, d’une main lente. Des personnages surhumains 1) Quel lien le Forgeron entretient-il avec son outil de travail ? À quoi le compare-t-il ? 2) D’après ce texte, quelles compétences physiques faut-il pour être forgeron ? 3) Qu’est-ce qui se dégage de cet homme ? À qui peut-on le comparer ? Un lieu fascinant 1) Repérez le passage qui décrit la forge. Quelle image avez-vous de ce lieu ? 2) Ce texte comporte de nombreuses images : comparaison – personnification – métaphore. Relevez-en deux et expliquez-les. Comparaison : Une comparaison est une figure de style consistant en la mise en relation, à l’aide d’un mot de comparaison appelé le « comparatif », de deux réalités, choses, personnes etc. différentes mais partageant des similarités. Exemple : “Le monocle du général, resté entre ses paupières, comme un éclat d’obus dans sa figure vulgaire” – Marcel Proust, Du côté de chez Swann. La personnification : La personnification consiste à donner des traits propres aux êtres humains comme la parole, la pensée à des animaux ou à des objets inanimés. Exemple : “Le soleil aussi attendait Chloé, mais lui pouvait s’amuser à faire des ombres.” – Boris Vian, L’Écume des jours. Métaphore : Une métaphore est une figure de style qui consiste à désigner une idée ou une chose en employant un autre mot que celui qui conviendrait. Ce mot est lié à la chose que l’on veut désigner par un rapport de ressemblance. Exemple : « L’or du soir » – Victor Hugo, « Demain, dès l’aube », Les Contemplations. RÉPONSE : 3) À votre tour, rédigez une image poétique permettant de décrire la forge ou l’atelier de l’ébéniste/du menuisier.
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Nolan08200
December 2020 | 1 Respostas
Bonjour je ne comprends mon exercice de maths pouvez vous m'aider à le faire c'est sur la rotation et translation merci
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Nolan08200
December 2020 | 1 Respostas
bonjour j'ai besoin d'aide en anglais pour le your task en pièce jointe merci à ceux qui pourront m'aider.
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Nolan08200
December 2020 | 1 Respostas
aidez moi svp en anglais
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Nolan08200
December 2020 | 1 Respostas
Bonjour j'ai besoin d'aide je suis vraiment nul. Merci de votre aide m.Conjuga los verbos al pasado Erase una vez un chico que (tener) diez años (vivir) en un pueblo donde toda la gente (ser) vieja. A menudo (sentirse) solo y (imaginarse) que en su casa (haber) un amigo.Un día mientras (estar) en su habitación (percibir) un ruido que (venir) del armario. (Quedarse) silencioso sin mover esperando, de repente el ruido (manifestarse) de nuevo. Entonces el chico (comprender) que su deseo de tener un amigo se había realizado y (decidir) abrir el armario para descubrir a este famoso amigo pero no (ver) nada. (Buscar) en la habitación, (mirar) debajo de la cama pero nada.(Estar) muy triste cuando de repente algo le (acariciar) la pierna (ser) un gatito blanco que de inmediato (volverse) su amigo.
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