Bonjour vous pouvez m'aider pour l'exercice 2 ( l'exercice 1 c'est juste pour vous aidez ne vous inquiéter pas je l’ai fais l’ex 1 ) merci d’avance ; ) Ejercicios el pretérito imperfecto . 1. Conjuga estos verbos en pretérito imperfecto (je l’ai fait ) a. Antes, los padres no ( tener ) tenían Internet: b. En el verano de 1985, los niños (divertirse) se divertían en la piscina. c. Antes, los chicos (hacer ) hacían los deberes con los libros: d. En los años 80, los chicos( jugar ) jugaban al fútbol en el patio o en la calle: e. Antes, la gente ( informarse ) se informaba con los periodicos: f. En 1987, los niños (pedir ) pedÍan una nueva bicicleta de regalo. 2. Tranforma las frases del ejercicio 1 para describir qué ha cambiado hoy . ¡ Cuidado con los presentes irregular ! Pour cette exercice . J' ai déjà conjuguer les verbes au présent mais j'aimerais juste que vous continuez Par exemple pour le la première phrase : Ahora los padres tienen Internet . a. Ahora los padres (tener ) tienen ................................................................................................... b. En el verano de 2017 , los niños ( divertirse ) se divierten ...................................................... c.Ahora los chicos ( hacer ) hacen ..................................................................................... d. En los años 2000 , los chicos (jugar ) juegan ...................................................................... e.Actualmente , la gente (informarse ) se informa ............................................................... f. En 2017 , los niños (pedir ) piden ........................................................................................ QUESTION IMPORTANTE : pour la phrase "e" c'est la gente se informa ou se informan ?
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Aidez-moi exercice de français sur Le poème L’isolement De Larmatine : Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes ; Il serpente, et s'enfonce en un lointain obscur ; Là le lac immobile étend ses eaux dormantes Où l'étoile du soir se lève dans l'azur. Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres, Le crépuscule encor jette un dernier rayon ; Et le char vaporeux de la reine des ombres Monte, et blanchit déjà les bords de l'horizon. Cependant, s'élançant de la flèche gothique, Un son religieux se répand dans les airs : Le voyageur s'arrête, et la cloche rustique Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts. Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente N'éprouve devant eux ni charme ni transports ; Je contemple la terre ainsi qu'une ombre errante Le soleil des vivants n'échauffe plus les morts. De colline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis : " Nulle part le bonheur ne m'attend. " Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé ! Que le tour du soleil ou commence ou s'achève, D'un oeil indifférent je le suis dans son cours ; En un ciel sombre ou pur qu'il se couche ou se lève, Qu'importe le soleil ? je n'attends rien des jours. Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière, Mes yeux verraient partout le vide et les déserts : Je ne désire rien de tout ce qu'il éclaire ; Je ne demande rien à l'immense univers. Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère, Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux, Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre, Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux ! Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire ; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour ! Que ne puîs-je, porté sur le char de l'Aurore, Vague objet de mes voeux, m'élancer jusqu'à toi ! Sur la terre d'exil pourquoi resté-je encore ? Il n'est rien de commun entre la terre et moi. Quand là feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! Question : 1) En t’aidant des vers 27 et 32, montre que cet état et aussi en parti volontaire de la part du poète . 2) quelles couleurs sont dominantes dans le paysage décrit par le poète ? 3) selon toi, que peut désigner la périphrase la reine des ombres (vers 11 ) ? 4) analyse puis interprète la figure de style du vers 19 : “je contemple la terre ainsi qu’une ombre errante. ” 5 ) d’après les trois réponses précédentes ( questions 7 , 8 et 9 ) à quoi te semble donc correspondre le paysage de ce poème ? 6) montre la présence d’une évocation de la mort dans ce poème . S’il vous plaît et merci bcp
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