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jihanejiji
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jihanejiji
June 2021 | 1 Respostas
donner la definition du developemment durable avec les mots Terre,dévelopemment de la vie, inhabitable
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jihanejiji
June 2021 | 1 Respostas
Récrivez ce texte en faisant du narrateur une fille et du pion une pionne .J'ai le cou brisé, la nuque qui me fait mal, la poitrine creuse : je suis resté penché sur les chapitres sans lever la tête, sans entendre rien,dévoré par la curiosité, collé aux flancs de Robinson, pris d'une émotion immense, remué jusqu'au fond de la cervelle et jusqu'au fond du coeur Clic clac ! on farfouille dans la serrure.Est-ce Vendredi ? Sont-ce des sauvages ?C'est le petit pion qui s'est souvenu , en se levant, Qu'il m'avait oublié, et qui vient voir si j'ai été dévoré par les rats , ou si c'est moi qui les ai mangés.
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jihanejiji
June 2021 | 1 Respostas
j ai un souci avec les paroles rapportées: transposez au discours indirect les phrases suivantes: 1) "Et qu'est-ce que ça veut dire,moderato cantabile ?" demanda avec insistance la dame. 2) "Lisez,leur dit-il, et donnez-moi ensuite votre avis." 3) "Si tu veux comprendre, relis ton texte" lui suggéra son père. 4) " Silence! ordonna le professeur aux élèves, et prenez vos cahiers." 5) " C'est l'heure de se coucher!" annonçait chaque soir la vieille dame aux enfants. 6)Il nous promit : "Je passerai sans faute demain. " Ensuite, on me demande de tranposez au discours indirect libre puis au discours in direct les phrases suivantes. 1)Il s'exclama: "Ouah ! Quel film magnifique! J'aimerais bien le revoir!" 2)" Oh ! là là ! se lamenta-t-elle, ma maison; elle est toute inondée!" 3) Elle s'extasia: " Super! J'ai gagné au loto!" 4) le professeur se mit à hurler: " Comment! Vous avez oublié votre manuel! Vous serez puni." Et puis 3ème exercice :recherchez le type de discours rapporté dominant,en précisant les paroles rapportées. Voici le texte: M de Clèves conta tout haut son aventure, et ne pouvait se lasser de donner des louanges ç cette personne qu'il avait vue, qu'il ne connaissait point.Madame lui dit qu'il n'y avait ^point de personne comme celle qu'il dépeignait et que, s'il y en avait quelqu'une, elle serait connue de tout le monde.Mme de Dampierre, lui dit tout bas que c'était sans doute Mlle de Chartres que M de Clèves avait vue. D'AVANCE MERCI SI QU'ELQU'UN PEUT M'AIDER
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jihanejiji
June 2021 | 1 Respostas
bonjour je nes pas compris pouvais vous maider a rediger ?sujet d imagination : un passager témoin de la scène rapporte l 'evénement et le commente dans une lettre a un ami
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jihanejiji
June 2021 | 0 Respostas
Http://www.youtube.com/watch?v=CBygW-3ffOY quel est le style de musique ? Les ambiances sont comment ? ( c est a dire si c est vilent ,prutal ... )
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jihanejiji
June 2021 | 0 Respostas
1)trouve les mots cachés das ces énigimes :cire+s1)trouve les mots cachés das ces énigimes : cire+s =déposer+s=rogner+i=rétine+de=2)je suis l adjectif qui ne change pas au féminin = je double ma consonne finale au feminin =je suis les mot invariable=voici les mots : permettre , une emotion , selon, précis, officier , manuel , un officier , grave , brun mercii d avance
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jihanejiji
June 2021 | 0 Respostas
1)trouve les mots cachés das ces énigimes : cire+s =déposer+s=rogner+i=rétine+de=2)je suis l adjectif qui ne change pas au féminin = je double ma consonne finale au feminin =je suis les mot invariable=voici les mots : permettre , une emotion , selon, précis, officier , manuel , un officier , grave , brun mercii d avance
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jihanejiji
June 2021 | 1 Respostas
Il fait clair, une clarté grise, celle du jour qui naît. Les râles continuent. Je me bouche les oreilles, mais bientôt je retire mes doigts, parce que autrement je ne pourrais pas entendre ce qui se passe. La forme qui est en face de moi se remue. Je tressaille d'effroi et, malgré moi, je la regarde. Maintenant mes yeux sont comme collés fixement à elle. Un homme avec une petite moustache est là étendu ; sa tête est, inclinée sur le côté ; il a un bras à demi ployé, sur lequel la tête repose inerte. L'autre main est posée sur la poitrine, elle est ensanglantée.Il est mort, me dis-je ; il doit être mort ; il ne sent plus rien ; ce qui râle là n'est que le corps ; mais cette tête essaie de se relever ; les gémissements deviennent, un moment, plus forts, puis le front retombe sur le bras. L'homme se meurt, mais il n'est pas mort. Je me porte vers lui en rampant; je m'arrête, je m'appuie sur les mains, je me traîne un peu plus en avant J'attends; puis je m'avance encore; c'est là un atroce parcours de trois mètres, un long et terrible parcours. Enfin, je suis à côté de lui.Alors il ouvre les yeux. Il m'a sans doute entendu et il me regarde avec une expression de terreur épouvantable. Le corps est immobile, mais dans les yeux se lit un désir de fuite si intense que Je crois un instant qu'ils auront la force d'entraîner le corps avec eux, de faire des centaines de kilomètres rien que d'une seule secousse. Le corps est immobile, tout à fait calme et, à présent, silencieux; le râle s'est tu, mais les yeux crient et hurlent; en eux toute la vie s'est concentrée en un effort extraordinaire pour s'enfuir, en une horreur atroce devant la mort, devant moi.Je sens que mes articulations se rompent et je tombe sur les coudes. "Non", fais-je en murmurant.Les yeux me suivent. Je suis incapable de faire un mouvement tant qu'ils sont là. Alors sa main s'écarte lentement et légèrement de la poitrine; elle se déplace de quelques centimètres, mais ce mouvement suffit à relâcher la violence des yeux. Je me penche en avant, je secoue la tête et je murmure : " Non, non, non", je lève une main en l'air, pour lui montrer que je veux le secourir et je la passe sur son front.Les yeux ont battu devant l'approche de cette main ; maintenant, ils deviennent moins fixes, les paupières s'abaissent, la tension diminue. J'ouvre son col et je lui mets la tête plus à l'aise.Il a la bouche à demi ouverte ; il s'efforce de prononcer des paroles. Ses lèvres sont sèches. Mon bidon n'est pas là , je ne l'ai pas pris avec moi. Mais, au fond d'un trou, il y a de l'eau dans la vase. Je descends, je prends mon mouchoir je l'étale à la surface et j'appuie ; ensuite, avec le creux de ma main, je puise l'eau jaunâtre qui filtre à travers.Il l'avale. Je vais en chercher d'autre. Puis je déboutonne sa veste pour le panser, si c'est possible. De toute façon, il faut que je le fasse, afin que, si je venais à être fait prisonnier, ceux d'en face voient bien que j'ai voulu le secourir et ne me massacrent pas. Il essaie de se défendre, mais sa main est trop faible pour cela. Sa chemise est collée et il n'y a pas moyen de l'écarter; elle est boutonnée par-derrière. Il ne reste que la ressource de la couper.Je cherche mon couteau et je le retrouve. Mais, au moment où je me mets à taillader la chemise, ses yeux s'ouvrent encore une fois et de nouveau il y a en eux une expression de terreur insensée et comme des cris, de sorte que je suis obligé de les refermer et de murmurer : " Mais je veux te secourir, camarade." Et j'ajoute, maintenant, en français : " Camarade... Camarade... Camarade." En insistant sur ce mot-là, pour qu'il comprenne.Erich-Maria Remarque, À l'Ouest rien de nouveau, éd. Stock, 1929.quels personnages sont en précense ? qui est le narrateur de récit ? quel est l effet obtenu par l emploi du présent ? Ligne 1 a 8 quelle pogession notez vous dans la perception qu bléssé par le narrateur ?
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jihanejiji
June 2021 | 1 Respostas
(5x+4)^2 +(2-3x)^2mercii d'avance
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jihanejiji
June 2021 | 1 Respostas
Exercice 6 p. 144 : Transposez les paroles de Mme de la Trave au style indirect, en les introduisant par Elle reconnaissait que... Vous serez particulièrement attentif à la concordance destemps.Le bruit commençait de courir que le sentiment maternel n'étouffait pas Thérèse. Mais Mme de la Trave assurait quelle aimait sa fille à sa manière: «Bien sûr, il ne faut pas lui demander de surveiller son bain ou de ranger ses couches: ce n'est pas dans ses cordes; mais je l'ai vue demeurer des soirées entières, assise auprès du berceau, se retenant de fumer pour regarder la petite dormir... D'ailleurs, nous avons une bonne très sérieuse; et puis Anne est là; ah ! celle-là, je vous jure que ce sera une fameuse petite maman... »F. Mauriac, Thérèse Desqueyroux, éd. Grasset, 1927.Exercice 2 p. 144 : Le style indirect. Distinguez dans ces phrases les paroles rapportées au style direct de celles rapportées au style indirect. Relevez à chaque fois le verbe qui les introduit.1. Il va de soi que mon père était rigoureusement antiféministe. [...] Quand il déclara: «Vous mes petites, vous ne vous marierez pas, il faudra travailler», il y avait de l'amertume dans sa voix. 2. Ma cousine Jeanne était peu douée pour les études, mais très souriante et très polie; mon père répétait à qui voulait l'entendre que son frère avait une fille délicieuse. 3. Mon père disait autrefois que lorsque j'aurais dix-huit ans, il m'interdirait encore les Contes de François Coppée. 4. «Quel dommage que Simone ne soit pas un garçon : elle aurait fait Polytechnique». J'avais souvent entendu mes parents exhaler ce regret. 5. Ma mère me rapporta à la fin que Jacques s'étonnait de ne plus me voir.
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