Bonjour, j'ai besoins d'aide a cette question : Quel(s) lien(s) pouvez-vous établir entre le poème et la photographie de Dora Maar ? Poème : Quand tes beaux pieds distraits errent, ô jeune fille, Sur ce sable mouillé, frange d’or de la mer, Baisse-toi, mon amour, vers la blonde coquille Que Vénus fait, dit-on, polir au flot amer. L’écrin de l’Océan n’en a point de pareille ; Les roses de ta joue ont peine à l’égaler ; Et quand de sa volute on approche l’oreille, On entend mille voix qu’on ne peut démêler. Tantôt c’est la tempête avec ses lourdes vagues Qui viennent en tonnant se briser sur tes pas, Tantôt c’est la forêt avec ses frissons vagues, Tantôt ce sont des voix qui chuchotent tout bas. Oh ! ne dirais-tu pas, à ce confus murmure Que rend le coquillage aux lèvres de carmin, Un écho merveilleux où l’immense nature Résume tous ses bruits dans le creux de ta main ? Emporte-la, mon ange ! Et quand ton esprit joue Avec lui-même, oisif, pour charmer tes ennuis, Sur ce bijou des mers penche en riant ta joue, Et, fermant tes beaux yeux, recueilles-en les bruits. Si dans ces mille accents dont sa conque fourmille Il en est un plus doux qui vienne te frapper, Et qui s’élève à peine aux bords de la coquille, Comme un aveu d’amour qui n’ose s’échapper ; S’il a pour ta candeur des terreurs et des charmes ; S’il renaît en mourant presque éternellement ; S’il semble au fond d’un cœur rouler avec des larmes ; S’il tient de l’espérance et du gémissement ;… Ne te consume pas à chercher ce mystère ! Ce mélodieux souffle, ô mon ange, c’est moi ! Quel bruit plus éternel, et plus doux sur la terre, Qu’un écho de mon cœur qui m’entretient de toi ?
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Bonjour, j'ai besoins d'aide a ces question : 1. a) Vers 17-28 - Quel rôle le poète confère-t-il au coquillage ? Expliquez. b) Devient-il ainsi le miroir de l'âme du poète ? 2. Relevez une ou deux figures de style marquantes : quel aspect de l'objet évoquent-elles ? 3. Ce poème est-il romantique ? Justifiez votre réponse en citant le texte. Poème : Quand tes beaux pieds distraits errent, ô jeune fille, Sur ce sable mouillé, frange d’or de la mer, Baisse-toi, mon amour, vers la blonde coquille Que Vénus fait, dit-on, polir au flot amer. L’écrin de l’Océan n’en a point de pareille ; Les roses de ta joue ont peine à l’égaler ; Et quand de sa volute on approche l’oreille, On entend mille voix qu’on ne peut démêler. Tantôt c’est la tempête avec ses lourdes vagues Qui viennent en tonnant se briser sur tes pas, Tantôt c’est la forêt avec ses frissons vagues, Tantôt ce sont des voix qui chuchotent tout bas. Oh ! ne dirais-tu pas, à ce confus murmure Que rend le coquillage aux lèvres de carmin, Un écho merveilleux où l’immense nature Résume tous ses bruits dans le creux de ta main ? Emporte-la, mon ange ! Et quand ton esprit joue Avec lui-même, oisif, pour charmer tes ennuis, Sur ce bijou des mers penche en riant ta joue, Et, fermant tes beaux yeux, recueilles-en les bruits. Si dans ces mille accents dont sa conque fourmille Il en est un plus doux qui vienne te frapper, Et qui s’élève à peine aux bords de la coquille, Comme un aveu d’amour qui n’ose s’échapper ; S’il a pour ta candeur des terreurs et des charmes ; S’il renaît en mourant presque éternellement ; S’il semble au fond d’un cœur rouler avec des larmes ; S’il tient de l’espérance et du gémissement ;… Ne te consume pas à chercher ce mystère ! Ce mélodieux souffle, ô mon ange, c’est moi ! Quel bruit plus éternel, et plus doux sur la terre, Qu’un écho de mon cœur qui m’entretient de toi ?
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Bonjour, j'ai besoins d'aide a ces question : 1. a) À qui le poète s'adresse-t-il ? b) Quel sentiment éprouve-t-il ? 2. Relevez les passages qui donnent à voir le coquillage dans tous le poème : quelles caractéristiques de l'objet le poète souligne-t-il ? À quoi le coquillage est-il assimilé ? 3. À partir du vers 6, quelle autre caractéristique de l'objet le poète présente-t-il ? Justifiez. Poème : Quand tes beaux pieds distraits errent, ô jeune fille, Sur ce sable mouillé, frange d’or de la mer, Baisse-toi, mon amour, vers la blonde coquille Que Vénus fait, dit-on, polir au flot amer. L’écrin de l’Océan n’en a point de pareille ; Les roses de ta joue ont peine à l’égaler ; Et quand de sa volute on approche l’oreille, On entend mille voix qu’on ne peut démêler. Tantôt c’est la tempête avec ses lourdes vagues Qui viennent en tonnant se briser sur tes pas, Tantôt c’est la forêt avec ses frissons vagues, Tantôt ce sont des voix qui chuchotent tout bas. Oh ! ne dirais-tu pas, à ce confus murmure Que rend le coquillage aux lèvres de carmin, Un écho merveilleux où l’immense nature Résume tous ses bruits dans le creux de ta main ? Emporte-la, mon ange ! Et quand ton esprit joue Avec lui-même, oisif, pour charmer tes ennuis, Sur ce bijou des mers penche en riant ta joue, Et, fermant tes beaux yeux, recueilles-en les bruits. Si dans ces mille accents dont sa conque fourmille Il en est un plus doux qui vienne te frapper, Et qui s’élève à peine aux bords de la coquille, Comme un aveu d’amour qui n’ose s’échapper ; S’il a pour ta candeur des terreurs et des charmes ; S’il renaît en mourant presque éternellement ; S’il semble au fond d’un cœur rouler avec des larmes ; S’il tient de l’espérance et du gémissement ;… Ne te consume pas à chercher ce mystère ! Ce mélodieux souffle, ô mon ange, c’est moi ! Quel bruit plus éternel, et plus doux sur la terre, Qu’un écho de mon cœur qui m’entretient de toi ?
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Bonjour, j'ai besoins d'aide a ces question : 1. a) À qui le poète s'adresse-t-il ? b) Quel sentiment éprouve-t-il ? 4. Relevez les passages qui donnent à voir le coquillage dans tous le poème : quelles caractéristiques de l'objet le poète souligne-t-il ? À quoi le coquillage est-il assimilé ? 5. À partir du vers 6, quelle autre caractéristique de l'objet le poète présente-t-il ? Justifiez. 6. a) Vers 17-28 - Quel rôle le poète confère-t-il au coquillage ? Expliquez. b) Devient-il ainsi le miroir de l'âme du poète ? 8. Relevez une ou deux figures de style marquantes : quel aspect de l'objet évoquent-elles ? 10. Ce poème est-il romantique ? Justifiez votre réponse en citant le texte. 12. Quel(s) lien(s) pouvez-vous établir entre le poème et la photographie de Dora Maar ? Poème : Quand tes beaux pieds distraits errent, ô jeune fille, Sur ce sable mouillé, frange d’or de la mer, Baisse-toi, mon amour, vers la blonde coquille Que Vénus fait, dit-on, polir au flot amer. L’écrin de l’Océan n’en a point de pareille ; Les roses de ta joue ont peine à l’égaler ; Et quand de sa volute on approche l’oreille, On entend mille voix qu’on ne peut démêler. Tantôt c’est la tempête avec ses lourdes vagues Qui viennent en tonnant se briser sur tes pas, Tantôt c’est la forêt avec ses frissons vagues, Tantôt ce sont des voix qui chuchotent tout bas. Oh ! ne dirais-tu pas, à ce confus murmure Que rend le coquillage aux lèvres de carmin, Un écho merveilleux où l’immense nature Résume tous ses bruits dans le creux de ta main ? Emporte-la, mon ange ! Et quand ton esprit joue Avec lui-même, oisif, pour charmer tes ennuis, Sur ce bijou des mers penche en riant ta joue, Et, fermant tes beaux yeux, recueilles-en les bruits. Si dans ces mille accents dont sa conque fourmille Il en est un plus doux qui vienne te frapper, Et qui s’élève à peine aux bords de la coquille, Comme un aveu d’amour qui n’ose s’échapper ; S’il a pour ta candeur des terreurs et des charmes ; S’il renaît en mourant presque éternellement ; S’il semble au fond d’un cœur rouler avec des larmes ; S’il tient de l’espérance et du gémissement ;… Ne te consume pas à chercher ce mystère ! Ce mélodieux souffle, ô mon ange, c’est moi ! Quel bruit plus éternel, et plus doux sur la terre, Qu’un écho de mon cœur qui m’entretient de toi ?
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