@alagrolleau

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Bonjour, j'aurais besoin d'aide pour une question de français : Dans cet extrait de Bel-Ami, relevez les champs lexicaux de la vérité et du mensonge ou de la dissimulation. qu'en déduisez-vous sur le traitement de l'information par La Vie Française ? "M. Walter qui l'appréciait cependant, avait souvent désiré un autre homme pour lui confier les Echos, qui sont, disait-il la moelle du journal. C'est par ceux qu'on lance les nouvelles, qu'on fait courir les bruits, qu'on agit sur le public et sur la rente. Entre deux soirées mondaines, il faut savoir glisser, sans avoir l'air de rien, la chose importante, plutôt insinuée que dite. Il faut, par des sous-entendus laisser deviner ce qu'on veut démentir de telle sorte que la rumeur s'affirme, ou affirmer de telle manière que personne ne croie au fait annoncé. Il faut que, dans les échos, chacun trouve, chaque jour, une ligne au moins qui l'intéresse, afin que tout le monde les lise. Il faut penser à tout et tous, à tous les mondes, à toutes les professions, à Paris et à la Province, à l'Armée et aux peintres, aux Clergé et à l'Université, aux magistrats et aux courtisanes. L'homme qui les dirige et qui commande au bataillon des reporters doit être toujours en éveil, et toujours en garde, méfiant, prévoyant, rusé, alerte et souple, armé de toutes les astuces et doué d'un flair infaillible pour découvrir la nouvelle fausse du premier coup d'œil, pour juger ce qui est bon à dire et bon à celer, pour deviner ce qui portera sur le public; et il doit savoir le présenter de telle façon que l'effet en soit multiplié" Merci par avance et bon courage
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Bonjour à tous. J'espère que vous allez bien. J'aurais besoin d'aide pour réaliser un chapeau (un texte de 2 ou 3 phrases) pour présenter ce sonnet de Louis Aragon. "Ici repose un cœur en tout pareil au tempsQui meurt à chaque instant de l'instant qui commenceEt qui se consumant de sa propre romanceNe se tait que pour mieux entendre qu'il attendRien n'a pu l'apaiser jamais ce coeur battantQui n'a connu du ciel qu'une longue apparenceEt qui n'aura vécu sur la terre de FranceQue juste assez pour croire au retour du printempsAvait-elle épuisé l'eau puredes souffrancesSommeil ou retrouvé ses rêves de vingt ansQu'elle s'est endormie avec indifférenceQu'elle ne m'attend plus et non plus ne m'entendLui murmurer les mots secrets de l'espéranceIci repose enfin celle que j'aimais tant"Merci par avance. Bonne fin de journée ​
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