Deux voyageurs faisant chemin ensemble, aperçurent un Ours qui venait droit à eux. Le premier qui le vit monta brusquement sur un arbre, et laissa son compagnon dans le péril, quoi qu’ils eussent été toujours liés jusqu’alors d’une amitié fort étroite. L’autre qui se souvint que l’Ours ne touchait point aux cadavres, se jeta par terre tout de son long, ne remuant ni pieds ni mains, retenant son haleine, et contrefaisant le mort le mieux qu’il lui fut possible. L’Ours le tourna et le flaira de tous côtés, et approcha souvent sa hure de la bouche et des oreilles de l’Homme qui était à terre ; mais le tenant pour mort, il le laissa et s’en alla. Les deux voyageurs s’étant sauvés de la sorte d’un si grand péril, et des griffes de l’Ours, continuèrent leur voyage. Celui qui était monté sur l’arbre, demandait à son compagnon, en chemin faisant, ce que l’Ours lui avait dit à l’oreille, lorsqu’il était couché par terre. « Il m’a dit, répliqua le Marchand, plusieurs choses qu’il serait inutile de vous raconter ; mais ce que j’ai bien retenu, c’est qu’il m’a averti de ne compter jamais parmi mes amis que ceux dont j’aurai éprouvé la fidélité dans ma mauvaise fortune. » Esope Des questions pour réfléchir… Qui est l’auteur de cette fable ? Nomme les personnages de cette fable. À la vue de L’ours, que fait l’un des compagnons ? Quelle phrase montre que les deux compagnons étaient vraiment liés ? Pourquoi le second compagnon est resté immobile ? De quoi s’est-il souvenu ? Pourquoi l’ours a-t-il laissé la vie sauve au voyageur ? Quelle est la morale de cette fable ?
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Svp aide moi dans les questions voici le texte Sur la branche d'un arbre était en sentinelle Un vieux Coq adroit et matois (1). "Frère, dit un Renard, adoucissant sa voix, Nous ne sommes plus en querelle : Paix générale cette fois. Je viens te l'annoncer ; descends, que je t'embrasse (2). Ne me retarde point, de grâce ; Je dois faire aujourd'hui vingt postes sans manquer (3). Les tiens et toi pouvez vaquer Sans nulle crainte à vos affaires ; Nous vous y servirons en frères. Faites-en les feux dès ce soir. Et cependant viens recevoir Le baiser d'amour fraternel. - Ami, reprit le coq, je ne pouvais jamais Apprendre une plus douce et meilleur nouvelle. Que celle De cette paix ; Et ce m'est une double joie De la tenir de toi. Je vois deux Lévriers, Qui, je m'assure, sont courriers Que pour ce sujet on envoie. Ils vont vite, et seront dans un moment à nous. Je descends ; nous pourrons nous entre-baiser tous. -Adieu, dit le Renard, ma traite est longue à faire : Nous nous réjouirons du succès de l'affaire Une autre fois. Le galant aussitôt Tire ses grègues (4), gagne au haut (5), mal content de son stratagème ; Et notre vieux Coq en soi-même Se mit à rire de sa peur ; Car c'est double plaisir de tromper le trompeur. Fable de la Fontaine 1. Le Coq et le Renard sont les personnages de cette fable. Le Renard s’adresse gentiment au Coq, que lui dit-il ? 2. Etaient-ils amis avant que le Renard ne s’adresse à lui ? Justifie ta réponse à partir de la fable. 3. Quel mot choisit le Renard pour rassurer le Coq ? 4. Que lui demande t-il avec insistance ? Etait-il sincère ? 5. Les paroles du Renard ne semblent pas tranquilliser le Coq, pourquoi ? 6. Quelle réponse donne-t-il au Renard ? 7. Le Renard est découragé de ne pouvoir piéger le Coq que décide-t-il donc de faire ? 8. Quel mot annonce le départ du Renard ? 9. Le coq est soulagé. De quoi riait-il ? 10. Quelle est la morale de cette fable ?
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Svp aide moi dans les questions voici le texte Sur la branche d'un arbre était en sentinelle Un vieux Coq adroit et matois (1). "Frère, dit un Renard, adoucissant sa voix, Nous ne sommes plus en querelle : Paix générale cette fois. Je viens te l'annoncer ; descends, que je t'embrasse (2). Ne me retarde point, de grâce ; Je dois faire aujourd'hui vingt postes sans manquer (3). Les tiens et toi pouvez vaquer Sans nulle crainte à vos affaires ; Nous vous y servirons en frères. Faites-en les feux dès ce soir. Et cependant viens recevoir Le baiser d'amour fraternel. - Ami, reprit le coq, je ne pouvais jamais Apprendre une plus douce et meilleur nouvelle. Que celle De cette paix ; Et ce m'est une double joie De la tenir de toi. Je vois deux Lévriers, Qui, je m'assure, sont courriers Que pour ce sujet on envoie. Ils vont vite, et seront dans un moment à nous. Je descends ; nous pourrons nous entre-baiser tous. -Adieu, dit le Renard, ma traite est longue à faire : Nous nous réjouirons du succès de l'affaire Une autre fois. Le galant aussitôt Tire ses grègues (4), gagne au haut (5), mal content de son stratagème ; Et notre vieux Coq en soi-même Se mit à rire de sa peur ; Car c'est double plaisir de tromper le trompeur. Fable de la Fontaine 1. Le Coq et le Renard sont les personnages de cette fable. Le Renard s’adresse gentiment au Coq, que lui dit-il ? 2. Etaient-ils amis avant que le Renard ne s’adresse à lui ? Justifie ta réponse à partir de la fable. 3. Quel mot choisit le Renard pour rassurer le Coq ? 4. Que lui demande t-il avec insistance ? Etait-il sincère ? 5. Les paroles du Renard ne semblent pas tranquilliser le Coq, pourquoi ? 6. Quelle réponse donne-t-il au Renard ? 7. Le Renard est découragé de ne pouvoir piéger le Coq que décide-t-il donc de faire ? 8. Quel mot annonce le départ du Renard ? 9. Le coq est soulagé. De quoi riait-il ? 10. Quelle est la morale de cette fable ?
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