Boujour j’aurais besoin de votre aide pour que dans cette extrait il y’a du : passé perfect, prétérit,voix passive et un dialogue (les structures bien respecter ) Cela faisait maintenant six mois que Madeleine avait reçu l'avis de décès d'une vieille tante, Bouquette de Rostang, une aristocrate dont elle ne se souvenait que très vaguement. Deux ans que son mari officier avait disparu. Une période terrible qui tendit ses rapports avec Suzy, sa préado au caractère bien trempé. La petite dernière, Sarah, ne comprenait pas pourquoi son papa ne reviendrait pas... Un deuil impossible, sans dépouille. Elle qui n'avait jamais travaillé, sinon à la bonne marche de son foyer... Car Madeleine fut une épouse de militaire dévouée. Pour ses enfants elle dut refaire surface et finit par s'engager dans une carrière d'aide-soignante ,malgré un salaire et la pension de son mari, elle ne pouvait acquérir le toit rêvé, pour elle et ses petites. — Tiens Maman. Je crois que c'est pour toi, fit Suzy en lui tendant le courrier. Un notaire la convoquait. On lui annonçait qu'elle était citée dans le testament de sa tante... Comme seule héritière du domaine familial, puisque Madame de Rostang n'avait aucune descendance. Elle l'annonça aux filles, qui sautèrent de joie directement dans le lit de leur mère. Carpette la petite chienne, se joignit . Dans sa lettre, le notaire lui assurait qu'il avait été parfaitement entretenu. Du moins, jusqu'à la mort de la maîtresse des lieux.Et c'est ainsi qu'un soir pluvieux d'automne, toute la famille se rendit à trois heures de route jusques aux vieux murs de son nouveau foyer. plus on pénétrait dans le domaine, plus on prenait la mesure de son aspect inquiétant. La lourde porte aux sculptures étranges grinça. Avec courage, Madeleine prit la tête de la troupe. Dans un cri étouffé, elle trébucha sur la dernière marche de l'entrée. À priori, la compagnie d'électricité n'était pas encore passée... Les filles, elles, avaient passé le cap de la crainte et voulaient déjà tout explorer. Alors que le groupe pénétrait dans une nouvelle pièce à l'étage, la chienne se mit à aboyer. Une fois dans le hall, Sarah chuchota : — On est obligées de rester dans cette maison qui fait peur ? — Malheureusement, c'est ça ou la voiture, les filles. — Ben moi, je reste pas là ! — T'as raison, ma grande. On fera le tour du propriétaire quand on y verra clair ! On était d'accord, pour une fois. La nuit se terminerait donc dans la Voiture . ... — Maman... C'était quoi ? insista Suzy. — Ça devait être un chat. Oui, c'est ça. Ainsi, dès le réveil, Madeleine proposa aux filles d'aller se confronter à ce qui les avait effrayées la veille. À l'étage, sur un fauteuil à bascule trônait une poupée. Elle était charmante avec ses grands yeux bleus et ses longs cheveux roux soyeux. Elle portait une robe couleur de printemps. — Dire qu'on s'est caillées toute une nuit dans la voiture à cause d'un jouet ! ronchonna Suzy. Son nom est brodé à l'intérieur de sa robe. Elle s'appelle Rosalinde. Épuisé temps après Suzy, qui était partie on ne sait où, fit irruption dans la pièce. — Elle a bougé. — Qui ça ? — « Rose-machin » ! — Je comprends rien... — La poupée ! Elle a bougé. Elle est debout sur le fauteuil. — Écoute ma grande, on a beaucoup de travail ici, tu sais. Même ta petite sœur met la main à la pâte. Alors, arrête un peu tes blagues et viens nous aider ! — J'y suis pour rien ! — D'accord, mais tu sais très bien qu'à moins d'être équipé de piles, ça ne bouge pas un jouet ! — Ben moi je l'aime pas, cette poupée... Mamans il faudrait jeter cette poupée elle me met mal à l’aise et me fait peur ses grands cheveux roux et ses yeux bleus ne me rassures pas -Suzy écoute Ta tante tenais énormément à cette poupée on lui avait offert quand elle était plus jeune je ne te permettrai pas de la toucher tu m’entends ! -Mais mamans ! -NONNNN! Le lendemain matin Madeleine se réveille et la elle découvrit ... Elle n’en revenez pas ...
Responda

Helpful Social

Copyright © 2024 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.