Bonjour c'est pour aujourd'hui se sont des exercice de conjugaison conditionelle les voici Exercice 1 : Complète les formes verbales suivantes de manière à obtenir un texte correct. Si j’étais enquêteur, en écoutant les témoins, j’appren……… des faits intéressants. Je choisi…… d’abord de me rendre sur les lieux du vol. J’y décèle…… peut-être des indices nouveaux. Je ser…… le meilleur détective de la terre ; aucune énigme ne me résiste………… ; on me confie……. les affaires les plus difficiles.  A quel temps et à quel mode sont conjugués les verbes ci-dessus ? Exercice 2 : Surligne les verbes au conditionnel. 1. On aurait aperçu un chien sur les lieux de l’accident. 2. Si l’automobiliste avait freiné plus tôt, il aurait évité le platane. 3. Tu serais le capitaine Cook, tu découvrirais une île paradisiaque, tu ferais rêver les lecteurs grâce à ton récit. 4. Auriez-vous l’obligeance de me suivre ? 5. Il prétend avoir gagné. Je voudrais bien voir cela !  A quel temps sont conjugués les verbes qui ne sont pas au présent ? Exercice 7 : Qu’exprime chacun des verbes au conditionnel des phrases suivantes ? (= quelle est la valeur du conditionnel dans chacune des phrases suivantes?) Ex : Auriez-vous cinq minutes à me consacrer ? => demande polie 1. Des voisins auraient aperçu de drôles d’objets volants. => 2. S’ils avaient été mieux équipés, ils n’auraient pas rebroussé chemin avant d’arriver au sommet. => 3. Je m’en veux : j’aurais dû réagir plus tôt. => 4. Pourriez-vous avancer, s’il vous plait ? => 5. Vous feriez cela pour moi ! => 6. J’aimerais savoir faire des tours de magie. =>
Responda
Bonjour voici deux exercices a faire merci Exercice 1.Dans les phrases suivantes, souligne les expansions des noms en gras et indique leur nature et leur fonction a. Sa peau devait avoir ce beau reflet doré des Andalouses. b. Son front, plein de rides transversales, ne manquait pas de protubérances significatives. c. Il vit la petite fille de la mère Fadet, qu’on appelait dans le pays la petite Fadette. d. Son large visage, criblé de taches de rousseur, avait l’aspect d’une écumoire. Exercice 2.Augmentez de deux expansions différentes chacun des noms en caractère gras. Veillez à employer au moins une fois chacune des quatre sortes d’expansions. a. Un homme s’avance. => b. Une maison est construite près de chez moi. => c. Mon père a repassé sa chemise. => d. J’ai acheté une table. => Identifie le type et les formes de chacune des phrases suivantes 1. Ce n’est pas moi qui ai mangé la mousse au chocolat de Tante Jeanne ! 2. Le banc des témoins lui est caché par le haut pupitre du juge. 3. Il est impossible que cette mousse ait disparu ! 4. Ne croyez-vous pas qu’il serait préférable de reporter cette enquête à demain ? 5. Ne parlez pas ! 6. Il est indispensable que ce soit vous qui alliez chercher Tante Jeanne à la gare ! 7. Que faut-il que je fasse ? 8. Il doit se rappeler ce qu’il a fait hier, ce garçon ! 9. Mes chiens, je les ai élevés avec l’aide de Tante Jeanne. 10. Ils ne piquent rien sur la table, mes chiens. 11. Mais ils ne peuvent résister au gratin dauphinois de Tante Jeanne. merci beaucoup et c est pour aujourd'hui
Responda
Bonjour c'est juste un deux exercices en francais c est pour aujourd'hui les voici I. Identifiez (= soulignez et nommez) les figures d’insistance présentes dans les exemples suivants : 1. Un souffle, une ombre, un rien, tout lui faisait peur. 2. Il avale des montagnes de gâteaux. 3. Jours de lenteur Jours de pluie 4. Ils montaient graves, menaçants, terrifiants. 5. Elle versa des torrents de larmes. Application : Lis le texte suivant Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont Ceux dont un dessein ferme emplit l’âme et le front, Ceux qui d’un haut destin gravissent l’âpre cime, Ceux qui marchent pensifs, épris d’un but sublime, Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. C’est le prophète saint prosterné devant l’arche, C’est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche ; Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins, Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains. Car de son vague ennui le néant les enivre, Car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d’être en ne pensant pas. Ils s’appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule. Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule, Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non, N’a jamais de figure et n’a jamais de nom ; Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère, Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère, Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus, Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus. Ils sont les passants froids, sans but, sans nœud, sans âge ; Le bas du genre humain qui s’écroule en nuage ; Ceux qu’on ne connaît pas, ceux qu’on ne compte pas, Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas. L’ombre obscure autour d’eux se prolonge et recule ; Ils n’ont du plein midi qu’un lointain crépuscule, Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit, Ils errent près du bord sinistre de la nuit. Quoi, ne point aimer ! suivre une morne carrière, Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière ! Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l’on va ! Rire de Jupiter sans croire à Jéhova ! Regarder sans respect l’astre, la fleur, la femme ! Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l’âme ! Pour de vains résultats faire de vains efforts ! N’attendre rien d’en haut ! ciel ! oublier les morts ! Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères, Fiers, puissants, ou cachés dans d’immondes repaires, Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ; Et j’aimerais mieux être, ô fourmis des cités, Tourbe, foule, hommes faux, cœurs morts, races déchues Un arbre dans les bois qu’une âme en vos cohues ! CONSIGNES : 1. Dans ce texte, identifie un maximum de figures de style et explique l'effet qu'elles produisent. 2. Reformule avec tes propres mots ce que tu as compris de ce poème. merci beaucoup
Responda

Helpful Social

Copyright © 2024 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.