Bonjour, ce discours est-il judiciaire, délibératif ou épidictique svp et pourquoi ? Merci d'avance pour votre aide :) Certes, si je n’avais une certaine foi Que Dieu par son esprit de grâce a mise en moi, Voyant la Chrétienté n’être plus que risée, J’aurais honte d’avoir la tête baptisée, Je me repentirais d’avoir été Chrétien Et comme les premiers je deviendrais Païen. La nuit j’adorerais les rayons de la Lune, Au matin le Soleil, la lumière commune, L’œil du monde ; et si Dieu au chef porte des yeux, Les rayons du Soleil sont les siens radieux, Qui donnent vie à tous, nous maintiennent et gardent, Et les faits des humains en ce monde regardent. Je dis ce grand Soleil, qui nous fait les saisons Selon qu’il entre ou sort de ses douze maisons, Qu’il remplit l’univers de ses vertus connues, Qui d’un trait de ses yeux nous dissipe les nues, L’esprit, l’âme du monde, ardent et flamboyant, En la course d’un jour tout le ciel tournoyant, Plein d’immense grandeur, rond, vagabond et ferme, Lequel tient dessous lui tout le monde pour terme, En repos sans repos, oisif et sans séjour, Fils aîné de Nature, et le père du jour. J’adorerais Cérès, qui les blés nous apporte, Et Bacchus, qui le cœur des hommes réconforte, Neptune, le séjour des vents et des vaisseaux, Les Faunes, et les Pans, et les Nymphes des eaux, Et la Terre, hôpital de toute créature, Et ces Dieux que l’on feint ministres de Nature. Mais l’Évangile saint du Sauveur Jésus-Christ M’a fermement gravé une foi dans l’esprit, Que je ne veux changer pour une autre nouvelle, Et, dussé-je endurer une mort très cruelle,
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Bonjour, comment se manifeste la folie dans ce texte svp ? Lorsque la mulâtresse sentit tomber près d'elle, dans le lit, le corps de son mari, harassé, vaincu, elle I'attrapa par les cheveux avec un rire rauque, coléreux, et lui frappa la tête contre I'oreiller jusqu'à être épuisée. Vipère qui, après avoir hypnotisé sa victime, exige qu'elle ne demeure pas inerte mais assiste à sa propre mort en qualité d'invitée. Deux, trois, plusieurs fois Yumi vint chez son compère Timoteo, bien décidé à lui raconter que bien qu'il fut vraiment très riche (il ne savait pas lui-même à combien se montaient ses richesses et personne ne le savait), il était très malheureux. Mais passé au second rang dans le domaine des affaires, de l'argent, des bêtes primées dans les expositions agricoles, et dans la transformation de Quiavicüs de village en jolie ville, Timoteo le recevait avec des petits rires inexplicables, moqueurs et Yumi n'osa jamais lui rapporter ce qui lui arrivait. La mulâtresse, depuis cette terrible affaire des incendies d'or, se saoulait nuit après nuit, dévorée par une flamme intérieure qui la rendait folle. Elle chantait, riait, dansait, se faisait poursuivre par des archers habiles qui lui décochaient des flèches ne causant que de légères éraflures et provoquant la sensation de blessures multiples qui la faisaient se trémousser, écheveau de miel qui passait de l'ébriété des liqueurs de colibri, de canne à sucre et de maguey, à l'ébriété de la fumée gesticulante, pour finalement tomber hors du temps, dans une vague éternité rongeuse, les pupilles immensément ouvertes pareilles à deux lunes de goudron, à deux caillots solitaires au sein de l'effroi absolu, de l'épouvante, de la peur, de l'angoisse, des sanglots bruyants, pleurs de celui qui n'a ni maître, ni planche de salut, pleurs suivis de [a fureur de se détruire, de la volonté de se dépouiller de son image actuelle pour une image future, de cogner son visage contre l'infranchissable, et après cela le hurlement, le plus angoissé des hurlements quand on le trouve son moi lunaire, vertébral, percé, passif climatérique, suivi du repliement, de la tristesse du singe qui aiguise ses ongles sur ses dents, â l'annonce de la nouvelle, de la terrible nouvelle : le squelette de Yumi, son mari, était en or ! Résumé.: Célestino Yumi et la mulâtresse se sont rencontrés dans ce chapitre, ils se sont aussi mariés. Timoteo est un ami de Yumi. juste avant ce passage, Yumi tente d'éteindre un feu qui s'est répandu sur une grange pleine d'épis de mais.
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Bonjour, besoin d'aide pour une explication linéaire de poème SVP, niveau licence Voici le poème de Victor Hugo, "sous les arbres" Ils marchaient à côté l'un de l'autre ; des danses Troublaient le bois joyeux ; ils marchaient, s'arrêtaient, Parlaient, s'interrompaient, et, pendant les silences, Leurs bouches se taisant, leurs âmes chuchotaient. Ils songeaient ; ces deux coeurs, que le mystère écoute, Sur la création au sourire innocent Penchés, et s'y versant dans l'ombre goutte à goutte, Disaient à chaque fleur quelque chose en passant. Elle sait tous les noms des fleurs qu'en sa corbeille Mai nous rapporte avec la joie et les beaux jours ; Elle les lui nommait comme eût fait une abeille, Puis elle reprenait : "Parlons de nos amours. "Je suis en haut, je suis en bas", lui disait-elle, "Et je veille sur vous, d'en bas comme d'en haut." Il demandait comment chaque plante s'appelle, Se faisant expliquer le printemps mot à mot. O champs ! il savourait ces fleurs et cette femme. O bois ! ô prés ! nature où tout s'absorbe en un, Le parfum de la fleur est votre petite âme, Et l'âme de la femme est votre grand parfum ! La nuit tombait ; au tronc d'un chêne, noir pilastre, Il s'adossait pensif ; elle disait : "Voyez "Ma prière toujours dans vos cieux comme un astre, "Et mon amour toujours comme un chien à tes pieds." J'ai découpé le poème en 3 mouvements : strophe 1 et 2: présentation du cadre et des personnages strophes 3 et 4 : focalisation sur "elle" avec discours direct strophe 5 et 6 : union de la femme et de la nature La femme pourrait être Juliette Drouet, la maitresse de Victor Hugo. Pouvez vous m'aider à trouver une problématique, j'avais pensé à qq chose comme Comment la nature permet elle l'évolution du couple, mais je la trouve complètement nulle !!! De même pour mon plan, j'ai pas d'idées, je ne trouve pas mes mots… Merci d'avance pour votre aide !!!! Bonne journée !!!!
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