Dans les phrases suivantes, entourez le subordonnant et placez entre crochets les propositions subordonnées. Soulignez ensuite le mot placé avant elles qu’elles semblent compléter. 1) Je pense que tu dois venir ce soir. 2) La fille dont je t’ai parlé est partie hier. 3) Il demande si le concert est annulé. 4) Le bus que j’attends est en retard. 5) Elle veut absolument que tu la rappelles au plus vite. I) Encadrez les propositions subordonnées : s’agit-il d’une subordonnée relative ou conjonctive ? 1) Elle souhaite que tout se passe bien à l’avenir. ______________________________________ 2) Je pense que le prix est raisonnable. ______________________________________ 3) Le magazine que tu cherches n’est plus en vente. ______________________________________ 4) Où as-tu mis le cahier que je t’ai donné ? ______________________________________ 5) Le témoin déclara qu’il ne disait que la vérité. ______________________________________ 6) Ce n’est pas l’heure qu’il vienne, tu peux te mettre à l’aise… __________________________________ II) Encadrez les propositions subordonnées et indiquez leur nature grammaticale précise. 1) Je veux que tout soit rangé ce soir. ______________________________________ 2) Je ne sais pas qui est passé à la maison. ______________________________________ 3) La personne qui est venue te voir n’a pas laissé de message. ___________________________________ 4) Le devoir que tu as rendu n’était pas réussi. ______________________________________ 5) Elle se demande si elle devra rester jusqu’au bout. ___________________________________ 6) Il affirme que tu lui as remis son carnet en mains propres. _____________________________________ 7) C’est lui qui va acheter la voiture que je mets en vente. _____________________________________ Merci d'avance
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Exercice 1 : Indiquez le mode des verbes soulignés. Précisez dans la parenthèse le numéro correspondant. Modes personnels Modes impersonnels 1. indicatif 5. infinitif 2. subjonctif 6. participe présent 3. conditionnel 7. participe passé 4. impératif 8. Gérondif a) Un ouvrier de grande taille passa ( ) sur la place même où le combat venait d’avoir ( ) lieu, portant ( ) sur l’épaule gauche un enfant vêtu d’une robe couleur d’hyacinthe. (Gérard de Nerval) b) Écoute ( )-moi ! tout le passé est oublié ( ). (Mérimée) c) Les femmes hurleraient ( ), les hommes auraient ( ) ces mâchoires de loups, ouvertes pour mordre. (Zola) d) Que tu viennes ( ) du ciel ou de l’enfer, qu’importe... (Baudelaire) e) Veux ( )-tu donc que je sois ( ) un spectre, et qu’en frappant ( ) sur ce squelette [Il frappe sa poitrine] il n’en sorte ( ) aucun son ? (Musset) f) Sois ( ) sage, ô ma Douleur, et tiens ( )-toi plus tranquille. (Baudelaire) g) M. de La Mole était sorti ( ). Plus mort que vif, Julien alla l’attendre ( ) dans la bibliothèque. Que devint-il en y trouvant ( ) mademoiselle de La Mole ? (Stendhal) Exercice 2 : Donner la valeur du futur dans les phrases suivantes : politesse, ordre ou conseil ? a) Vous terminerez cette rédaction pour la semaine prochaine sans faute. b) Cela fera 6 euros cinquante, s’il vous plait. c) Tu ne tueras point. d) Tout de même, tu admettras que son attitude est un peu étrange... Exercice 3 : Dans les phrases suivantes, donnez la valeur du présent de l’indicatif. a) Sur le divan, tout à côté, six ou sept petits garçons et petites filles, rangés comme sur une image, sages comme le sont les enfants lorsqu’il se fait tard, écoutaient. (Alain Fournier) b) Il lève le bras, il rougit, retient son haleine. Attention ! L’équilibre ! Il va le retrouver, il le retrouve. (Georges Duhamel) c) Dimanche, tout Paris était consterné du renvoi de M. Necker ; j’avais beau échauffer les esprits, personne ne prenait les armes. Je vais sur les trois heures au Palais Royal ; je gémissais, au milieu d’un groupe, sur notre lâcheté à tous, lorsque trois jeunes gens passent se tenant par la main et criant aux armes ! (Camille Desmoulins) d) Aujourd’hui, c’est jour de soleil... L’air n’est qu’une fête. (Taine) e) Tout à coup, mon oreille est frappée des sons que le vent m’apporte du milieu du lac. J’écoute et je distingue les accents d’une voix humaine. (Chateaubriand) h) Les jours où je ne vais pas à l’école, on va sur les plaines d’Abraham. Pendant que Blaudelle se fait une toile, moi j’ai rendez-vous avec Lauda. (Jacques Savoie) i) Dans une heure au plus tard, je reviens en ce lieu. (Corneille) Exercice 4 : Dans les phrases suivantes, donnez la valeur de l’imparfait de l’indicatif. c) Ce qu’on avait sous les yeux, c’était une haute tour ronde, toute seule au coin du bois comme un malfaiteur. (Victor Hugo) d) Dans les veillées d’hiver, chaque année, je reprenais le catalogue, passais vite sur les pages inutiles et m’abîmais dans la contemplation du cheval mécanique. (Jean Marouzeau) e) Le soleil venait de disparaître et, sur l’horizon encore flamboyant, se dessinait le profil de ce fantastique rocher. (Guy de Maupassant) f) D’innombrables moustiques et maringouins tourbillonnaient dans l’air brûlant de l’après-midi. À chaque instant, il fallait les écarter d’un geste. (Louis Hémon) g) Si elle avait seulement mille francs, elle serait épousée par un pauvre ouvrier. (Honoré de Balzac) h) Ah ! si j’étais roi ! La paix eût partout régné. (Louis Guilloux)
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Exercice 1 : Indiquez le mode des verbes soulignés. Précisez dans la parenthèse le numéro correspondant. Modes personnels Modes impersonnels 1. indicatif 5. infinitif 2. subjonctif 6. participe présent 3. conditionnel 7. participe passé 4. impératif 8. Gérondif a) Un ouvrier de grande taille passa ( ) sur la place même où le combat venait d’avoir ( ) lieu, portant ( ) sur l’épaule gauche un enfant vêtu d’une robe couleur d’hyacinthe. (Gérard de Nerval) b) Écoute ( )-moi ! tout le passé est oublié ( ). (Mérimée) c) Les femmes hurleraient ( ), les hommes auraient ( ) ces mâchoires de loups, ouvertes pour mordre. (Zola) d) Que tu viennes ( ) du ciel ou de l’enfer, qu’importe... (Baudelaire) e) Veux ( )-tu donc que je sois ( ) un spectre, et qu’en frappant ( ) sur ce squelette [Il frappe sa poitrine] il n’en sorte ( ) aucun son ? (Musset) f) Sois ( ) sage, ô ma Douleur, et tiens ( )-toi plus tranquille. (Baudelaire) g) M. de La Mole était sorti ( ). Plus mort que vif, Julien alla l’attendre ( ) dans la bibliothèque. Que devint-il en y trouvant ( ) mademoiselle de La Mole ? (Stendhal) Exercice 2 : Donner la valeur du futur dans les phrases suivantes : politesse, ordre ou conseil ? a) Vous terminerez cette rédaction pour la semaine prochaine sans faute. b) Cela fera 6 euros cinquante, s’il vous plait. c) Tu ne tueras point. d) Tout de même, tu admettras que son attitude est un peu étrange... Exercice 3 : Dans les phrases suivantes, donnez la valeur du présent de l’indicatif. a) Sur le divan, tout à côté, six ou sept petits garçons et petites filles, rangés comme sur une image, sages comme le sont les enfants lorsqu’il se fait tard, écoutaient. (Alain Fournier) b) Il lève le bras, il rougit, retient son haleine. Attention ! L’équilibre ! Il va le retrouver, il le retrouve. (Georges Duhamel) c) Dimanche, tout Paris était consterné du renvoi de M. Necker ; j’avais beau échauffer les esprits, personne ne prenait les armes. Je vais sur les trois heures au Palais Royal ; je gémissais, au milieu d’un groupe, sur notre lâcheté à tous, lorsque trois jeunes gens passent se tenant par la main et criant aux armes ! (Camille Desmoulins) d) Aujourd’hui, c’est jour de soleil... L’air n’est qu’une fête. (Taine) e) Tout à coup, mon oreille est frappée des sons que le vent m’apporte du milieu du lac. J’écoute et je distingue les accents d’une voix humaine. (Chateaubriand) h) Les jours où je ne vais pas à l’école, on va sur les plaines d’Abraham. Pendant que Blaudelle se fait une toile, moi j’ai rendez-vous avec Lauda. (Jacques Savoie) i) Dans une heure au plus tard, je reviens en ce lieu. (Corneille) Exercice 4 : Dans les phrases suivantes, donnez la valeur de l’imparfait de l’indicatif. c) Ce qu’on avait sous les yeux, c’était une haute tour ronde, toute seule au coin du bois comme un malfaiteur. (Victor Hugo) d) Dans les veillées d’hiver, chaque année, je reprenais le catalogue, passais vite sur les pages inutiles et m’abîmais dans la contemplation du cheval mécanique. (Jean Marouzeau) e) Le soleil venait de disparaître et, sur l’horizon encore flamboyant, se dessinait le profil de ce fantastique rocher. (Guy de Maupassant) f) D’innombrables moustiques et maringouins tourbillonnaient dans l’air brûlant de l’après-midi. À chaque instant, il fallait les écarter d’un geste. (Louis Hémon) g) Si elle avait seulement mille francs, elle serait épousée par un pauvre ouvrier. (Honoré de Balzac) h) Ah ! si j’étais roi ! La paix eût partout régné. (Louis Guilloux) Merci d'avance ;^)
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