Bonjour, j’aurais besoin d’aide en espagnol. Je suis en train de réviser les conjugaisons mais j’avoue que là j’ai du mal à savoir quelle conjugaison mettre pour chaque verbe. Merci si vous m’aidiez à résoudre ce texte :) Voici l’énoncer et le texte (il est aussi en photo): À nécdotas y leyendas que circulan en el mundo de los negocios. Léelas y complétalas conjugando los verbos entre paréntesis en el pasado adecuado (pretérito imperfecto, indefinido o pluscuamperfecto) (J’imagine que c’est l’imparfait, le plus que parfait ou le passé simple mais je suis pas sûr) Voici le texte, merci de le résoudre svp. El invento del Post-it (ser) (8) .......................................... una casualidad casi divina. Art Fry, un químico de 3M, (cantar) (9) .............................................los domingos en el coro de su iglesia. Para separar las páginas del libro de salmos (utilizar) (10)............................................. pedacitos de papel que, al abrir libro, siempre (acabar) (11) ......................................... por el suelo. Y un día (llegar) (12)............................... inspiración. (Acordarse) (13) ..........................................de que Spencer Silver, un compañero de 3M, habia inventado años atrás un pegamento tan flojo que no (servir) (14) ..............................para pegar y (ser) (15) .........................................................desechado por la empresa. Sin embargo, (despegarse) (16) ................................................. con facilidad, sin dañar el papel y sin dejar restos. Fry (tener) (17) ...........................................................la idea de aplicarlo a esos papelitos separadores hacerlos autoadhesivos. El invento (resultar) (18)...................................................... ideal para separar las páginas y escribir notas. Un producto genuinamente americano es la Barbie, la esbelta muñeca de melena rubia. La (crear) (19) ..........................................Elliot Handler, fundador de Mattel, la empresa de muñecas. Su esposa Ruth le (inspirar) (20) ......................................................los toques. Pero la muñeca (necesitar) (21) ....................................................... un nombre y (tomar) (22) .............................................. la decisión de ponerle el nombre de su hija. Luego, para seguir con la familia, de la Barbie lo (llamar) (23) ............... ......Kent, el nombre de su hijo. Cursi Barbie (tener) (24) ........................ mucho éxito hasta convertirse en un fenómeno de masas: se compra una cada dos segundos Bonne journée.
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Bonjour pouvez vous m'aidez à expliquer le texte suivant puisque je ne comprend pas grâce à ça comment répondre aux questions et je n'ai jamais fait ceci alors merci de m'aider : L’objet de cet essai est de poser un principe très simple, fondé à régler absolument les rapports de la société et de l’individu dans tout ce qui est contrainte et contrôle, que les moyens utilisés soient la force physique par le biais de sanctions pénales ou la contrainte morale exercée par l’opinion publique. Ce principe veut que les hommes ne soient autorisés, individuellement ou collectivement, à entraver la liberté d’action de quiconque que pour assurer leur propre protection. La seule raison légitime que puisse avoir une communauté pour user de la force contre un de ses membres est de l’empêcher de nuire aux autres. Contraindre quelqu’un pour son propre bien, physique ou moral, ne constitue pas une justification suffisante. Un homme ne peut pas être légitimement contraint d’agir ou de s’abstenir sous prétexte que ce serait meilleur pour lui, que cela le rendrait plus heureux ou que, dans l’opinion des autres, agir ainsi serait sage ou même juste. Ce sont certes de bonnes raisons pour lui faire des reproches, le raisonner, le persuader ou le supplier, mais non pour le contraindre ou lui causer du tort s’il agit autrement. La contrainte ne se justifie que lorsque la conduite dont on désire détourner cet homme risque de nuire à quelqu’un d’autre. Le seul aspect de la conduite d’un individu qui dépende de la société est celui qui concerne les autres. Mais pour ce qui ne concerne que lui, son indépendance est, de droit, absolue. Sur lui-même, sur son corps et son esprit, l’individu est souverain (1). J. S. MILL, De la liberté́ (1859). (1) être souverain : être dans la position de celui qui décide et commande en premier. Questions: 1. Le texte distingue la contrainte et le contrôle que la société peut exercer « par la force physique » d’une autre forme de contrainte, « morale et exercée par l’opinion publique ». Pourquoi la contrainte et le contrôle exercés par la force physique sont-ils associés aux « sanctions pénales » ? Comment comprendre l’idée de « contrainte morale » ? Quelle différence y a-t-il entre ces différentes formes de contraintes ? 2. Expliquez : « contraindre quelqu’un pour son propre bien ». 3. Quelle différence y a-t-il, selon Mill, entre « faire des reproches » à quelqu’un et lui « causer du tort » ? 4. Expliquez : « La contrainte ne se justifie que lorsque la conduite dont on désire détourner cet homme risque de nuire à quelqu’un d’autre ». 5. Quelle est, selon vous, la question à laquelle le texte de Mill tente d’apporter ici une réponse ? 6. Comment cette réponse est-elle organisée ? Dégagez les différents moments de l’argumentation présente dans ce texte de Mill, et montrez comme ils s’articulent les uns aux autres. 7. Dégagez l’idée principale du texte. 8. Quel rapport l’argument de Mill permet-il d’établir entre la contrainte exercée par la société et les droits qu’on reconnaît aux individus ? 9. Quel sens ce texte permet-il de donner à l’idée de liberté individuelle ?
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