Bonjour Pouvez-vous m'aidez pour se devoir d'espagnol , Merci d'avance :) Lee las afirmaciones y di si son verdaderas o falsas. Corrige si es falso. (Lis les affirmations et dis si elles sont vraies ou fausses. En cas d’erreur, corrige.) Era lunes y día de mercado. Pasábamos cerca de la estación cuando oímos una explosión de una bomba, a la que siguieron inmediatamente otras dos. Un avión que volaba muy bajo lanzó su carga y se alejó en unos instantes. Era la primera experiencia de guerra de Guernica. El pánico de los primeros momentos conmovió a la población y a los aldeanos llegados al mercado semanal. Notamos un excitado alboroto [...]. Muy pronto asomaron como viniendo del mar, ocho aparatos pesados que lanzaron numerosas bombas, y tras ellos se siguió una verdadera lluvia de bombas incendiarias. Durante más de tres horas se sucedieron oleadas de bombarderos, de aviones con bombas incendiarias y de aparatos sueltos que bajaron unos 200 metros de altura para ametrallar a las pobres gentes que huían [...] El padre Onaindía a) El bombardeo de Guernica tuvo lugar un fin de semana.  Verdadero  Falso ………………………………………………………………………………………….……………………………………………. b) Explotaron sólo tres bombas.  Verdadero  Falso ………………………………………………………………………………………….……………………………………………. c) Según el testimonio, aparte de las bombas, desde los aviones también ametrallaron a los ciudadanos que intentaban escapar.  Verdadero  Falso ………………………………………………………………………………………….……………………………………………. d) Fue un ataque aéreo.  Verdadero  Falso ………………………………………………………………………………………….…………………………………………….
Responda
Bonjour pouvez vous m'aider pour cette question merci d'avance....;)La rue du 10-Décembre, toute neuve, avec ses maisons d’une blancheur de craie et lesderniers échafaudages des quelques bâtisses attardées, s’allongeait sous un limpide soleil defévrier ; un flot de voitures passait, d’un large train de conquête, au milieu de cette trouéede lumière qui coupait l’ombre humide du vieux quartier Saint-Roch ; et, entre la rue de laMichodière et la rue de Choiseul, il y avait une émeute, l’écrasement d’une foule chaufféepar un mois de réclame, les yeux en l’air, bayant1 devant la façade monumentale du Bonheurdes Dames, dont l’inauguration avait lieu ce lundi-là, à l’occasion de la grande exposition deblanc2. […]Vers deux heures, un piquet d’ordre dut faire circuler la foule et veiller au stationnementdes voitures. Le palais était construit, le temple élevé à la folie dépensière de la mode. Ildominait, il couvrait un quartier de son ombre. Déjà, la plaie, laissée à son flanc par ladémolition de la masure de Bourras, se trouvait si bien cicatrisée, qu’on aurait vainementcherché la place de cette verrue ancienne ; les quatre façades filaient le long des quatre rues,sans une lacune, dans leur isolement superbe. Sur l’autre trottoir, depuis l’entrée de Baududans une maison de retraite, le Vieil Elbeuf était fermé, muré ainsi qu’une tombe, derrièreles volets qu’on n’enlevait plus ; peu à peu, les roues des fiacres3 les éclaboussaient, desaffiches les noyaient, les collaient ensemble, flot montant de la publicité, qui semblait ladernière pelletée de terre jetée sur le vieux commerce ; et, au milieu de cette devanture4morte, salie des crachats de la rue, bariolée5 des guenilles6 du vacarme parisien, s’étalait,comme un drapeau planté sur un empire conquis, une immense affiche jaune, toute fraîche,annonçant en lettres de deux pieds la grande mise en vente du Bonheur des Dames. On eût ditque le colosse, après ses agrandissements successifs, pris de honte et de répugnance pour lequartier noir, où il était né modestement, et qu’il avait plus tard égorgé, venait de lui tournerle dos, laissant la boue des rues étroites sur ses derrières, présentant sa face de parvenu7 àla voie tapageuse et ensoleillée du nouveau Paris. Maintenant, tel que le montrait la gravuredes réclames, il s’était engraissé, pareil à l’ogre des contes, dont les épaules menacent defaire craquer les nuages. D’abord, au premier plan de cette gravure, la rue du 10-Décembre,les rues de la Michodière et Monsigny, emplies de petites figures noires, s’élargissaientdémesurément, comme pour donner passage à la clientèle du monde entier. Puis, c’étaitles bâtiments eux-mêmes, d’une immensité exagérée, vus à vol d’oiseau avec leurs corpsde toitures qui dessinaient les galeries couvertes, leurs cours vitrées où l’on devinait leshalls, tout l’infini de ce lac de verre et de zinc luisant au soleil. Au-delà, Paris s’étendait,mais un Paris rapetissé, mangé par le monstre : les maisons, d’une humilité8 de chaumièresdans le voisinage, s’éparpillaient ensuite en une poussière de cheminées indistinctes ; lesmonuments semblaient fondre, à gauche deux traits pour Notre-Dame9, à droite un accentcirconflexe pour les Invalides10, au fond le Panthéon11, honteux et perdu, moins gros qu’unelentille. L’horizon tombait en poudre, n’était plus qu’un cadre dédaigné, jusqu’aux hauteursde Châtillon, jusqu’à la vaste campagne, dont les lointains noyés indiquaient l’esclavage.1-Dans le deuxième paragraphe, recopie entre guillemets quatre métaphores et une comparaison employées pour caractériser le « Bonheur des Dames »
Responda

Helpful Social

Copyright © 2024 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.